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par Lux
Femme de 37 ans non vierge
#226898
mike62 a écrit : 18 oct. 2019, 19:59 Lux je suis vraiment étonné de ce que tu dis à ton propre sujet concernant la réserve dont tu fait preuve dans certaines situations sociales.

D'après les quelques messages que j'ai lu de toi sur le forum (mais j'ai conscience qu'il est difficile de juger derrière un écran et que des préjugés sur les gens peuvent se mettre en place rapidement ) je te croyais à l'aise en toute circonstances.

Je te voyais en toute situation, comme une femme de caractère et à la forte personnalité qui n'hésite pas à remettre à sa place les perosnnes lui manquant de respect.

Mais après c'est vrai que tout le monde a ses propres soucis et notamment en ce qui concerne les relations sociales...
En réalité quand il n'y a pas d'enjeu je suis très à l'aise. Au boulot, où je me sens bien, je suis très bavarde, drôle, etc. Mais dans un contexte où j'ai envie de plaire c'est très compliqué pour moi...
#226899
katy81 a écrit : 17 oct. 2019, 21:54 attention je ne fais la morale à personne et ne vous insulte pas de pochetron(ne), c'est juste une discussion sur les effets de l'alcool (ou autre)
c'est là où peut être est le danger (je dis bien peut être) car au final vous n'êtes pas vous-même, c'est ce qui est expliquer dans le reportage, que lorsque l'on ressent des effets assez "magique" on en redemande, on réclame cet état pour ressentir de nouveau les effets, et avoir cette impression que l'on est nous-même.

Ce que je trouve dommage ce n'est pas que vous devez boire pour être sympathique ou draguer, c'est que les autres vous le font ressentir aussi. En quelque sorte, finalement, ils ne vous apprécient pas ou moins lorsque vous êtes vraiment vous, sobre (sans alcool).
C'est ce que dit cet homme dans le fait que l'alcool est considéré comme une source de joie dans la société, ce qui peut être vrai dans certaines circonstances ou moment de la vie.
Lux a écrit :soit avec un mec ou des gens que je trouve bien mieux que moi)
c'est quand même un point très intéressant et c'est à mon sens la raison de beaucoup de personnes qui doivent boire pour se sentir bien en société.
Et finalement on en revient toujours un peu à la même histoire du fait que l'on peut vite se sentir en marge d'un groupe si on ne boit pas, on ne fume pas etc...
Et je crois que jamais je ne me sentirai obligée de boire ou fumer pour faire parti d'un groupe ou autre ou me faire accepter. Tant pis si les gens ne m'apprécie que modérément jusque à cause de ça, c'est un choix.
Je peux boire du vin ou un apéro mais ce n'est pas ça qui fera de moi une autre personne.
Gros +1!
Tu fais bien d'insister que cette personne alcoolisée n'est à mon sens pas la personne initiale. C'est une personne différente, je ne la vois pas du tout comme une personnalité intérieure ou cachée
par resO
Homme de 37 ans vierge
#226905
Lux a écrit : Ben tout un tas de choses, je suis beaucoup plus détendue, à l'aise, je fais plus de blagues, je parle aux gens même que je ne connais pas... Même avec les hommes que je fréquente je le remarque, j'ai beau connaître certains depuis un moment, je n'arrive pas toujours à être complètement naturelle, sauf que j'ai bu.
Lux, c'est bien qui me semblait (sauf quand tu as bu :neutral_face:... je te taquine). Tu es à l'aise socialement en tant normal mais plus timide, inhibée , sous pression en séduction quand tu es sobre où tu dois certainement beaucoup cogiter sur quoi dire et faire. Et du coup tu essayes d'altérer cet état en buvant un peu.

