- 13 mai 2008, 12:45
#4564
Je copie/colle ma présentation sur Doctissimo.
Bonsoir,
voilà, je me présente vite : j'ai 25 ans, je n'ai jamais eu de copine. Je n'ai jamais embrassé une fille etc
Je n'ai que le travail dans ma vie. En dehors du travail, je ne sors pas. C'est normal, je n'ai aps de véritables amis avec qui sortir. Je reste donc chez moi à attendre que le temps passe (et il passe très lentement).
Depuis 2 ans, j'ai une frustration : quand je vois un couple dans la rue, j'ai un gros mal-être. Je sais que, quand je vais au travail, je fais des détours imaginables pour ne pas en croiser. Qu'est-ce que j'aimerais être à leur place... donner la main à une fille, l'embrasser...
Le problème, c'est que je travaille le soir dans un lieu qui fait bar et concerts. J'en vois beaucoup passer chaque soir et il y en a des fois qui ne se gênent pas dans leur exhibitionnisme primaire avec leur copine...
Voilà. Mon rêve serait d'avoir une copine. Pas pour faire l'amour (je suis puceau, mais je m'en fous un peu). Mais pour avoir de l'amour, et donner de l'amour en retour.
Là, j'en peux plus de cette solitude. Je passe toutes mes journées tout seul chez moi à rien faire. SOS Amitiés m'avait conseillé, il y a de cela quelques années, de sortir à la médiathèque, des trucs comme ça. C'est ce que j'ai fait, et même plusieurs fois. Résultat : niet. Même pas un gars qui m'a adressé la parole.
J'ai l'impression d'être inutile dans la vie, d'être une crotte. J'ai attendu 23 ans avant de faire la bise sur la joue à une fille. J'ai attendu 24 ans pour que quelqu'un me fête mon anniversaire (j'avais jamais eu d'anniversaire auparavant).
Les rares personnes que je connais m'appellent juste pour le travail ou dans leur intérêt. Soit pour les remplacer tel ou tel jour, pour les aider à déménager, etc...
La seule personne qui m'a appelé une fois pour prendre un café a maintenant un copain, donc je ne peux plus compter sur elle pour ça.
Voilà. Cette solitude me tuera. Je prends depuis fort longtemps des anti-dépresseurs, mais ça ne m'a jamais aidé. Je ne peux plus vivre comme ça, seul.
Bonsoir,
voilà, je me présente vite : j'ai 25 ans, je n'ai jamais eu de copine. Je n'ai jamais embrassé une fille etc
Je n'ai que le travail dans ma vie. En dehors du travail, je ne sors pas. C'est normal, je n'ai aps de véritables amis avec qui sortir. Je reste donc chez moi à attendre que le temps passe (et il passe très lentement).
Depuis 2 ans, j'ai une frustration : quand je vois un couple dans la rue, j'ai un gros mal-être. Je sais que, quand je vais au travail, je fais des détours imaginables pour ne pas en croiser. Qu'est-ce que j'aimerais être à leur place... donner la main à une fille, l'embrasser...
Le problème, c'est que je travaille le soir dans un lieu qui fait bar et concerts. J'en vois beaucoup passer chaque soir et il y en a des fois qui ne se gênent pas dans leur exhibitionnisme primaire avec leur copine...
Voilà. Mon rêve serait d'avoir une copine. Pas pour faire l'amour (je suis puceau, mais je m'en fous un peu). Mais pour avoir de l'amour, et donner de l'amour en retour.
Là, j'en peux plus de cette solitude. Je passe toutes mes journées tout seul chez moi à rien faire. SOS Amitiés m'avait conseillé, il y a de cela quelques années, de sortir à la médiathèque, des trucs comme ça. C'est ce que j'ai fait, et même plusieurs fois. Résultat : niet. Même pas un gars qui m'a adressé la parole.
J'ai l'impression d'être inutile dans la vie, d'être une crotte. J'ai attendu 23 ans avant de faire la bise sur la joue à une fille. J'ai attendu 24 ans pour que quelqu'un me fête mon anniversaire (j'avais jamais eu d'anniversaire auparavant).
Les rares personnes que je connais m'appellent juste pour le travail ou dans leur intérêt. Soit pour les remplacer tel ou tel jour, pour les aider à déménager, etc...
La seule personne qui m'a appelé une fois pour prendre un café a maintenant un copain, donc je ne peux plus compter sur elle pour ça.
Voilà. Cette solitude me tuera. Je prends depuis fort longtemps des anti-dépresseurs, mais ça ne m'a jamais aidé. Je ne peux plus vivre comme ça, seul.