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par Lux
Femme de 37 ans non vierge
#225498
mike62 a écrit : 22 sept. 2019, 16:37 L'alcool est vraiment une addiction dont il est difficile de se débarrasser. Ça dépend peut être des personnes (certaines y arriveront entre guillemets "facilement " ce dont je doute un peu ,et d'autres un peu moins )mais en tout cas cette addiction n'a rien à envier par exemple aux cigarettes (premier exemple qui me vient à l'esprit )

J'en veux pour preuve un ancien collègue de boulot qui a suivi 7 (!) Cures de désintoxication et qui n'est toujours pas sorti d'affaire.

Je l'ai croisé récemment et il avait le visage vraiment rouge (de petites veines sont presentes au niveau de son visage ce qui lui donne cette couleur rosacée et qui sont directement dues à sa consommation )

La dépendance est non seulement physique mais aussi psychologique : ça agit comme une sorte de" béquille ". Et d'ailleurs au niveau physique pas mal de gens connaissent sans doute le delirium tremens en cas de manque , et qui peut être mortel... bref pas simple d'en sortir :confused:
Tu fais bien de rappeler que c'est une maladie, sur laquelle on a difficilement prise, même quand on veut s'en sortir.
par katy81
ans
#225508
resO a écrit :Ok, et tu ne traites que l'alcool ou bien d'autres drogues ?

j'ai dit les addictions donc oui ça englobe tout ce à quoi on peut être addicte, mais je ne fais pas de prévention uniquement sur les addictions.
resO a écrit : Apparemment certains alcools sont autorisés sur le lieu de travail mais l'entreprise peut sanctionner ou refuser de laisser entrer un salarié ivre
et bien ça dépend des règlements intérieurs des entreprises. Si dans ton entreprise ce n'est pas spécifié "consommation d'alcool interdit, excepté dans certains occasion...." dans ce cas il y a des exception, par contre dans beaucoup d'entreprise c'est bien écrit "interdiction de consommer toute substance dont l'alcool, drogue, etc..." avec cette phrase par exemple l'employeur a tout à fait le droit de faire des dépistages inopiné de toute sorte de chose que ce soit le cannabis, l'alcool ou autre ; alors que si ce n'est pas écrit noir sur blanc, l'employeur n'a aucun droit. C'est ce qui est assez compliqué à gérer d'ailleurs.
un salarié ivre est un risque d'accident de travail et pour lui et pour les autres, l'employeur étant dans l'obligation de protéger ses salariés Article 4121-1 du Code du travail il doit agir.
Tout comme les salariés ont le droit d'effectuer un droit de retrait, ce qui peut arrivé s'ils jugent qu'un collègue est dangereux pour eux.
j'ai déjà eu le cas d'une personne qui s'en est sorti, grâce à son patron. C'est rare, parce que celui-ci lui a promis que s'il faisait une cure il était assurer de retrouver son job en revenant, il ne perdrait pas son logement et pourrait continuer à revoir ses enfants par la suite. Cet engagement à payé.
Je pense qu'une majorité de ces personnes ont eu un accident de la vie, comme on dit souvent c'est une successions de petits malheurs qui font qu'ils perdent pied. Surtout s'ils ne sont pas soutenu dans leur quotidien pour les affronter.
Je ne sais pas vers quelle addiction j'aurai pu basculer mais toujours est-il que personne n'est à l'abris.
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par YX00
Homme de 38 ans vierge
#225512
Lux a écrit : 22 sept. 2019, 14:08 Faux.
Qu'est-ce qui est faux ?

Lux a écrit : 22 sept. 2019, 14:08 Socialement, il est très positif de boire. Je viens de l'expliquer plus haut (mais tu ne lis que ce qui t'arrange).
Je n'ai jamais écrit qu'il n'est pas positif de boire de l'alcool. Je suis convaincu que cela est bien vu socialement (tant que ça ne génère pas de comportement déragneant) et que ça facilite les relations sociales puisque c'est un comportement prédominant et que ça a un effet désinhibiteur.

