- 11 janv. 2020, 13:19
#229616
Je reste nuancé : les gens n’ont pas les mêmes idées, les mêmes souhaits.
Le collectif est une nécessité pour moi : je n’ai jamais aimé la mentalité de groupe, surtout quand on te mettait toujours de côté.
C’est nécessaire car les projets ne se font jamais tout seul mais je garde une part de mon individualité, ça laisse des marques.
Je ne me retrouve pas dans la gauche pour ceci bien qu’elle a ses bonnes idées : les opinions de chacun, de chacune, ça reste des positions parfois clivants.
Le reste tient beaucoup de nos vécus et des positions que l’on a tenu.
Quand on est au-dessus de la hiérarchie, on est intouchable : le travailleur fustigera le chômeur et quand on est en-dessous, on se fait écraser.
La politique reste un jeu de domination malgré des outils démocratiques imposant des compromis ou des consultations.
Si une hiérarchie est présente, on ne peut qu’espérer au moins du respect... l’égalité ne sera jamais possible et en cas de pépin, on apprécie désigner un responsable.
Le collectif est une nécessité pour moi : je n’ai jamais aimé la mentalité de groupe, surtout quand on te mettait toujours de côté.
C’est nécessaire car les projets ne se font jamais tout seul mais je garde une part de mon individualité, ça laisse des marques.
Je ne me retrouve pas dans la gauche pour ceci bien qu’elle a ses bonnes idées : les opinions de chacun, de chacune, ça reste des positions parfois clivants.
Le reste tient beaucoup de nos vécus et des positions que l’on a tenu.
Quand on est au-dessus de la hiérarchie, on est intouchable : le travailleur fustigera le chômeur et quand on est en-dessous, on se fait écraser.
La politique reste un jeu de domination malgré des outils démocratiques imposant des compromis ou des consultations.
Si une hiérarchie est présente, on ne peut qu’espérer au moins du respect... l’égalité ne sera jamais possible et en cas de pépin, on apprécie désigner un responsable.