Une sélection de bons conseils pour vous aider à bien préparer vos rencontres !
par Tyrus
ans
#225476
Lux a écrit : 22 sept. 2019, 12:19 Dans ces cas-là, tu peux tout aussi bien admettre que les VT ont une part de responsabilité dans leur état.
T'avais qu'à pas boire = t'avais qu'à draguer des meufs.
Ben oui c'est bien connu il suffit juste de draguer pour sortir de la VT. Il est clair qu'un VT a choisit de l'être et que les alcooliques on leur a mis un couteau sous la gorge pour les forcer à boire, tout comme les fumeurs. Ils ont totalement subis leur situation effectivement et n'ont aucune part de responsabilité ne serait-ce qu'infime.
La VT est donc effectivement une maladie tout comme l'alcoolisme.
Maintenant qu'on est d'accord là-dessus, inutile donc que je te réponde davantage.
Dernière modification par Tyrus le 22 sept. 2019, 13:54, modifié 1 fois.
par YX00
Homme de 38 ans vierge
#225477
resO a écrit : 20 sept. 2019, 07:50 On nous met un flingue sur la tempe ou un couteau sur la gorge pour nous dire "Bois/Fume ça ou je te bute !!! :angry: " ??
Je caricature volontairement avec cet exemple mais a priori la réponse est non. :wink:
Certes, on ne nous met pas un flingue sur la tempe ou un couteau sous la gorge. Mais il en faut bien moins pour que l'incitation se transforme en réalité.

x00 a écrit : 20 sept. 2019, 22:15 Tout ce qui ont vécu les écoles d'ingé, ont véçu de pures soirées ou 10 ans après on en parle encore avec ses collègues.
Non, tous ceux qui ont vécu les écoles d'ingénieurs n'ont pas vécu de pures soirées qui permettent d'en parler 10 ans après avec ses collègues. J'en suis la preuve vivante.

Everest a écrit : 21 sept. 2019, 00:12 Par contre ,ce que je ne comprends pas , c'est qu'on laisse des jeunes ados fumer aux portes des établissements scolaires et faire du trafic.....
Pour ça, il faudrait que des législations soient mises en place dans ce but…

VACN a écrit : 21 sept. 2019, 17:07 Sur la route, un type essaie de prendre un virage serré à plus de 100 km/h, en ignorant copieusement le panneau un peu avant l'entrée du virage qui limite la vitesse à 70. Après tout, il passe tous les jours dans ce virage, il sait conduire, il n'y a personne d'autre sur la route, et de toute façon les limites de vitesse c'est juste une pompe à fric pour remplir les caisses de l'État.
Il va trop vite pour voir la flaque d'huile sur la chaussée. Il perd le contrôle, sort du virage et fait plusieurs tonneaux dans le champ d'à côté. Gravement blessé, il perd connaissance, et à son réveil, il découvre qu'il est paraplégique et devra passer le reste de sa vie dans un fauteuil roulant.
Il aurait voulu garder l'usage de ses jambes. Il ne pensait pas se retrouver dans cette situation quand il a choisi d'ignorer le code de la route. Il pensait pouvoir gérer, il se croyait meilleur que tout le monde. C'est ballot, maintenant il doit vivre avec les conséquences.