Bon déjà la timidité amoureuse concerne beaucoup de gens si ça peut te rassurer, même chez des personnes moins moins timides je pense. Pour autant tu as toujours bu à chacune de tes relations ?? Tu n'as connu aucune, mais absolument relation en te rapprochant de quelqu'un sans prendre de verre au préalable ?? C'est toujours l'autre qui a initié le rapprochement ?
Lux a écrit : Je ne bois pas pour me sentir intégrée et faire comme les autres ; je bois pour ne plus me sentir comme une m*rde qui n'a rien d'intéressant à raconter, qui doit cacher sa nullité et sa médiocrité.
Pour le coup, vraiment, je n'ai jamais eu besoin de me forcer à boire : c'est plutôt toujours moi qui enclenche le truc pour me sentir plus à l'aise.
Je ne jette pas la pierre à ceux qui ont pu me dire que j'étais plus simple quand j'avais bu : c'est vrai. Même un type que je désire, que je connais depuis un moment, j'ai du mal à le laisser m'approcher alors même que j'ai envie de lui, que j'ai envie de rire, de parler avec lui. C'est difficile aussi à comprendre pour les autres parfois — d'autant que je suis évidemment incapable de parler de mes difficultés...
Nullité,médiocrité, se sentir comme une m.. et inintéressante en quoi ?? Parce que tu ne penses pas avoir une vie suffisamment riche ??

- Si tu parles bien de ça, tu dois déjà avoir de quoi faire échanger. Tu dois habiter seule dans une ville avec plein de bons plans pour sortir, tu as un job qui te plaît j'imagine, tu as un entourage avec qui tu t'entends bien (amis, collègues, famille) avec de potentielles rencontres, des activités et passe-temps (du sport, des arts, la vie associative et militante....). A côté de toi, j'en aurais moins à dire :joy:

- Si tu parles de tes compétences sociales, tu t'es déjà demandée comment tu agis dans d'autres circonstances où tu es à l'aise, ou en repensant à la première fois que tu as rencontré des collègues, des amis et des proches ?? Tout n'a pas forcément bien commencé avec eux non plus mais tu as bien gardé le contact ensuite. Perso je dois me trouver des petits "trucs" comme rebondir sur ce que dit l'autre avant de glisser un peu de ma vie perso, profiter des blancs ( = silences dans la conversation , pas de polémiques svp ! :sweat_smile: ) pour boire ou manger, observer l'ambiance de décor.Des fois faut aussi accepter d'avoir des conversations banales, ou bien on peut rigoler pour pas grand chose. En tout cas les IRL m'ont bien fait comprendre ça, même si l'enjeu n'est pas le même que lors d'un date.

Après un dialogue doit se faire à deux, il faut aussi que l'autre parle un peu même si je peux apprécier quelques blancs dans la conversation. Je ne peux pas toujours tout faire tout seul dans un échange. C'est un peu ce que je "déplore" sur les SDR lors des rares débuts de conversation, quand l'autre te répond juste "ah ouais/ Ok/d'accord" sans trop rebondir sur ce que tu écris ou te poser des questions, alors que la personne se plaint elle-même sur son profil d'avoir des accroches ou conversations banales "Bonjour/Salut, ça va ?". Si l'autre derrière son écran (et même IRL ) ne fait pas d'effort ou ne donne pas du sien, ça commence mal. Je me considère pourtant moi-même comme timide pour dire tout ça mais curieusement, je préfèrerais être fixé lors d'un RDV IRL que de continuer à échanger derrière un écran. J'ai l'impression qu'on fait moins d'efforts derrière un écran.
katy81 a écrit :attention je ne fais la morale à personne et ne vous insulte pas de pochetron(ne), c'est juste une discussion sur les effets de l'alcool (ou autre)
c'est là où peut être est le danger (je dis bien peut être) car au final vous n'êtes pas vous-même, c'est ce qui est expliquer dans le reportage, que lorsque l'on ressent des effets assez "magique" on en redemande, on réclame cet état pour ressentir de nouveau les effets, et avoir cette impression que l'on est nous-même.

Ce que je trouve dommage ce n'est pas que vous devez boire pour être sympathique ou draguer, c'est que les autres vous le font ressentir aussi. En quelque sorte, finalement, ils ne vous apprécient pas ou moins lorsque vous êtes vraiment vous, sobre (sans alcool).
C'est ce que dit cet homme dans le fait que l'alcool est considéré comme une source de joie dans la société, ce qui peut être vrai dans certaines circonstances ou moment de la vie.


