- 10 nov. 2019, 15:01
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godfreyho a écrit : ↑10 nov. 2019, 14:40 Je ne sais pas, bon c'était une autre époque (années 80), mais ayant été victime de harcèlement au collège, le proviseur me l'avait reproché, à l'époque: ça impactait mes résultats scolaires et un homme digne de ce nom, ne se laisse pas faire, garde la tête haute et continue à travailler correctement quoi qu'il arrive, bref j'étais fautif et le proviseur n'a jamais pris de sanctions contre mes "bourreaux". Ils étaient parfaitement au courant de ma situation donc mais rejeter la faute sur moi était bien plus facile et confortable, j'ai pu observer la même chose chez des gamins d'un collège où j'ai travaillé, durant les années 2000 et récemment avec mes neveux et nièces et je ne parle même pas du harcèlement que mon frère a subi en tant qu'employé de l'Education Nationale.Dans les années 90, je devais être en 6e au collège, à la sortie un groupe de c*nnards plus âgés arrivent par derrière pour me mettre des claques. Une fois rentré (j'étais à 2 minutes) ma mère voit qu'il s'est passé quelque chose, elle appelle l'école pour leur dire que je me suis fait tabasser. On me convoque donc immédiatement dans le bureau du proviseur (avec le proviseur adjoint). J'arrive accueil peu chaleureux, puis comme toi je me fais engu*ler, parce que si je m'étais fait tabasser il y aurait des marques mais là on ne voit rien, il m'a obligé à dire que nonon je ne m'étais pas fait "tabasser" dans sa foutue école (ce n'est même pas moi qui avait utilisé le terme). Pas un message de soutien ou même de compassion, nonon je me suis fait engu*ler parce que des c*nnards m'avaient sauté dessus, et que quand même il fallait préserver la réputation de son école. Ca se passe souvent comme ça si tu veux mon avis. Et maintenant on vient me dire que je devrais refuser de répondre à la violence par la violence, mon q ouais.