Les gens qui commencent à consommer des drogues en toute connaissance de cause sont comme cet homme. Ils commencent parce qu'ils croient pouvoir gérer. Dans leur tête, ça doit faire quelque chose du genre "Ouais, toutes ces campagnes de prévention, c'est rien / Moi je sais où est ma limite / Je sais que je deviendrai pas dépendant / Ça n'arrive qu'aux autres". Je persiste et signe : si on commence à abuser de l'alcool, à fumer ou à consommer des drogues dures, malgré toutes les mises en garde, parce qu'on se croit capable de résister, on ne peut s'en prendre qu'à soi-même si et quand on devient dépendant. C'est humain, de commettre cette erreur ; mais c'est quand même une erreur, et personne d'autre n'en est responsable que celui ou celle qui la commet.
Je suis d'accord sur le fait que chacun peut (et devrait) éviter les comportements à risque. Ceci étant écrit, le fonctionnement de notre société fait qu'un nombre important de personnes se permet d'avoir ces comportements à risque. Et les changements de législation montrent que ça peut évoluer. On peut penser à l'utilisation de la ceinture de sécurité, au port d'un casque lors de l'utilisation d'un véhicule, au respect des limitation de vitesse, à la conduite en état d'ivresse, etc. La responsabilité n'est donc pas individuelle mais aussi collective car nous laissons nos concitoyens se comporter de manière dangereuse. Est-ce que chacun dit à chacune de ses connaissances de ne pas boire, de ne pas fumer, de ne pas rouler trop vite, etc. à chaque fois quand il constate ces comportements ?

Tyrus a écrit : 21 sept. 2019, 17:28 Par contre ça a été dit, dans le cas d'attente d'organes, tu n'es plus prioritaires si tu es alcoolique par exemple.
C'est vrai, ça ? Je n'en avais pas connaissance. Est-il possible d'avoir une source d'information extérieure qui confirme cela ? Le texte du lien donné par Amaz indique (si j'ai bien compris) que les enfants, les personnes dont la vie est menacée à court terme et les personnes pour lesquelles la probabilité d’obtenir un greffon est très faible du fait de caractéristiques morphologiques ou immunogénétiques particulières sont prioritaires. Il n'est a priori pas question d'alcoolisme (ou de toute addiction) ici.

SnapBack a écrit : 21 sept. 2019, 18:02 C’est un dilemme similaire pour ceux et celles qui fument : doit-on encore indemniser les conséquences de leur addiction au niveau des soins de santé ? Sachant que l’État gagne de l’argent avec les produits du tabac et de l’alcool, c’est hypocrite de lâcher les gens quand leurs poumons et leurs foies sont des ressources financières pour le pays.
C'est une question que je me pose. L'État gagne-t-il vraiment plus d'argent sur la vente de produits du tabac et de l'alcool qu'il n'en dépense pour en traiter les conséquences négatives ?

Lux a écrit : 21 sept. 2019, 19:52 Refuser l'alcool quand on est dépressif, c'est aussi difficile que de perdre sa virginité quand on a des difficultés sociales.
J'ai du mal à comprendre ce parallèle entre éviter de faire un acte dans un certain état psychologique et l'exécution d'un autre à cause (souvent) de difficultés relationnelles. Dans le premier cas, notre société nous permet facilement de commettre cet acte. Dans le second, elle nous pose des difficultés pour le réaliser. Dans le premier cas, nous pouvons décider, à travers notre expérience, de ne pas nous mettre en danger. Dans le second cas, il n'en va pas de même
par mike62
Homme de 39 ans non vierge
#225478
La créativité des publicitaires est sans limite... je n'avais pas remarqué ces publicités "cachées " et je trouve ça assez vicieux mais bon si ça marche ça marche !

Le logo qui est utilisé est suffisamment semblable au logo d'origine pour que le cerveau comprenne immédiatement de quoi il en retourne.

Ça me fait un peu penser aux phrases dont on a enlevé quelques lettres (ou interverti certaines d'entre elles ) mais qui étrangement sont toujours facilement lisibles par le cerveau.

Tant que le nom ne se trouve pas sur ces pubs pour l'alcool, les fabriquants peuvent dire : "mais non vous voyez bien notre marque n'apparaît pas ". Puisqu'on parle sur ce topic des addictions j'avais vu un documentaire intéressant qui montrait les nouvelles drogues de synthèse fabriquées en laboratoire.
Les créateurs de ces substances, changeait une seule molécule de ces drogues ce qui fait que ces dernières...ne tombaient plus sous le coup de la loi puisque pas encore répertoriées comme substance interdite...