Je peux boire du vin ou un apéro mais ce n'est pas ça qui fera de moi une autre personne.
Oui, c'est tout à fait ça. On peut aussi bien boire un peu pour faire la fête quand on veut "s'éclater" que boire pour se sentir plus à l'aise socialement, et se désinhiber quand on est timide c'est ça qui rend l'alcool dangereux. Plus on recherche cet état d'euphorie/ de confiance en soi que procure la boisson dont on se sert un peu comme d'un "médicament", et plus on va en redemander par la suite, et plus car on risque de lentement glisser vers la dépendance (si on n'est pas vigilant) où on va consommer de plus en plus d'alcool à différentes occasions, et plus seulement à but festif ou se désinhiber.
Malheureusement ça se répercute sur la santé avec les effets que l'on connaît. Je ne ressens pas un changement radical de personnalité ou cet état d'euphorie (ou alors à peine) , mais les petits désagréments (la tête qui tourne, la vue qui se trouble, l'endormissement ) font que ça me dissuade vite de prendre un nouveau verre.
De plus, j'ai envie de rester lucide , maître de la situation (tous les buveurs ne sont pas mauvais mais certaines personnes mal intentionnées abusent de personnes ivres) en sachant ce que je fais (ne pas avoir la surprise de me retrouver par exemple sur des photos de FB en état d'ébriété) et ne pas être une charge pour les autres convives si je me "donnais en spectacle" en étant état de faiblesse. Enfin, depuis que j'ai un job plutôt sédentaire et à plus de 30 ans, je dois faire gaffe à ma posture et j'ai un peu peu "peur" (c'est pas non plus une obsession) des poignées d'amour et ce ce qu'on appelle familièrement un "ventre à bière".
opus41 a écrit : et Genisa a raison. Il est préférable d'être apprécié sous son vrai visage. Celui de la sobriété. Ceux qui nous préférent alcoolisé(e) ne sont pas les bonnes personnes. C'est mon point de vue.
Genisa n'en penserait pas moins mais c'est Katy qui a écrit ça je crois. Je préfère aussi qu'on m'apprécie tel que je suis naturellement en étant sobre. Si on me voyait après quelques verres ça ne serait pas moi, pas à mon avantage, puis faudrait aussi surmonter la gueule de bois.

Ca serait plus simple s'il existait un remède contre la timidité ou l'anxiété sociable avec un effet immédiat et permanent, et qui ne soit pas dangereux.
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par Genisa
Femme de 31 ans non vierge
#226914
Tyrus a écrit :Tu fais bien d'insister que cette personne alcoolisée n'est à mon sens pas la personne initiale. C'est une personne différente, je ne la vois pas du tout comme une personnalité intérieure ou cachée
Sauf que ça peut pas être une personne différente, c'est toujours nous.
Chez certains ça fait ressortir le pire, pour d'autres ça "aide". Je pense que si mon anxiété sociale et mon manque de confiance disparaissaient, je serais assez proche de ce que je suis quand j'ai bu. A l'inverse, le type qui a le vin mauvais est certainement déjà colérique sans alcool ; il va juste avoir plus de mal à contrôler ses sautes d'humeur.

D'ailleurs la première fois que j'ai embrassé quelqu'un c'était à une soirée où j'avais pas mal bu.. mes copines de l'époque s'étaient un peu moquées parce que j'étais toujours très coincée et que ça me ressemblait pas, soi-disant. Sauf que ça sortait pas de nulle part non plus, c'était quelque chose que j'avais envie d'essayer depuis longtemps (j'avais 18 ans), que je refoulais parce que le niveau de stress associé était trop élevé, et que j'ai pu faire en ayant bu.

