- 21 avr. 2018, 14:50
#209933
Le titre sonne un peu cru, mais à l'image de ma présentation ça manquait d'inspiration.
Je m'étais inscrit il y a de cela 2-3 semaines sur divers sites de rencontre. Je ne cherchais et ne cherche toujours pas à être en couple, je voulais et veux toujours seulement du sexe avec des filles sympas. Ni plus ni moins.
Ma virginité m'a donné énormément de complexes. Depuis mes 16 ans à peu près j'avais l'impression d'être en retard. Certains de mes amis plus jeunes que moi ont sauté le pas, me l'ont décrit. Et moi je leur ai menti. Parce que je me sentais rabaissé et que je ne voulais pas perdre la face, le simple fait de les savoir plus expérimentés que moi me rendait malade.
Mon ex n'a pas aidé. Elle avait beaucoup de problèmes à régler vis-à-vis d'elle, et ses refus successifs de sexe (même préliminaires) ont sapé ma confiance en mon potentiel d'attraction. Je commence à peine à m'en "remettre", même si je sais que ce n'était pas ma faute j'ai vraiment vécu ces rejets personnellement, avec en parallèle comme je l'avais dit mes potes qui eux s'amusaient bien.
A l'université, le malaise s'est intensifié. Je sentais (ou imaginais) de plus en plus le décalage entre moi et les autres mecs. Entre tout ce que d'autres avaient pu expérimenter avec leur copine, toute la maîtrise qu'il pouvait avoir, toute l'aisance qu'il pouvait avoir avec les filles avec ça...
Pour autant, j'avais encore cet espoir d'une première fois avec une fille qui me plairait plus que les autres, avec qui je dirais tout, avec qui je n'aurais aucun complexe à parler de ça.
Je me suis résigné en Février, suite à un événement qui m'a certes piqué un peu mais m'a définitivement convaincu de me prendre en main et de tout faire pour me dépuceler, quoiqu'il arrive. A part un énorme coup de chance, la première fois que je fantasmais n'arriverait jamais, ou pas avant très longtemps. J'avais attendu 4 ans sans que rien ne se passe comme par magie, "naturellement", comme on me l'avait tant vendu étant enfant.
Alors je me suis inscrit sur diverses applications de rencontre.
Dans le tas, Okcupid. Je vais être bref, tout développer est inutile.
Mardi dernier, le 10 Avril 2018, j'ai envoyé un message à une fille, j'avais son numéro après 2-3 autres. Le lendemain matin, j'étais avec elle près d'une station de métro, à 7h. Elle est sympa, me plaît sans plus, parle un peu trop de ses problèmes mais ça va. Je la revois le même jour à 12h30. Là par contre elle me gave, je peux rebondir sur n'importe quel sujet elle arrive à le rendre déprimant et à se plaindre. Quand on se quitte, je prie intérieurement pour qu'elle ne me relance pas malgré son "A bientôt" qui en disait long.
Je parle et vois d'autres filles. Et le Dimanche de la même semaine (le 15, la semaine dernière), je décide de la revoir pour mettre les choses au clair, lui expliquer que je veux pas être son psy, qu'à part coucher avec elle j'ai pas d'ambition particulière. Je lui propose Lundi matin, elle me répond qu'elle peut pas, qu'elle a un oral à 13h. Je réponds un "tant pis" ou quelque chose comme ça. Puis elle répond presque immédiatement "Au fait, tu cherches quoi sur Okcupid ?". Je saisis la perche pour la rejeter définitivement, je réponds cash "Des rencontres et du cul".
Et là surprise, je lis le message suivant : "Ah, je suis soulagée". S'en sont ensuivis quelques autres SMS qu'il serait inutile d'étaler ici.
Pouf, le lendemain matin, j'étais chez elle. Et on a couché ensemble.
Je lui ai dit qu'après-coup, encore sur l'oreiller, que c'était ma première fois, elle a trouvé dommage que je ne lui ai pas dit avant mais a compris ma réticence.
Alors, comment ça s'est passé.
Quand je me suis levé, j'étais un peu stressé, comme vous vous en doutez. Je n'avais jamais vu de fille nue, aucune fille ne m'avait vu nu, je n'avais jamais touché de vulve. Tout ce que j'avais lu et entendu me donnaient cependant une base qui me permettait d'être à peu près certain de pas être le plus mauvais coup de sa vie, au pire un des moyens. Il y avait bien l'éjaculation précoce qui me donnait un peu d'appréhension, mais au pire bah tant pis, ce serait naze et voilà. Au moins ce serait fait.