Quand la douane les saisissait, elle n'avait d'autre choix que de laisser poursuivre leur trajet jusqu'à l'acheteur (et pourtant elles sont très dangereuses et toxiques )

On peut donc établir une ressemblance, un parallèle entre la technique employée par ces trafiquants et celle des marques qui proposent elles aussi leur produit mais en détournant de façon subtile la loi censée les empêcher de s'afficher
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par Lux
Femme de 37 ans non vierge
#225479
Tyrus a écrit : 22 sept. 2019, 13:47
Lux a écrit : 22 sept. 2019, 12:19 Dans ces cas-là, tu peux tout aussi bien admettre que les VT ont une part de responsabilité dans leur état.
T'avais qu'à pas boire = t'avais qu'à draguer des meufs.
Ben oui c'est bien connu il suffit juste de draguer pour sortir de la VT. Il est clair qu'un VT a choisit de l'être et que les alcooliques on leur a mis un couteau sous la gorge pour les forcer à boire, tout comme les fumeurs. Ils ont totalement subis leur situation effectivement et n'ont aucune part de responsabilité ne serait-ce qu'infime.
La VT est donc effectivement une maladie tout comme l'alcoolisme.
Maintenant qu'on est d'accord là-dessus, inutile donc que je te réponde davantage.
Si tu n'es pas capable de comprendre que tu as exactement la même attitude et que tu tiens les mêmes propos que tous ceux pour qui un VT est une personne qui mérite son état car elle aurait pu perdre sa virginité en faisant ce qu'il faut, alors tant pis pour toi. Mais pitié, ne viens plus demander de la tolérance et de la compréhension de la part des autres :wink:

Ajouté 3 minutes 27 secondes après :
YX00 a écrit : 22 sept. 2019, 13:49 J'ai du mal à comprendre ce parallèle entre éviter de faire un acte dans un certain état psychologique et l'exécution d'un autre à cause (souvent) de difficultés relationnelles. Dans le premier cas, notre société nous permet facilement de commettre cet acte. Dans le second, elle nous pose des difficultés pour le réaliser. Dans le premier cas, nous pouvons décider, à travers notre expérience, de ne pas nous mettre en danger. Dans le second cas, il n'en va pas de même
Faux. Socialement, il est très positif de boire. Je viens de l'expliquer plus haut (mais tu ne lis que ce qui t'arrange). En ce qui me concerne, ça me coûterait beaucoup de refuser de boire à chaque fois qu'on me le propose, dans tous mes cercles proches (famille, amis, travail).
Et je ne vois pas quelles difficultés la société pose pour t'empêcher de draguer, bien au contraire. Il nous est constamment rappelé qu'il faut draguer et avoir une vie sexuelle pour être épanoui.
Cela peut vous défriser mais oui, ma comparaison est juste. Vous réclamez très fort une tolérance et un droit à la différence que vous êtes incapables d'offrir à ceux qui ne vous ressemblent pas. C'est triste à voir.
par SnapBack
ans
#225482
mike62 a écrit :La créativité des publicitaires est sans limite... je n'avais pas remarqué ces publicités "cachées " et je trouve ça assez vicieux mais bon si ça marche ça marche !
Je parlerais du sujet pendant des heures car je connais le milieu... mais je bosse dans des associations et l'objectif n’est pas de croître quand je réalise des visuels.

Bacardi, qui ciblait les jeunes et qui fait partie du même groupe que Martini, avait décliné en un single, une chanson apparue dans une publicité pour le Bacardi Breezer Mojito : la chanson s’appelait « Mojito Song » et ciblait les jeunes (on appelle ce type d’alcool, les alcopops).

