- 23 mai 2014, 13:51
#113179
J’ai un peu cherché sur les causes des retards réguliers involontaires. Je regroupe ici ce que j’ai trouvé, sans critique poussée sur ces raisons. Il y a apparemment sept grandes origines :
La recherche du pouvoir :
Arriver en retard donne l’ascendant : faire attendre est un attribut du pouvoir. L’autre est « en souffrance », son soulagement dépendant de l’arrivé (donc du bon vouloir) de la personne en retard, imposant un rôle de sauveur.
Se faire désirer
Arriver en retard permet d’obliger l’autre à penser à soi. C’est une attitude narcissique.
Éviter un affrontement, fuir ses peurs
Il s’agit d’angoisse à l’idée d’aborder une situation, de se confronter à une personne. Cela peut être lié à un perfectionnisme, à un manque de confiance ou à une faible estime de soi, voire à la peur de la réussite. Cette habitude est alors souvent prise durant la scolarité, à la première confrontation à la compétitivité. (Tiens donc ?)
Des difficultés à faire des choix
Comme par exemple, la peur des responsabilités associées à la procrastination.
Rétablir l’équilibre
Il s’agit de causes moins conscientes encore, psychanalytiques. Lié à l’histoire personnel (être né prématuré, par exemple). Un attachement à la phase anal (où l’enfant découvre un surcroit de plaisir en refusant de déféquer), associé à une certaine radinerie peut expliquer cette tendance.
Un ego surdimensionné
Pensons à l’organisation de l’attente observable dans la salle d’attente d’un médecin.
Une notion différente de l’écoulement du temps
Les physiciens pourront confirmer que l’écoulement du temps dépend du référentiel. A vrai dire, il est même probable que le temps soit une émotion suscité dans le cerveau par l’ordonation des causes et des conséquences, bien que cette hypothèse ait plusieurs failles.
La recherche du pouvoir :
Arriver en retard donne l’ascendant : faire attendre est un attribut du pouvoir. L’autre est « en souffrance », son soulagement dépendant de l’arrivé (donc du bon vouloir) de la personne en retard, imposant un rôle de sauveur.
Se faire désirer
Arriver en retard permet d’obliger l’autre à penser à soi. C’est une attitude narcissique.
Éviter un affrontement, fuir ses peurs
Il s’agit d’angoisse à l’idée d’aborder une situation, de se confronter à une personne. Cela peut être lié à un perfectionnisme, à un manque de confiance ou à une faible estime de soi, voire à la peur de la réussite. Cette habitude est alors souvent prise durant la scolarité, à la première confrontation à la compétitivité. (Tiens donc ?)
Des difficultés à faire des choix
Comme par exemple, la peur des responsabilités associées à la procrastination.
Rétablir l’équilibre
Il s’agit de causes moins conscientes encore, psychanalytiques. Lié à l’histoire personnel (être né prématuré, par exemple). Un attachement à la phase anal (où l’enfant découvre un surcroit de plaisir en refusant de déféquer), associé à une certaine radinerie peut expliquer cette tendance.
Un ego surdimensionné
Pensons à l’organisation de l’attente observable dans la salle d’attente d’un médecin.
Une notion différente de l’écoulement du temps
Les physiciens pourront confirmer que l’écoulement du temps dépend du référentiel. A vrai dire, il est même probable que le temps soit une émotion suscité dans le cerveau par l’ordonation des causes et des conséquences, bien que cette hypothèse ait plusieurs failles.
Weird & proud
"Ce concombre est amer ? Jette-le ! Il y a des ronces dans le chemin ? Détourne-toi ! C’est tout ce qu’il faut. Ne dis pas à ce sujet : « Pourquoi ces choses-là se trouvent-elles dans le monde ?" - Marc Aurèle
"Ce concombre est amer ? Jette-le ! Il y a des ronces dans le chemin ? Détourne-toi ! C’est tout ce qu’il faut. Ne dis pas à ce sujet : « Pourquoi ces choses-là se trouvent-elles dans le monde ?" - Marc Aurèle