Une fois chez elle, quand on s'est embrassés, je l'ai emmenée sur le lit pour plus de commodité. Je lui ai embrassé le cou, les seins, j'ai passé mes mains sur sa nuque, ses hanches, dans ses cheveux, sur ses seins aussi. Elle était très "vorace", elle était super chaude, elle m'a monté dessus pour m'embrasser partout sur le corps, y a que mon pantalon qui l'a empêché d'aller plus bas sur-le-champ. C'était très agréable.
Jusqu'ici on était dans ce que je maîtrisais.
Puis il a fallu sauter dans le vide, engager le freestyle.
Je vire mon pantalon, je défais le sien. On est tous les deux en sous-vêtements. Du jamais vu pour moi. Je la mets sur le dos et je continue de l'embrasser en la caressant. Je passe une de mes jambes entre les siennes, pour frotter le haut de ma cuisse contre sa vulve. C'était marrant, je la voyais gémir et ouvrir la bouche par à-coups sous le plaisir, j'ai joué à ça un petit moment. Je me suis retiré sur le côté, elle est revenue sur moi. Elle a recommencé à déposer des baisers partout en descendant. Et elle baisse mon caleçon pour attraper ma verge.
Là y a comme une alarme qui sonne, je me redresse en prétextant l'enlever tout de suite pour lui faciliter la tâche. En réalité c'était surtout pour gratter 2-3 secondes de préparation mentale. J'enlève donc le caleçon et le jette plus loin, je me rallonge. Elle descend, dresse mon pénis vers sa bouche avec sa main et le met entre ses lèvres.
Soudainement je sens sa langue sur mon gland.
Ici c'était très bizarre. La sensation était différente de ce que je pensais, mais c'était génial. Elle suçait divinement bien. Juste y repenser me donne des frissons. Etrangement je sentais pas l'éjaculation venir, je prenais mon pied mais j'aurais pu tenir 10mn de plus sans mal. C'est très différent de la pression d'une main, l'excitation et le plaisir sont pas les mêmes, le besoin d'éjaculer vient pas aussi vite (pour moi en tout cas).
Quand elle a fini (pas d'éjaculation), j'étais à la fois tout euphorique et un peu en état de choc, décontenancé. J'ai recommencée à l'embrasser/la toucher, j'hésitais à la lécher ou pas. Puis je me suis dit qu'après une pipe pareille elle méritait au moins que j'essaie, même si c'était claqué. Donc je fais descendre sa culotte, je la jette plus loin aussi, et je me retrouve le nez devant sa vulve. Pas d'odeur particulière, ça m'a étonné. J'ai léché un peu au pif je vous cache pas, je lui ai demandé au milieu si elle voulait que je fasse autrement. J'ai suivi ses indications (en gros appuyer plus, et plus amplement), mais j'ai pas pu continuer longtemps, ma nuque fatiguait. J'avais de la mouille sur le visage, là aussi je m'attendais à ce que ça me dégoûte, mais non en fait. C'était de l'eau qui collait un peu quoi.
Je suis allé à la salle de bain pour me rincer.
Quand je me suis rassis, elle s'est remise sur moi et s'est penchée pour prendre une capote. Elle a commencé à me la mettre, mais elle avait du mal à la dérouler jusqu'à la base. Je l'ai aidée. C'était drôle.
Une fois ça fait, elle s'est redressée pour que je rentre. Je lui ai demandé de le faire, l'angle de vue était trop mauvais pour que j'y arrive.
A ce moment précisément, j'ai vraiment eu l'impression de découvrir quelque chose. Au moment où elle s'est abaissée pour me rentrer en elle, j'avais la sensation d'arriver au bout d'une course de plusieurs années. Quand tout est rentré, je me suis concentré à fond sur la sensation. Et surprise...
Je sentais presque rien.
Je déconne pas, je sentais que dalle avec la capote. Je sentais sa chair autour de moi qui faisait étau, je sentais un peu la friction du va-et-vient, mais clairement pas l'extase à laquelle je m'attendais. J'ai fait aller-et-venir mon bassin mécaniquement, elle gémissait, je lui ai saisi les seins. Mais je me sentais perdu.
Peu après, elle s'est mise à quatre pattes, pour que je la prenne en levrette. J'ai réussi à rentrer, dans cette perspective là c'est simple. Encore une petite déception, je sentais toujours pas grand-chose et c'était très mécanique pour rien. Elle gémissait plus fort, alors je lui ai tiré les cheveux pour bien la voir pendant que je la prenais. Ca m'excitait un peu plus, mais là encore j'aurais pu tenir un moment. Je me suis vite ennuyé.
Je lui ai dit de se mettre sur le dos, mais impossible de rentrer, je bandais plus assez.
Elle m'a proposé de faire une pause, finalement on n'a pas repris après.
On a fumé un joint qu'elle venait de rouler, on a parlé un peu (je lui ai dit que c'était ma première fois dans la foulée), je me suis rhabillé et je suis parti. J'ai eu la flemme de tout pendant le reste de la journée.
