- 26 août 2015, 14:11
#154345
(Progrès de la médecine qui s'accompagne d'une baisse très importante de la mortalité infantile et de la mort des femmes en couche? Libération de la femme du joug d'une société fondée sur le patriarcat qui s'accompagne d'un changement de leur image de génitrice?)
PS:
Trouvé sur le site de l'INED (il y a un tableau de l'évolution de la mortalité infantile en France au cours du temps):
C'est effrayant !
(et cette statistique ne prend en compte que les enfants qui "naissaient" en vie, si je comprends bien)
Après 1945, on voit s'accélérer la diminution de ce taux.
regarde les "canons" des années 1960-1970 : ce sont souvent des femmes très fines.Je pense que les années 60 ont été une période de transition dans la représentation du corps des femmes.
(Progrès de la médecine qui s'accompagne d'une baisse très importante de la mortalité infantile et de la mort des femmes en couche? Libération de la femme du joug d'une société fondée sur le patriarcat qui s'accompagne d'un changement de leur image de génitrice?)
PS:
Trouvé sur le site de l'INED (il y a un tableau de l'évolution de la mortalité infantile en France au cours du temps):
Aux alentours de 1740 en France, près d’un nouveau-né sur trois mourait avant d’avoir atteint son premier anniversaire, victime le plus souvent d’une maladie infectieuse. La situation change à la fin du XVIIIe siècle : la mortalité infantile, c’est-à-dire la mortalité des enfants de moins d’un an, se met à baisser rapidement. Vers 1850, la mort ne frappe plus qu’un nouveau-né sur six.http://www.ined.fr/fr/tout-savoir-popul ... en-france/
C'est effrayant !
(et cette statistique ne prend en compte que les enfants qui "naissaient" en vie, si je comprends bien)
Après 1945, on voit s'accélérer la diminution de ce taux.
Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.