Sinon, est-il possible d'arrêter de me prêter de mauvaises intentions ? Je lis entièrement et attentivement vos messages pour y répondre de manière argumentée. Je peux aussi réagir à vos messages de manière éructive (c'est du moins la façon dont je les ressens). Est-ce nécessaire pour être pris au sérieux ?

Lux a écrit : 22 sept. 2019, 14:08 Et je ne vois pas quelles difficultés la société pose pour t'empêcher de draguer, bien au contraire. Il nous est constamment rappelé qu'il faut draguer et avoir une vie sexuelle pour être épanoui.
C'est tellement vrai que ça en crispe plus d'un⋅e qui se met donc trop de pression. Pression trop importante pour avoir le courage d'approcher d'autres personnes en vue d'une relation sentimentale voire sexuelle.

Lux a écrit : 22 sept. 2019, 14:08 Cela peut vous défriser mais oui, ma comparaison est juste.
Ça ne risque pas, je ne suis pas frisé. :grin: Blague à part, votre comparaison est peut-être juste (j'aimerais bien en avoir une preuve). Mais ça ne m'empêche pas de trouver le parallèle hasardeux.

Lux a écrit : 22 sept. 2019, 14:08 Vous réclamez très fort une tolérance et un droit à la différence que vous êtes incapables d'offrir à ceux qui ne vous ressemblent pas. C'est triste à voir.
C'est l'impression que j'ai à votre sujet en lisant vos messages. Je trouve en effet que vous ne tolérez pas qu'on puisse avoir une opinion différente de la vôtre sur différents sujets et donc d'avoir le droit à la différence.

Contrairement à ce que vous écrivez, je suis tolérant et je respecte le droit à la différence. Si ce n'était pas le cas, je serais probablement en prison plutôt qu'ici. Les occasions d'être intolérant et de montrer sa haine envers les personnes différentes sont en effet légion…

Tyrus a écrit : 22 sept. 2019, 14:27 Il est vrai que leur critères ne sont pas très clairs. Toutefois de ce que j'ai pu lire on va demander à un patient alcoolique d'être sobre pendant 6 mois avant de pouvoir être greffé ce qui, suivant l'état du patient, peut le condamner.
https://www.dondorganes.fr/questions/59 ... fe-de-foie
Merci pour ces informations. Je le saurai, à présent.

@Genisa : Merci pour ces informations.

mike62 a écrit : 22 sept. 2019, 16:37 L'alcool est vraiment une addiction dont il est difficile de se débarrasser. Ça dépend peut être des personnes (certaines y arriveront entre guillemets "facilement " ce dont je doute un peu ,et d'autres un peu moins )mais en tout cas cette addiction n'a rien à envier par exemple aux cigarettes (premier exemple qui me vient à l'esprit )
J'ai retrouvé un graphique que j'avais trouvé intéressant. Il est présenté dans l'article à cette adresse qui permet de comparer la « dangerosité » de différentes drogues.
par x00
Homme de 35 ans non vierge
#225518
Beaucoup ici voit que le coté noir des choses....

Pour tomber dans une addiction a l'alcool il faut s'en envoyer, avoir une consommation non raisonnable... Ou utiliser ca comme un anti dépresseur.

C'est "dangereux" comme tout, mais vivre est-ce éviter tout se qui est dangereux ?

Et ce qui est une pression sociale, est-ce qui faut pas apprendre a vivre avec ces pressions, respecter ses propres choix ? Si vous voulez pas boire, personne vous y oblige....
Des pressions sociales on en subit toute la journée...
YX00 aime ça
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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#225520
Oui évidemment, ça ne se fait pas du jour au lendemain, l'addiction, ça passe par l’accoutumance et pour en arriver à s'accommoder de l'alcool il faut prendre le produit un certain temps pour finir par ne pus s'en passer, ça ne se fait pas en un claquement de doigts sinon nous serions très nombreux à ne plus pouvoir faire sans.
par mike62
Homme de 39 ans non vierge
#225532
Oui bien sur je suis d'accord avec X00 : il faut , pour développer une addiction vraiment forte , perdre le contrôle de sa consommation , c'est évident.