Et j'étais super content de plus être puceau.
Je m'étais inscrit il y a de cela 2-3 semaines sur divers sites de rencontre. Je ne cherchais et ne cherche toujours pas à être en couple, je voulais et veux toujours seulement du sexe avec des filles sympas. Ni plus ni moins.
Ma virginité m'a donné énormément de complexes. Depuis mes 16 ans à peu près j'avais l'impression d'être en retard. Certains de mes amis plus jeunes que moi ont sauté le pas, me l'ont décrit. Et moi je leur ai menti. Parce que je me sentais rabaissé et que je ne voulais pas perdre la face, le simple fait de les savoir plus expérimentés que moi me rendait malade.
Mon ex n'a pas aidé. Elle avait beaucoup de problèmes à régler vis-à-vis d'elle, et ses refus successifs de sexe (même préliminaires) ont sapé ma confiance en mon potentiel d'attraction. Je commence à peine à m'en "remettre", même si je sais que ce n'était pas ma faute j'ai vraiment vécu ces rejets personnellement, avec en parallèle comme je l'avais dit mes potes qui eux s'amusaient bien.
A l'université, le malaise s'est intensifié. Je sentais (ou imaginais) de plus en plus le décalage entre moi et les autres mecs. Entre tout ce que d'autres avaient pu expérimenter avec leur copine, toute la maîtrise qu'il pouvait avoir, toute l'aisance qu'il pouvait avoir avec les filles avec ça...
Pour autant, j'avais encore cet espoir d'une première fois avec une fille qui me plairait plus que les autres, avec qui je dirais tout, avec qui je n'aurais aucun complexe à parler de ça.
Je me suis résigné en Février, suite à un événement qui m'a certes piqué un peu mais m'a définitivement convaincu de me prendre en main et de tout faire pour me dépuceler, quoiqu'il arrive. A part un énorme coup de chance, la première fois que je fantasmais n'arriverait jamais, ou pas avant très longtemps. J'avais attendu 4 ans sans que rien ne se passe comme par magie, "naturellement", comme on me l'avait tant vendu étant enfant.
Alors je me suis inscrit sur diverses applications de rencontre.
Dans le tas, Okcupid. Je vais être bref, tout développer est inutile.
Mardi dernier, le 10 Avril 2018, j'ai envoyé un message à une fille, j'avais son numéro après 2-3 autres. Le lendemain matin, j'étais avec elle près d'une station de métro, à 7h. Elle est sympa, me plaît sans plus, parle un peu trop de ses problèmes mais ça va. Je la revois le même jour à 12h30. Là par contre elle me gave, je peux rebondir sur n'importe quel sujet elle arrive à le rendre déprimant et à se plaindre. Quand on se quitte, je prie intérieurement pour qu'elle ne me relance pas malgré son "A bientôt" qui en disait long.
Je parle et vois d'autres filles. Et le Dimanche de la même semaine (le 15, la semaine dernière), je décide de la revoir pour mettre les choses au clair, lui expliquer que je veux pas être son psy, qu'à part coucher avec elle j'ai pas d'ambition particulière. Je lui propose Lundi matin, elle me répond qu'elle peut pas, qu'elle a un oral à 13h. Je réponds un "tant pis" ou quelque chose comme ça. Puis elle répond presque immédiatement "Au fait, tu cherches quoi sur Okcupid ?". Je saisis la perche pour la rejeter définitivement, je réponds cash "Des rencontres et du cul".
Et là surprise, je lis le message suivant : "Ah, je suis soulagée". S'en sont ensuivis quelques autres SMS qu'il serait inutile d'étaler ici.
Pouf, le lendemain matin, j'étais chez elle. Et on a couché ensemble.
Je lui ai dit qu'après-coup, encore sur l'oreiller, que c'était ma première fois, elle a trouvé dommage que je ne lui ai pas dit avant mais a compris ma réticence.
Alors, comment ça s'est passé.
Quand je me suis levé, j'étais un peu stressé, comme vous vous en doutez. Je n'avais jamais vu de fille nue, aucune fille ne m'avait vu nu, je n'avais jamais touché de vulve. Tout ce que j'avais lu et entendu me donnaient cependant une base qui me permettait d'être à peu près certain de pas être le plus mauvais coup de sa vie, au pire un des moyens. Il y avait bien l'éjaculation précoce qui me donnait un peu d'appréhension, mais au pire bah tant pis, ce serait naze et voilà. Au moins ce serait fait.
Une fois chez elle, quand on s'est embrassés, je l'ai emmenée sur le lit pour plus de commodité. Je lui ai embrassé le cou, les seins, j'ai passé mes mains sur sa nuque, ses hanches, dans ses cheveux, sur ses seins aussi. Elle était très "vorace", elle était super chaude, elle m'a monté dessus pour m'embrasser partout sur le corps, y a que mon pantalon qui l'a empêché d'aller plus bas sur-le-champ. C'était très agréable.