(Et je précise parce que sait-on jamais, je suis pas en train de dire que l'alcool est la solution à tous nos problèmes. Mais ça peut y ressembler pour certaines personnes, et c'est d'autant plus dangereux).
par katy81
ans
#226915
Lux a écrit : 18 oct. 2019, 19:34 Je ne bois pas pour me sentir intégrée et faire comme les autres ; je bois pour ne plus me sentir comme une m*rde qui n'a rien d'intéressant à raconter, qui doit cacher sa nullité et sa médiocrité.
Lux a écrit :En réalité quand il n'y a pas d'enjeu je suis très à l'aise. Au boulot, où je me sens bien, je suis très bavarde, drôle, etc. Mais dans un contexte où j'ai envie de plaire c'est très compliqué pour moi...
d'une part tu n'es pas une m*rde, je trouve ça hyper violent et je me demande si tu n'as pas été étiqueté comme telle par des personnes malveillantes. D'autre part on peut apprendre, travailler pour peu à peu changer sa façon de procéder pour "plaire". Je sais très bien que tu sais tout ça
Ton vrai toi est vraiment au travail ? j'ai toujours l'impression qu'au contraire les gens jouent un rôle, comme une pièce de théâtre quand ils sont à leur boulot et qu'une fois la "pièce" terminée hop ils se montrent sous leur vrai jour.
resO a écrit :Ca serait plus simple s'il existait un remède contre la timidité ou l'anxiété sociable avec un effet immédiat et permanent, et qui ne soit pas dangereux.

mais ça existe, c'est juste que ça prend du temps de travailler dessus et qu'il faut accepter que les autres ne nous apprécie pas pour ce que l'on est vraiment.
ça ne veut pas dire être désagréable d'être soi, c'est juste être en harmonie avec ce que l'on est intérieurement, alors forcément ça plait ou pas. Au moins ça à le mérite de voir si les gens nous apprécie vraiment.
Tyrus a écrit :C'est une personne différente, je ne la vois pas du tout comme une personnalité intérieure ou cachée
effectivement c'est différent des personnalités que l'on peut avoir en nous.

En fait les gens ont très peur de se dévoiler, parce c'est bien de ça dont il s'agit, être soi-même face à des inconnus et/ou des proches/amis. On met en évidence une part de vulnérabilité, nos failles autant que nos qualités.

j'ai regarde très souvent la pièce de théâtre de Yasmina Reza "Art" que j'adore, qui parle de l'amitié.
par godfreyho
ans
#226916
katy81 a écrit :mais ça existe, c'est juste que ça prend du temps de travailler dessus et qu'il faut accepter que les autres ne nous apprécie pas pour ce que l'on est vraiment.
ça ne veut pas dire être désagréable d'être soi, c'est juste être en harmonie avec ce que l'on est intérieurement, alors forcément ça plait ou pas. Au moins ça à le mérite de voir si les gens nous apprécie vraiment.
Je vais faire mon rabat-joie, mais Pour l'avoir vécu de très nombreuses fois, que faire lorsque quand tu es naturel, tu attires l'antipathie des autres et récolte la violence? Lorsque j'étais enfant, je ne savais pas faire semblant, je l'ai appris dans la douleur et ai commencé à développer des techniques pendant le lycée. Je ne sais pas ce que l'alcool aurait donné avec moi, je n'ai jamais été saoul.

On finit par se fermer pour se protéger.
katy81 a écrit :d'une part tu n'es pas une m*rde, je trouve ça hyper violent et je me demande si tu n'as pas été étiqueté comme telle par des personnes malveillantes.
Ça doit être ça et on doit être nombreux à l'avoir vécu sur le forum, le problème c'est quand tout le monde te dit que tu ne vaux rien, il est difficile, je dirais même plus :wink: impossible de sortir de ce mode de pensée, je parle d'expérience. Donc histoire d'être constructif, je vais poser une question qui me parait essentielle: comment avoir confiance en soi, retrouver son estime de soi? Parce que c'est bien beau de dire tu te déprécies, ça on le sait bien, le problème est comment sortir de cette spirale infernale, sachant que l'image de toi que te renvoient les autres est négative.
C'est comme ça, je le répète, que des gens peuvent sombrer dans l'alcoolisme, ils trouvent un moyen d'être libérés de leurs inhibitions.
Donc pour conclure: comment arrêter de se considérer comme une sous raclure de bidet?
par resO
Homme de 37 ans vierge
#226917
On joue tous un rôle avec notre entourage (proches, collègues, voisins...).
katy81 a écrit : mais ça existe, c'est juste que ça prend du temps de travailler dessus et qu'il faut accepter que les autres ne nous apprécie pas pour ce que l'on est vraiment.
ça ne veut pas dire être désagréable d'être soi, c'est juste être en harmonie avec ce que l'on est intérieurement, alors forcément ça plait ou pas. Au moins ça à le mérite de voir si les gens nous apprécie vraiment.
Tyrus a écrit :C'est une personne différente, je ne la vois pas du tout comme une personnalité intérieure ou cachée
effectivement c'est différent des personnalités que l'on peut avoir en nous.

