- 22 oct. 2014, 12:27
#130771
L'essentiel étant la conclusion, que je cite au cas où vous ne seriez pas allés au bout :
"L'idéal, confirme Patricia Delahaie, c'est peut-être un gentil, avec du caractère.
Je crois que les femmes n'aiment pas fondamentalement les mauvais garçons.
Ce qui n'est pas très séduisant peut-être, c'est l'incapacité à prendre des initiatives ou des décisions, ce qu'on pourrait qualifier de mollesse. Mais l'honnêteté, la gentillesse, la tendresse, ce sont des qualités hautement désirables". Et de conclure: "Il faut se vouloir du bien en amour, avant tout!" Un mantra qu'Isabelle a fait sien depuis sa rencontre avec David. "Il n'est pas celui que l'on va remarquer en premier, mais lui me remarque justement, et me rend enfin heureuse".
Et si la maturité amoureuse finalement, c'était cela, désirer quelqu'un qui nous fait du bien?
"L'idéal, confirme Patricia Delahaie, c'est peut-être un gentil, avec du caractère.
Je crois que les femmes n'aiment pas fondamentalement les mauvais garçons.
Ce qui n'est pas très séduisant peut-être, c'est l'incapacité à prendre des initiatives ou des décisions, ce qu'on pourrait qualifier de mollesse. Mais l'honnêteté, la gentillesse, la tendresse, ce sont des qualités hautement désirables". Et de conclure: "Il faut se vouloir du bien en amour, avant tout!" Un mantra qu'Isabelle a fait sien depuis sa rencontre avec David. "Il n'est pas celui que l'on va remarquer en premier, mais lui me remarque justement, et me rend enfin heureuse".
Et si la maturité amoureuse finalement, c'était cela, désirer quelqu'un qui nous fait du bien?
Dio, dammi l'umiltà di accettare le cose che non posso cambiare, il coraggio di cambiare le cose che posso cambiare, e l'intelligenza sufficiente per distinguere i due tipi di cose. S. Francesco di Assisi