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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#199212
VACN, j'aurais tendance à me dire qu'il faut pour lâcher prise prendre en compte l’environnement, ce n'est pas la même chose de vivre au sein d'une famille où les relations sont saines et une famille où il y a un où des gens toxiques et qui ne permettent pas de lâcher prise. Je pense que l’environnement joue un rôle, par -exemple à l'école ou le montre du travail, je pense que nous travaillions mieux et sommes plus productifs dans un environnement qui nous stimule et où nous nous sentons bien, plutôt que lorsque nous travaillons dans un environnement anxiogène et où nous nous sentons pas à notre place. Or pour lâcher prise, c'es le fruit de divers facteurs.

Fin ceci dit je n'ai pas répondu à la question de comment lâcher prise mais je me suis posé la question de pourquoi tu ressens ce sentiment ? cependant J'aime l'idée de la méditation etc, néanmoins je pense que comme lorsqu'une personne est gravement malade, les médicaments ne permettant pas la guérison, ils ne permettant que de tempérer les symptômes de celle-ci, c'est pourquoi je pense que les solutions telles que la méditation permettent d'atténuer le stress mais ne règlent pas la problématique profonde.

Il y a sans doute des raisons légitimes de pourquoi tu ressens ce sentiment ''d'anxiété'' de ne pas être libre de tes mouvements et voilà pourquoi je parlai de notre environnement qui peut s'avérer un indice de pourquoi nous arrivons pas à lâcher prise, chose que j'ai moi-même ''étudié'' car j'ai beaucoup de mal également à lâcher prise et je pense que le pourquoi se trouve dans mon éducation, une éducation ou nous avons(moi et ma sœur) en tant qu'enfant étions brimé, restreins dans la liberté de nos expressions.
par SnapBack
ans
#199217
Si tu as des passions qui te tiennent à cœur, ça peut être utile.
Les émotions l'emportent sur la raison, et en étant un tant soit peu raisonnable, ça peut t'aider à vivre quelques instants de manière légère sans tes soucis du quotidien.

C'est agréable d'avoir ce genre de moment où on est déconnecté quelques instants... et pas besoin d'alcool ou de drogue quand on a une tendance à la rêverie.
Amaz aime ça
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par Berthier
Homme de 42 ans non vierge
#199353
Azrael a écrit :Bah pour rester dans les images (cé ludique les imazes :grinning:), la recherche google donne assez l'idée que je me fais du lâche-la-prise (bon, l'arrière-fond mielleux en moins :innocent:) :
L'arrière fond mielleux de tes images me fait penser à celle ci :innocent:

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par Coelio
Homme de 34 ans non vierge
#199409
Sujet et question très intéressants. C'est vaste.
Je vais y aller de ma petite pierre à ajouter à cet édifice un peu branlant :) .

J'ai d'abord réussi (à peu près, et ça a ses limites) un lâcher-prise "social".
A savoir que de mec hyper-complexé qui n'assumait pas forcément ses envies, son côté un peu barré, n'osait pas faire certaines choses par peur du ridicule et donc du regard des autres, je suis passé à un truc un peu inverse. Je tiens de moins en moins compte du regard d'autrui. Et quel bien ça m'a fait!

Professionnellement, j'espère que c'est en cours, mais un peu de la même manière, j'espère réussir à m'affranchir des contraintes et de la pression inhérente à cette activité. Laisser couler. Ne plus trop me soucier des conséquences d'un truc pas parfait, pas fait à temps, du mécontentement d'un supérieur. Accepter ça comme une averse sous laquelle on se retrouve malgré nous. Pas forcément le truc plus agréable sur le moment, mais pas de quoi se torturer l'esprit 3 jours derrière, ou pire encore des semaines ou des mois.
Je redoute néanmoins de tomber dans une inverse extrême, à savoir un je-m'en-foutisme complet (qui n'est pas incompatible avec une certaine rigueur et un sérieux pro).
Fait-il dissocier le pro du social évoqué dans le premier paragraphe? Je ne sais pas trop... Mais se mettre à danser dans une rame de métro sans tenir compte du regard des autres usagers n'aura à priori pas.

Sentimentalement... Je crois que ça s'est fait le jour où j'ai accepté que finir ma vie seul était une possibilité, que ce serait dommage pour de nombreuses raisons mais pas non plus la fin du monde, et qu'on pouvait réussir sa vie très bien tout seul.
Sans pour autant renoncer à l'idée de trouver quelqu'un.


A la lecture de ce que je viens d'écrire, je crois que le lâcher prise, pour moi, consiste à accepter les emm*rdes de la vie comme des choses auxquelles on ne peut pas échapper et que l'on peut encore moins contrôler.
Ca ne veut pas dire non plus baisser les bras devant la moindre difficulté, ne pas faire le moindre effort face au premier obstacle venu. Mais accepter que parfois, bah quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Et qu'après avoir essayé 120000 choses sans trouver de solution à mon problème, le mieux est peut être de mettre ce problème de côté, de l'accepter, de vivre avec, et d'y revenir plus tard (s'il n'a pas disparu tout seul d'ici là ou bien est devenu négligeable).

(Oui c'est une réponse qui appelle d'autres questions et ne résout rien, en fait, désolé!)
opus41, Laura, Flibusta aime ça