- 12 mai 2017, 10:39
#192058
Je vais parler de quelque chose d'assez intime, j'espère que vous ne me jugerez pas trop.
J'ai regarder pas mal de topics notamment sur la frustration sexuelle féminines et j'ai entendu certaines femmes dirent qu'ils n'y a pas de mal à faire l'amour sans être amoureux...
Et ç'est très difficile pour moi de l'accepter mais j'y arrive douloureusement, j'ai des amies qui pensent la même chose donc sinon je ne serais plus amis avec elles.
Tout ça pour dire mon opinion à ce sujet, histoire de vous faire partager mon point de vue.
J'ai toujours perçu la relation sexuelle comme quelque chose d'animal, comme la colère, la rage, la violence, quelque chose de plus instinctif, mais si je puis dire c'est difficile à expliquer mais quelque chose de dangereux car primitif.
Ce genre de chose je ne vais pas le nier c'est ma part d'ombre (la partie de moi que j'accepte très mal même si je l'aime aussi, exemple : je refoule souvent ma colère mais quand je la libère je me sens libéré, tout puissant et j'aime autant que ça me fait peur ), je dirais que je l'accepte très difficilement de part mon histoire personnelle, la colère, la violence, la rage à toujours été puni ou ignoré dans ma famille, et la découverte de ma sexualité à d'abord été une honte et un dégout pour moi et une incompréhension pour ma famille (au mininum...) suivi de longues phases chez le psychologue et chez le psychiatre n'ayant que renforcé cette impression de dégout, d'anormalité chez moi.
C'est un blocage psychologique mais sans être véritablement verouillé, j'ai failli avoir une relation sexuelle ( de mon souhait) avec une femme qui malheureusement n'a jamais pu (blocage de sa part) après 6 mois de relation. Donc j'arrive à passer outre.
Mais je dirais que il faut que certains besoins soit comblés avant de franchir le pas : des sentiments (ça me permet je pense de convertir ça en quelque chose de plus acceptable), de la confiance, de la communication, et l'absence de jugement ...
C'est pour cela que les personnes qui couchent à droite à gauche, avec des amis, avec des gens avec lesquelles ils ont du désir ou autre ... c'est avec une certaine douleur que j'accepte cette idée (ça me rappelle mon blocage, mon dégout...)
Je suppose que pour eux, ç a ne fait pas partie de leur part d'ombre (de la part refoulé entre guillemets de leur personnalité ) voir ils n'en n'ont pas, qu'en pensez vous ?
Je risque de répondre petit à petit sur ce sujet, ça reste difficile pour moi, je suis peut être un peu maso mais pas trop quand même .
J'ai regarder pas mal de topics notamment sur la frustration sexuelle féminines et j'ai entendu certaines femmes dirent qu'ils n'y a pas de mal à faire l'amour sans être amoureux...
Et ç'est très difficile pour moi de l'accepter mais j'y arrive douloureusement, j'ai des amies qui pensent la même chose donc sinon je ne serais plus amis avec elles.
Tout ça pour dire mon opinion à ce sujet, histoire de vous faire partager mon point de vue.
J'ai toujours perçu la relation sexuelle comme quelque chose d'animal, comme la colère, la rage, la violence, quelque chose de plus instinctif, mais si je puis dire c'est difficile à expliquer mais quelque chose de dangereux car primitif.
Ce genre de chose je ne vais pas le nier c'est ma part d'ombre (la partie de moi que j'accepte très mal même si je l'aime aussi, exemple : je refoule souvent ma colère mais quand je la libère je me sens libéré, tout puissant et j'aime autant que ça me fait peur ), je dirais que je l'accepte très difficilement de part mon histoire personnelle, la colère, la violence, la rage à toujours été puni ou ignoré dans ma famille, et la découverte de ma sexualité à d'abord été une honte et un dégout pour moi et une incompréhension pour ma famille (au mininum...) suivi de longues phases chez le psychologue et chez le psychiatre n'ayant que renforcé cette impression de dégout, d'anormalité chez moi.
C'est un blocage psychologique mais sans être véritablement verouillé, j'ai failli avoir une relation sexuelle ( de mon souhait) avec une femme qui malheureusement n'a jamais pu (blocage de sa part) après 6 mois de relation. Donc j'arrive à passer outre.
Mais je dirais que il faut que certains besoins soit comblés avant de franchir le pas : des sentiments (ça me permet je pense de convertir ça en quelque chose de plus acceptable), de la confiance, de la communication, et l'absence de jugement ...
C'est pour cela que les personnes qui couchent à droite à gauche, avec des amis, avec des gens avec lesquelles ils ont du désir ou autre ... c'est avec une certaine douleur que j'accepte cette idée (ça me rappelle mon blocage, mon dégout...)
Je suppose que pour eux, ç a ne fait pas partie de leur part d'ombre (de la part refoulé entre guillemets de leur personnalité ) voir ils n'en n'ont pas, qu'en pensez vous ?
Je risque de répondre petit à petit sur ce sujet, ça reste difficile pour moi, je suis peut être un peu maso mais pas trop quand même .