Re: Entretiens pros
Publié : 04 mai 2019, 00:54
Je parle pour moi mais beaucoup ne te calculent pas quand tu es au chômage.
Je ne me considère pas comme un « grand » graphiste... mais j’ai toujours aimé ce que je fais.
J'ai toujours en tête le fait que tu peux rechuter le lendemain...
À côté de mes heures de bureau, je continue de dessiner et j’adapte ma technique (ce que j’ai fait pendant toutes ses années quand certains me disaient d’abandonner cette voie). Je découvre encore pleins de choses que je montre sur mon CV et mes travaux et avec le temps, je pense que les personnes aiment l’originalité mais à petite dose. L’analogie de la cerise sur le gâteau me parait bonne pour cette exemple.
Pour ce que je fais, ces dessins sans prétention m’ont pas mal aidé... mais pour susciter de l’intérêt, il fallait que je trouve le bon ton. Même mon apparence a changé (en revenant de cette conférence, j’observais mon reflet dans la vitrine d’un bistrot... j’assume me balader avec mes cheveux bouclés, grisonnants, mais taillés, et sans casquette, ça fait un petit temps que je n’en mets plus - mon pseudo est d'ailleurs une référence) et peut-être que ça donne la crédibilité qui me manquait quelques années auparavant. Il ne faut parfois pas grand chose...
Comme c’est un autre mi-temps (et un matelas financier en plus), c’est possible à compléter mais il faut maintenir le même niveau de qualité sur les deux postes et ça me fait réfléchir. Heureusement, c’est dans le même secteur et avec les mêmes compétences. De la même manière que les magasins, aller voir et discuter avec les responsables n’engagent en rien.
L’autre jour, je travaillais sur un projet annexe pour un partenaire et j’avais tapé dans l’œil du responsable et malgré ses encouragements (« je te prendrais bien en deuxième mi-temps si on m’allouait du budget »), je garde une distance avec ce genre de commentaires. Pas que je n’apprécie pas d’être encouragé ou que je remette en doute la sincérité de ses sentiments (c’était un travail assez important et j’ai tout retravaillé avec deux concertations) mais je me protège énormément, j’ai assez bavé pour faire ce que je rêvais de faire.
Idem pour les « tests » si il y en a un à faire, j’ai maintenant mes conditions.
Je ne me considère pas comme un « grand » graphiste... mais j’ai toujours aimé ce que je fais.
J'ai toujours en tête le fait que tu peux rechuter le lendemain...
À côté de mes heures de bureau, je continue de dessiner et j’adapte ma technique (ce que j’ai fait pendant toutes ses années quand certains me disaient d’abandonner cette voie). Je découvre encore pleins de choses que je montre sur mon CV et mes travaux et avec le temps, je pense que les personnes aiment l’originalité mais à petite dose. L’analogie de la cerise sur le gâteau me parait bonne pour cette exemple.
Pour ce que je fais, ces dessins sans prétention m’ont pas mal aidé... mais pour susciter de l’intérêt, il fallait que je trouve le bon ton. Même mon apparence a changé (en revenant de cette conférence, j’observais mon reflet dans la vitrine d’un bistrot... j’assume me balader avec mes cheveux bouclés, grisonnants, mais taillés, et sans casquette, ça fait un petit temps que je n’en mets plus - mon pseudo est d'ailleurs une référence) et peut-être que ça donne la crédibilité qui me manquait quelques années auparavant. Il ne faut parfois pas grand chose...
Comme c’est un autre mi-temps (et un matelas financier en plus), c’est possible à compléter mais il faut maintenir le même niveau de qualité sur les deux postes et ça me fait réfléchir. Heureusement, c’est dans le même secteur et avec les mêmes compétences. De la même manière que les magasins, aller voir et discuter avec les responsables n’engagent en rien.
L’autre jour, je travaillais sur un projet annexe pour un partenaire et j’avais tapé dans l’œil du responsable et malgré ses encouragements (« je te prendrais bien en deuxième mi-temps si on m’allouait du budget »), je garde une distance avec ce genre de commentaires. Pas que je n’apprécie pas d’être encouragé ou que je remette en doute la sincérité de ses sentiments (c’était un travail assez important et j’ai tout retravaillé avec deux concertations) mais je me protège énormément, j’ai assez bavé pour faire ce que je rêvais de faire.
Idem pour les « tests » si il y en a un à faire, j’ai maintenant mes conditions.