- 27 août 2013, 07:30
#83986
J'ouvre un topic suite à l'idée suggérée par Pozor avec la marche et la parole.
Ces dernières années, on a découvert l'existence des "dys" parmi les élèves, dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dysorthographie, dyspraxie ... quand on a un "dys", c'est que les suites neuronales ne sont pas en place pour permettre tel ou tel apprentissage : lecture, orthographe, calcul... on ne "soigne" pas un dys, en revanche on met en place une rééducation qui permet d'activer d'autres neurones pour contourner le problème.
Pourquoi les personnes qui n'arrivent pas à nouer de relations amoureuses (j'exclus des causes telles que traumatismes d'enfance entraînant la peur du sexe, et timidité réellement pathologique) ne souffriraient -ils pas d'une forme de "dys" ? Ce qui est "naturel" pour les autres (flirt, baiser et la suite) ne le serait pas dans votre conformation neuronale; Et rien n’empêcherait de mettre aussi en place des "stratégies de contournement".
j'ai inventé pour cela le joli nom de "dyscupidonie".
Mais si ça se trouve qqun a déja eu l'idée sous un autre nom ?
Sauf que la recherche s'est attelée aux "dys" affectant les apprentissages, mais pas à un éventuel "dys" affectant les relations amoureuses. Pour ceux qui ont déjà fréquenté un centre de rééducation pour personnes handicapées, on s'occupe de leur état physiologique, osseux, musculaire, neurologique, puis de l'aptitude à se déplacer, bouger les mains, trouver du travail .. mais le problème des relations amoureuses est soigneusement zappé.
Là, c'est pareil... mais il ne tient qu'à nous de chercher.
Ce pourrait etre un objet d'études des toutes nouvelles neurosciences, et l'un des grands noms français est Stanislas Dehaene, j'ai lu son bouquin sur les neurones de la lecture, et je viens d'aller consulter le site du Collège de France, il a écrit aussi sur la psychologie plus "personnelle" :
http://www.college-de-france.fr/site/st ... sumes.htm|
Année 2010-2011
Introspection et métacognition : les mécanismes de la connaissance de soi [315.0Ko]
L'accès à la conscience
L'accès à la conscience [423.0Ko]
Année 2008-2009
L’inconscient cognitif et la profondeur des opérations subliminales [220.0Ko]
Année 2005-2006
Le rôle de l’imagerie cérébrale en psychologie cognitive [759.0Ko]
Ces dernières années, on a découvert l'existence des "dys" parmi les élèves, dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dysorthographie, dyspraxie ... quand on a un "dys", c'est que les suites neuronales ne sont pas en place pour permettre tel ou tel apprentissage : lecture, orthographe, calcul... on ne "soigne" pas un dys, en revanche on met en place une rééducation qui permet d'activer d'autres neurones pour contourner le problème.
Pourquoi les personnes qui n'arrivent pas à nouer de relations amoureuses (j'exclus des causes telles que traumatismes d'enfance entraînant la peur du sexe, et timidité réellement pathologique) ne souffriraient -ils pas d'une forme de "dys" ? Ce qui est "naturel" pour les autres (flirt, baiser et la suite) ne le serait pas dans votre conformation neuronale; Et rien n’empêcherait de mettre aussi en place des "stratégies de contournement".
j'ai inventé pour cela le joli nom de "dyscupidonie".
Mais si ça se trouve qqun a déja eu l'idée sous un autre nom ?
Sauf que la recherche s'est attelée aux "dys" affectant les apprentissages, mais pas à un éventuel "dys" affectant les relations amoureuses. Pour ceux qui ont déjà fréquenté un centre de rééducation pour personnes handicapées, on s'occupe de leur état physiologique, osseux, musculaire, neurologique, puis de l'aptitude à se déplacer, bouger les mains, trouver du travail .. mais le problème des relations amoureuses est soigneusement zappé.
Là, c'est pareil... mais il ne tient qu'à nous de chercher.
Ce pourrait etre un objet d'études des toutes nouvelles neurosciences, et l'un des grands noms français est Stanislas Dehaene, j'ai lu son bouquin sur les neurones de la lecture, et je viens d'aller consulter le site du Collège de France, il a écrit aussi sur la psychologie plus "personnelle" :
http://www.college-de-france.fr/site/st ... sumes.htm|
Année 2010-2011
Introspection et métacognition : les mécanismes de la connaissance de soi [315.0Ko]
L'accès à la conscience
L'accès à la conscience [423.0Ko]
Année 2008-2009
L’inconscient cognitif et la profondeur des opérations subliminales [220.0Ko]
Année 2005-2006
Le rôle de l’imagerie cérébrale en psychologie cognitive [759.0Ko]
Dio, dammi l'umiltà di accettare le cose che non posso cambiare, il coraggio di cambiare le cose che posso cambiare, e l'intelligenza sufficiente per distinguere i due tipi di cose. S. Francesco di Assisi