Si l'alcool et consommé de manière on va dire "raisonnable " , normalement il y a moins de risques que la personne tombe dans une spirale négative qui la pousse à ingurgiter des quantités de plus en plus importantes.

Une consommation en soirée, de manière plus ou moins courante ne débouche pas nécessairement sur une addiction , ça va de soi
par Tyrus
ans
#225533
mike62 a écrit : 23 sept. 2019, 11:44 Oui bien sur je suis d'accord avec X00 : il faut , pour développer une addiction vraiment forte , perdre le contrôle de sa consommation , c'est évident.

Si l'alcool et consommé de manière on va dire "raisonnable " , normalement il y a moins de risques que la personne tombe dans une spirale négative qui la pousse à ingurgiter des quantités de plus en plus importantes.

Une consommation en soirée, de manière plus ou moins courante ne débouche pas nécessairement sur une addiction , ça va de soi
Je ne suis pas sur qu'une addiction dépende de la quantité. Je crois qu'on parle d'addiction dès l'instant où tu consommes et ne peut t'en passer, la quantité ayant peu d'importance.

De même chaque profil est différent. Moi typiquement je supporte moins l'alcool que la moyenne.
par mike62
Homme de 39 ans non vierge
#225536
Oui c'est vrai que ça ne dépend pas forcément de la quantité pour tout ce qui concerne les addictions. Certaines drogues dures notamment déclenche une addiction dès la première prise donc oui , quand on parle d'addiction, la quantité n'est pas forcément une vérité absolue
YX00 aime ça
par Blup
Homme de 37 ans vierge
#225546
Ce qu'il y a de problématique avec l'alcool, c'est que c'est trop culturel pour être considéré comme une drogue.

Je connais des gens qui s'envoient des litres de vin par semaine et qui vont traiter de "toxico" un jeune qui va fumer un joint de temps à autre. Pas sûr que le corps soit totalement d'accord avec eux.

D'ailleurs c'est tellement ancré que pas mal gens considèrent même le vin et la bière comme "à part".

Une personne qui va se torcher au vin ou à la bière sera "un(e) bon(ne) vivant(e)" alors qu'une personne faisant la même chose avec du ricard, ou whisky coke, sera tout de suite plus facilement cataloguée comme "alcolo", même en absorbant la même quantité d'alcool.

Et puis où est le curseur ? Je connais des gens qui ne se mettent jamais à l'envers, mais qui vont boire leurs deux verres de vin tous les jours, alors que certains vont s'enivrer juste le week-end et ne pas boire une goutte la semaine.

Ce qui est mon cas d'ailleurs, mais j'apprécie l'alcool uniquement pour son côté enivrant et désinhibant (je n'aime pas le goût et me limite à la bière). J'ai l'habitude de refuser des verres en riant "ah non merci, je ne bois que pour me soûler", ce qui fait penser à mon interlocuteur que je suis alcoolique, alors qu'en fait je vais boire une fois par semaine (généralement le week-end), assez pour me rendre pompette (c'est à dire 3 ou 4 bières, et encore, pas trop forte) sans plus, et tourner à l'eau le reste de la semaine, et quand je dis ça, c'est vraiment 0 verres, même pas un verre de vin à table, un petit apéritif ou une bière le soir pour se désaltérer (qui ne désaltère rien d'ailleurs).

Mais j'avoue que j'aime cette sensation où mon cerveau décroche suffisamment pour être à l'aise, mais pas totalement non plus (faut pas se mettre minable hein) et ça permet d'oser tout un tas de choses que je ne ferai jamais sobre. Cela me décoince, tout simplement, et je n'ai malheureusement pas trouver de moyen plus efficace pour arriver à cet état que l'alcool, alors que c'est forcément quelque chose que j'ai déjà en moi, mais qui reste derrière une barrière en temps normal.
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