En fait les gens ont très peur de se dévoiler, parce c'est bien de ça dont il s'agit, être soi-même face à des inconnus et/ou des proches/amis. On met en évidence une part de vulnérabilité, nos failles autant que nos qualités.

j'ai regarde très souvent la pièce de théâtre de Yasmina Reza "Art" que j'adore, qui parle de l'amitié.
Ah bon ? Quand je parlais de "remède" contre la timidité (amoureuse), c'était au sens propre. Un médicament qui te guérit aussitôt comme une aspirine soigne un mal de tête. Quelque chose d'efficace en peu de temps justement et à long terme, de plus rapide et moins cher qu'une thérapie...du moment que c'est plus safe que de prendre un verre.
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par Azrael
Homme de 38 ans non vierge
#226918
godfreyho a écrit : 20 oct. 2019, 18:46 Ça doit être ça et on doit être nombreux à l'avoir vécu sur le forum, le problème c'est quand tout le monde te dit que tu ne vaux rien, il est difficile, je dirais même plus :wink: impossible de sortir de ce mode de pensée, je parle d'expérience. Donc histoire d'être constructif, je vais poser une question qui me parait essentielle: comment avoir confiance en soi, retrouver son estime de soi? Parce que c'est bien beau de dire tu te déprécies, ça on le sait bien, le problème est comment sortir de cette spirale infernale, sachant que l'image de toi que te renvoient les autres est négative.
C'est comme ça, je le répète, que des gens peuvent sombrer dans l'alcoolisme, ils trouvent un moyen d'être libérés de leurs inhibitions.
Donc pour conclure: comment arrêter de se considérer comme une sous raclure de bidet?
Tout le monde te dit que tu ne vaux rien, actuellement?

D'après mon expérience, c'est plutôt les crétins finis qui font genre que tu ne vaux rien (quand ce n'est pas le cas) et te cassent les coui****, les meilleurs gens te traitent mieux. Bien qu'ayant connu pas mal d'individus harceleurs/toxiques, le simple fait de ne pas accorder de crédit à n'importe qui, est ce qui m'a préservé, ça m'est toujours passé au-dessus.
opus41 aime ça
#226920
Genisa a écrit : 20 oct. 2019, 18:15 Sauf que ça peut pas être une personne différente, c'est toujours nous.
Chez certains ça fait ressortir le pire, pour d'autres ça "aide". Je pense que si mon anxiété sociale et mon manque de confiance disparaissaient, je serais assez proche de ce que je suis quand j'ai bu. A l'inverse, le type qui a le vin mauvais est certainement déjà colérique sans alcool ; il va juste avoir plus de mal à contrôler ses sautes d'humeur.
Ah mais tant mieux si ça en aide certains. Mais je continue de penser que ça n'est pas la même personne. C'est comme quand je vois mon frère se comporter de manière totalement différente quand il est avec une femme. Ok ça marche (une preuve de plus que rester soi-même, si on n'est pas intéressant, c'est une mauvaise idée) mais toujours est-il que je ne le reconnais pas dans ces moments-là.
par godfreyho
ans
#226921
Azrael a écrit :Tout le monde te dit que tu ne vaux rien, actuellement?
On ne m'a jamais dit que j'avais une seule qualité, là je parle des gens qui n'étais pas hostiles envers moi, mais même chez eux il y a ne sorte de mépris ou de pitié. Sinon pour ce qui est de balancer des cochonneries pas de soucis, je n'ai même pas à provoquer les choses, je ne compte même plus les fois où peinard dans mon coin des individus sont venus me balancer des commentaires désobligeants comme ça gratuitement. Ça s'est calmé une fois dans la vie active mais ça ne s'est jamais vraiment arrêté, ce qui les retient je pense, c'est la peur d'une plainte pour harcèlement mais malgré ça ils ont continué et ce n'est pas de la parano, je l'ai vu aussi pour d'autres.
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