De mémoire, ça avait bien marché mais les années 2000 étaient très féroces en terme de publicités.
Ça s’est un peu calmé car les budgets ne sont plus les mêmes.
par katy81
ans
#225484
resO a écrit :Tiens, comment ça se passe concrètement quand vous faites de la prévention ?
Tu interviens toi-même dans différents lieux (entreprises, écoles et établissements scolaires,...) ?
Tu veux dire que les personnes boivent beaucoup plus chez elles ou dans le bar ?? J'opterais pour la seconde option, surtout si un serveur peut se réserver le droit de refuser de resservir un client qui aurait trop bu.
on le fait en entreprise si elle le souhaite, mais là c'était toute une journée sécurité routière avec un stand spécial sur les addictions. Et mon job c'est que j'en fais tous les jours :sweat_smile: et les 3 quarts des gens s'en fichent royalement.

Pour ce qui est de la conso, les gens boivent beaucoup plus chez eux car ils ont leur bouteille, et leur verre (qui est souvent bien plus grand/gros que ceux des bars et ils ne dosent pas) ensuite ils sont sur place donc pas de risque de perdre leur permis (dans un sens c'est moins pire) ou de ne pas pouvoir renter chez eux. Ce qui est assez parlant c'est surtout chez les autres quand on est invité, c'est pareil. Les hôtes ont tendance à "faire boire" bien plus leurs amis sans forcément s'en rendre compte (encore une histoire de dosage et de % d'alcool) pour faire la fête. Malgré tout ils ne les laissent pas repartir aussi souvent qu'avant, les amis dorment sur place c'est quand même bien mieux.
resO a écrit :Il s'est passé quoi avec ce collègue qui a perdu son job ?
non ce n'est pas un collègue tu m'as mal comprise, c'est une personne que j'ai reçue dans le cadre de mon travail. A partir du moment où c'est écrit dans le règlement intérieur de l'entreprise "pas de consommation d'alcool" ou " constat d'un travail en état d'ébriété après avertissement un licenciement peut être déclaré" un truc du genre. Bref cet homme s'est fait contrôlé positif par son employeur, ce n'était pas la première fois, nous l'avions pris en charge et plusieurs fois alerté que ça pouvait lui arriver de se faire licencier. En plus il occupait un poste de travail à risque (pour lui et les autres salariés).
par Tyrus
ans
#225485
YX00 a écrit : 22 sept. 2019, 13:49
Tyrus a écrit : 21 sept. 2019, 17:28 Par contre ça a été dit, dans le cas d'attente d'organes, tu n'es plus prioritaires si tu es alcoolique par exemple.
C'est vrai, ça ? Je n'en avais pas connaissance. Est-il possible d'avoir une source d'information extérieure qui confirme cela ? Le texte du lien donné par Amaz indique (si j'ai bien compris) que les enfants, les personnes dont la vie est menacée à court terme et les personnes pour lesquelles la probabilité d’obtenir un greffon est très faible du fait de caractéristiques morphologiques ou immunogénétiques particulières sont prioritaires. Il n'est a priori pas question d'alcoolisme (ou de toute addiction) ici.
Il est vrai que leur critères ne sont pas très clairs. Toutefois de ce que j'ai pu lire on va demander à un patient alcoolique d'être sobre pendant 6 mois avant de pouvoir être greffé ce qui, suivant l'état du patient, peut le condamner.
https://www.dondorganes.fr/questions/59 ... fe-de-foie

Bon là il s'agit d'une greffe de foie pour un alcoolique mais j'imagine que c'est la règle de manière générale.
Comme je disais plus haut ces règles deviendront sans doute caduques (ou à minima assouplies) lorsque l'on aura trouvé un moyen d'augmenter le nombre d'organes à greffer.
Dernière modification par Tyrus le 22 sept. 2019, 14:31, modifié 1 fois.
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par Genisa
Femme de 31 ans non vierge
#225486
YX00 a écrit :C'est une question que je me pose. L'État gagne-t-il vraiment plus d'argent sur la vente de produits du tabac et de l'alcool qu'il n'en dépense pour en traiter les conséquences négatives ?
C'est pas dit, mais il existe certainement un lobbying assez fort de la part des buralistes, des entreprises etc..
YX00 a écrit :Est-il possible d'avoir une source d'information extérieure qui confirme cela ?
https://www.google.com/amp/s/amp-sante. ... alcoolique

