- 30 juil. 2012, 15:18
#57723
Perso, même avant d'avoir des relations sexuelles je regardais du porno, photo ou vidéo. Je suis la 1ère génération internet à avoir eu autant accès au porno dès un âge assez jeune (je dirais vers 13 ou 14, même si c'était du 56K y'avait moyen d'avoir accès à plein de trucs), et pour autant c'est incomparable avec l'excitation que je ressens avec quelqu'un en vrai. Encore aujourd'hui j'aime regarder du porno, mais je peux rester de marbre face à un porno classique alors qu'avec quelqu'un qui me plaît, mon corps réagit tout de suite...
Bref, je rejoins Teddy notamment, le travail à faire est parental : si les enfants sont éduqués en sachant que la sexualité, ce n'est pas la pornographie, et qu'on fait attention à limiter l'accès des plus jeunes aux vidéos ou photos porno, alors il n'y aura pas de problème.
SnapBack a écrit :La pornographie reste du cinéma, c'est une machine à fantasmes où des acteurs jouent des rôles.C'est exactement ça : il faut simplement savoir distinguer le réel du virtuel.
Il faut garder un esprit critique, ce n'est pas parce que je regarde un film d'horreur que je vais trucider ma famille tout de suite après xD
Plus que la dépendance, c'est le sens de la réflexion et de la critique qu'on doit expliquer à la jeunesse : tout ce qu'ils voient ne sont pas forcément vraies, même si ça le paraît. Surtout que la pornographie renvoie une image exagérée de l'homme et de la femme et jouent beaucoup sur une pseudo-réalité avec des lieux de tournage assez banals que l'on voit quotidiennement.
On ne résout pas le problème de dépendance entièrement avec ça, mais on permet aux jeunes de regarder d'un oeil différent tout ce qui les fascinent. C'est en connaissant les bases qu'on apprend à mieux les contrôler.
Perso, même avant d'avoir des relations sexuelles je regardais du porno, photo ou vidéo. Je suis la 1ère génération internet à avoir eu autant accès au porno dès un âge assez jeune (je dirais vers 13 ou 14, même si c'était du 56K y'avait moyen d'avoir accès à plein de trucs), et pour autant c'est incomparable avec l'excitation que je ressens avec quelqu'un en vrai. Encore aujourd'hui j'aime regarder du porno, mais je peux rester de marbre face à un porno classique alors qu'avec quelqu'un qui me plaît, mon corps réagit tout de suite...
Bref, je rejoins Teddy notamment, le travail à faire est parental : si les enfants sont éduqués en sachant que la sexualité, ce n'est pas la pornographie, et qu'on fait attention à limiter l'accès des plus jeunes aux vidéos ou photos porno, alors il n'y aura pas de problème.