Encore merci à tous pour vos gentils commentaires
Petite update de ma relation actuelle :
Mmmh... broumbroum (raclement de gorge)...
C'EST GÉNIAL !
Bon, retour sur terre : ça fait maintenant plus de trois semaines que nous sortons ensemble, et il m'arrive encore de me dire qu'en fait, j'ai juste fait un coma éthylique pendant cette crémaillère où nous nous sommes rencontrés, et que je suis à l'hôpital en train de rêver toute cette histoire.
On pense pareil, on est pareil, elle correspond à tout ce que j'ai toujours cherché chez une compagne. On est terriblement bien tous les deux, en public comme en privé. On passe d'ailleurs notre temps à se le dire (on fait probablement péter le compteur de mièvrerie, mais on s'en fiche).
C'est sans doute parce qu'on est en phase de découverte, mais ça se passe vraiment très, très bien. On a même admis qu'on se projetait assez bien ensemble dans le futur, au moins à moyen terme (genre "
ça, on pourrait le faire l'été prochain..."). On passe tous les moments qu'on peut ensemble (on sort d'un week-end délicieux notamment), on rencontre les amis l'un de l'autre (et ça se passe bien), et si parfois j'ai un soupçon d'inquiétude par rapport à ce que devient mon emploi du temps, ça se dissout sitôt qu'on est ensemble.
Je reviens à ce premier baiser dont Hypérion parlait : elle m'a confié depuis que j'avais été un peu rapide. On était dans la rue, je lui ai pris la main et l'ai embrassée, et je n'avais de cesse de le faire sur le trajet. Je ne savais pas trop quoi faire d'autre en fait, et elle a bien vu que j'étais très nerveux, donc elle n'a pas trop osé m'arrêter même si elle n'était pas très à l'aise d'être embrassée dans la rue comme ça.
En fait, elle avait très envie de m'embrasser aussi, mais pas dans la rue. Comme j'étais très nerveux, elle avait peur que j'interprète mal si elle me repoussait (elle avait sans doute raison), donc elle m'a vite ramené chez elle. Je ne sais pas s'il y a une leçon à en tirer, mais en gros, je n'ai pas forcément choisi le moment optimal pour l'embrasser (attendre d'être chez elle, ou devant chez elle eût été plus romantique).
Mais comme le démontre mon histoire : du moment que les deux ont envie, c'est le genre d'erreur qui se surmonte très bien.