Un score est appliqué pour classer tous les demandeurs de greffe par ordre de priorité. Beaucoup de critères entrent en ligne de compte, pas que des critères de santé (la proximité géographique par exemple).
Pour les greffes de foie pour cirrhose alcoolique, la dépendance de la personne et les risques de rechute après l'opération entrent dans le score. Quelqu'un qui n'a pas soigné son alcoolisme ne pourra pas prétendre à une greffe.
par resO
Homme de 37 ans vierge
#225489
katy81 a écrit :
on le fait en entreprise si elle le souhaite, mais là c'était toute une journée sécurité routière avec un stand spécial sur les addictions. Et mon job c'est que j'en fais tous les jours :sweat_smile: et les 3 quarts des gens s'en fichent royalement.

Pour ce qui est de la conso, les gens boivent beaucoup plus chez eux car ils ont leur bouteille, et leur verre (qui est souvent bien plus grand/gros que ceux des bars et ils ne dosent pas) ensuite ils sont sur place donc pas de risque de perdre leur permis (dans un sens c'est moins pire) ou de ne pas pouvoir renter chez eux. Ce qui est assez parlant c'est surtout chez les autres quand on est invité, c'est pareil. Les hôtes ont tendance à "faire boire" bien plus leurs amis sans forcément s'en rendre compte (encore une histoire de dosage et de % d'alcool) pour faire la fête. Malgré tout ils ne les laissent pas repartir aussi souvent qu'avant, les amis dorment sur place c'est quand même bien mieux.
.

Ok, et tu ne traites que l'alcool ou bien d'autres drogues ?
Ah ça doit expliquer cela. Je ne pensais pas au fait qu'on ne fasse pas gaffe au degré d'alcool mais plus à la quantité d'alcool et à la taille des verres (les pintes de bière dans les bars par contre, c'est énorme).
katy81 a écrit : non ce n'est pas un collègue tu m'as mal comprise, c'est une personne que j'ai reçue dans le cadre de mon travail. A partir du moment où c'est écrit dans le règlement intérieur de l'entreprise "pas de consommation d'alcool" ou " constat d'un travail en état d'ébriété après avertissement un licenciement peut être déclaré" un truc du genre. Bref cet homme s'est fait contrôlé positif par son employeur, ce n'était pas la première fois, nous l'avions pris en charge et plusieurs fois alerté que ça pouvait lui arriver de se faire licencier. En plus il occupait un poste de travail à risque (pour lui et les autres salariés).
Ok, je vois. Apparemment certains alcools sont autorisés sur le lieu de travail mais l'entreprise peut sanctionner ou refuser de laisser entrer un salarié ivre https://www.journaldunet.fr/management/ ... u-travail/
En tout cas si ce n'est pas la première fois que ça lui arrive (au sein de la même entreprise) et qu'il a déjà été averti plusieurs fois par sa hiérarchie, l'entreprise a tout simplement appliqué le règlement.
par mike62
Homme de 39 ans non vierge
#225491
L'alcool est vraiment une addiction dont il est difficile de se débarrasser. Ça dépend peut être des personnes (certaines y arriveront entre guillemets "facilement " ce dont je doute un peu ,et d'autres un peu moins )mais en tout cas cette addiction n'a rien à envier par exemple aux cigarettes (premier exemple qui me vient à l'esprit )

J'en veux pour preuve un ancien collègue de boulot qui a suivi 7 (!) Cures de désintoxication et qui n'est toujours pas sorti d'affaire.

Je l'ai croisé récemment et il avait le visage vraiment rouge (de petites veines sont presentes au niveau de son visage ce qui lui donne cette couleur rosacée et qui sont directement dues à sa consommation )

La dépendance est non seulement physique mais aussi psychologique : ça agit comme une sorte de" béquille ". Et d'ailleurs au niveau physique pas mal de gens connaissent sans doute le delirium tremens en cas de manque , et qui peut être mortel... bref pas simple d'en sortir :confused:
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