Jusqu'ici on était dans ce que je maîtrisais.
Puis il a fallu sauter dans le vide, engager le freestyle.
Je vire mon pantalon, je défais le sien. On est tous les deux en sous-vêtements. Du jamais vu pour moi. Je la mets sur le dos et je continue de l'embrasser en la caressant. Je passe une de mes jambes entre les siennes, pour frotter le haut de ma cuisse contre sa vulve. C'était marrant, je la voyais gémir et ouvrir la bouche par à-coups sous le plaisir, j'ai joué à ça un petit moment. Je me suis retiré sur le côté, elle est revenue sur moi. Elle a recommencé à déposer des baisers partout en descendant. Et elle baisse mon caleçon pour attraper ma verge.
Là y a comme une alarme qui sonne, je me redresse en prétextant l'enlever tout de suite pour lui faciliter la tâche. En réalité c'était surtout pour gratter 2-3 secondes de préparation mentale. J'enlève donc le caleçon et le jette plus loin, je me rallonge. Elle descend, dresse mon pénis vers sa bouche avec sa main et le met entre ses lèvres.
Soudainement je sens sa langue sur mon gland.
Ici c'était très bizarre. La sensation était différente de ce que je pensais, mais c'était génial. Elle suçait divinement bien. Juste y repenser me donne des frissons. Etrangement je sentais pas l'éjaculation venir, je prenais mon pied mais j'aurais pu tenir 10mn de plus sans mal. C'est très différent de la pression d'une main, l'excitation et le plaisir sont pas les mêmes, le besoin d'éjaculer vient pas aussi vite (pour moi en tout cas).
Quand elle a fini (pas d'éjaculation), j'étais à la fois tout euphorique et un peu en état de choc, décontenancé. J'ai recommencée à l'embrasser/la toucher, j'hésitais à la lécher ou pas. Puis je me suis dit qu'après une pipe pareille elle méritait au moins que j'essaie, même si c'était claqué. Donc je fais descendre sa culotte, je la jette plus loin aussi, et je me retrouve le nez devant sa vulve. Pas d'odeur particulière, ça m'a étonné. J'ai léché un peu au pif je vous cache pas, je lui ai demandé au milieu si elle voulait que je fasse autrement. J'ai suivi ses indications (en gros appuyer plus, et plus amplement), mais j'ai pas pu continuer longtemps, ma nuque fatiguait. J'avais de la mouille sur le visage, là aussi je m'attendais à ce que ça me dégoûte, mais non en fait. C'était de l'eau qui collait un peu quoi.
Je suis allé à la salle de bain pour me rincer.
Quand je me suis rassis, elle s'est remise sur moi et s'est penchée pour prendre une capote. Elle a commencé à me la mettre, mais elle avait du mal à la dérouler jusqu'à la base. Je l'ai aidée. C'était drôle.
Une fois ça fait, elle s'est redressée pour que je rentre. Je lui ai demandé de le faire, l'angle de vue était trop mauvais pour que j'y arrive.
A ce moment précisément, j'ai vraiment eu l'impression de découvrir quelque chose. Au moment où elle s'est abaissée pour me rentrer en elle, j'avais la sensation d'arriver au bout d'une course de plusieurs années. Quand tout est rentré, je me suis concentré à fond sur la sensation. Et surprise...
Je sentais presque rien.
Je déconne pas, je sentais que dalle avec la capote. Je sentais sa chair autour de moi qui faisait étau, je sentais un peu la friction du va-et-vient, mais clairement pas l'extase à laquelle je m'attendais. J'ai fait aller-et-venir mon bassin mécaniquement, elle gémissait, je lui ai saisi les seins. Mais je me sentais perdu.
Peu après, elle s'est mise à quatre pattes, pour que je la prenne en levrette. J'ai réussi à rentrer, dans cette perspective là c'est simple. Encore une petite déception, je sentais toujours pas grand-chose et c'était très mécanique pour rien. Elle gémissait plus fort, alors je lui ai tiré les cheveux pour bien la voir pendant que je la prenais. Ca m'excitait un peu plus, mais là encore j'aurais pu tenir un moment. Je me suis vite ennuyé.
Je lui ai dit de se mettre sur le dos, mais impossible de rentrer, je bandais plus assez.
Elle m'a proposé de faire une pause, finalement on n'a pas repris après.
On a fumé un joint qu'elle venait de rouler, on a parlé un peu (je lui ai dit que c'était ma première fois dans la foulée), je me suis rhabillé et je suis parti. J'ai eu la flemme de tout pendant le reste de la journée.
Et j'étais super content de plus être puceau.
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