x00 a écrit :Quand on veut lutter contre un truc, communiquer etc... Connaitre sa cible c'est mieux.
le soucis c'est qu'il n'y a pas de profil type non justement ça peut être n'importe quel type d'homme (riche, pauvre, actif chômeur, alcoolique ou non etc..etc...) il y a aussi la maltraitance psychologique
x00 a écrit : en sachant qu'une peine de moins de 12 mois ferme s'est jamais faite. Donc en fait, le mec n'a rien...
Le laxisme français dans toute sa splendeur.
on est bien d'accord sur ce point
les sanctions c'est illusoire parce qu'en France on pense qu'on peut "guérir" ce genre de personne, ce qui est à mon sens assez faux tant que lui-même n'a pas décidé d'accepter que son comportement n'est pas normal voir psychotique.
Tu n'imagines pas à quel point ces hommes minimisent leurs actes et même pensent et osent dire que c'est de la faute de leur femme.
Et le discours j'en ai entendu de jeunes comme de moins jeune, "ma copine/femme a intérêt à bien tenir la maison" "elle doit bien s'occuper des enfants .. sinon ça ira mal, sinon c'est une mauvaise épouse" et j'en passe
rien que ce discours rétrograde en lui-même est de la violence conjugale, il rabaisse leur compagne et les humilie quotidiennement.
Et d'ailleurs à la radio j'ai entendu ce qui serait une bonne chose à mon sens, c'est de ne pas tenir compte du discours de ses femmes qui les excusent qui disent aimer leurs maris etc... quand il y a une alerte de personne proche ou de voisinage, comme une sorte d'hospitalisation d'office pour dire qu'on les protèges (notamment l'Etat) que leur emprise psychologique ne peut pas leur permettre de prendre une telle décision (quitter le domicile temporairement, de quitter leur conjoint etc.... ) sans parler de celles qui ont des enfants ça devrait être automatique et non négociable. Après une période de mise à distance du mari/conjoint violent elle devrait voir si elle continue de rester avec lui ou de se séparer/divorcer.