- 22 août 2010, 08:03
#28574
J'ouvre ce topic après lecture des tout récents posts de présentation de Giles et Soleil09, et mûre réflexion sur des phrases récentes de l'heureux Steph :
Je pense surtout que j'avais acquis suffisamment de confiance en moi pour cesser d'être transparent. Je ne sais pas si on peut parler d'aura, de prestance, ou s'il s'agit tout bêtement d'un procédé chimique, mais je pense que nous dégageons tous des ondes plus ou moins positives qui sont ressenties par notre entourage.
Elle me regardait avec tant d'insistance qu'elle avait peur que tout le monde le voie. Tout le monde sauf moi, qui n'ai rien remarqué du tout.
Partant de l'idée que dans tout établissement d'une relation, verbale ou non-verbale, il y a un émetteur et un récepteur, j'essaie de faire un bilan de ces "dysfonctionnements" chez nous :
Comme émetteurs,
de manière consciente nous avons toujours mille et une raisons de penser que ce n'est pas le moment, pas la bonne émission, pas le bon message, pas le bon destinataire... Nous pensons souvent que ce n'est pas nous qu'on attend, que nous risquons d'être importuns, déplacés... nous renonçons à "prendre le risque" , puis nous regrettons, vivant en perpétuel décalage.
de manière inconsciente, nous ne fonctionnons pas "comme tout le monde", alors qu'il paraît que c'est naturel...
Comme récepteurs :
de manière consciente , nous avons toujours des doutes sur la réalité de ce que nous croyons percevoir, dans un sens ou dans l'autre, imaginant parfois trop (on se un film à partir de rien du tout, et on tombe de haut après)
de manière inconsciente : on ne voit pas des choses évidentes pour n'importe qui d'autre... (comme Steph), nous ne percevons rien... alors même qu'il y a des choses à percevoir.
Pourrions-nous confronter nos idées sur notre " transparence", cette forme d'inadaptation... et le moyen d'apprendre et développer ce "langage" qui nous manque.
A vos plumes !
Je pense surtout que j'avais acquis suffisamment de confiance en moi pour cesser d'être transparent. Je ne sais pas si on peut parler d'aura, de prestance, ou s'il s'agit tout bêtement d'un procédé chimique, mais je pense que nous dégageons tous des ondes plus ou moins positives qui sont ressenties par notre entourage.
Elle me regardait avec tant d'insistance qu'elle avait peur que tout le monde le voie. Tout le monde sauf moi, qui n'ai rien remarqué du tout.
Partant de l'idée que dans tout établissement d'une relation, verbale ou non-verbale, il y a un émetteur et un récepteur, j'essaie de faire un bilan de ces "dysfonctionnements" chez nous :
Comme émetteurs,
de manière consciente nous avons toujours mille et une raisons de penser que ce n'est pas le moment, pas la bonne émission, pas le bon message, pas le bon destinataire... Nous pensons souvent que ce n'est pas nous qu'on attend, que nous risquons d'être importuns, déplacés... nous renonçons à "prendre le risque" , puis nous regrettons, vivant en perpétuel décalage.
de manière inconsciente, nous ne fonctionnons pas "comme tout le monde", alors qu'il paraît que c'est naturel...
Comme récepteurs :
de manière consciente , nous avons toujours des doutes sur la réalité de ce que nous croyons percevoir, dans un sens ou dans l'autre, imaginant parfois trop (on se un film à partir de rien du tout, et on tombe de haut après)
de manière inconsciente : on ne voit pas des choses évidentes pour n'importe qui d'autre... (comme Steph), nous ne percevons rien... alors même qu'il y a des choses à percevoir.
Pourrions-nous confronter nos idées sur notre " transparence", cette forme d'inadaptation... et le moyen d'apprendre et développer ce "langage" qui nous manque.
A vos plumes !
Dio, dammi l'umiltà di accettare le cose che non posso cambiare, il coraggio di cambiare le cose che posso cambiare, e l'intelligenza sufficiente per distinguere i due tipi di cose. S. Francesco di Assisi