Vous avez un problème de santé d'ordre sexuel ? Cette rubrique est faite pour vous.
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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#236087
je conseille à tout un chacun de vivement prendre rendez-vous si le moral est morose et si ça dur dans le temps.

Je dirais que je me sens plus anxieux qu'autre chose, dans mon interprétation, une personne déprimée ou dépressive, elle ressent une tristesse importante, elle a des sanglots, des idées noires. Pour ma part je ressens plus de l'anxiété, voir de l'angoisse qu'autre chose, la tristesse aussi mais elle n'est pas accablante, c'est une triste diffuse et qui se fait discrète dans l'ensemble et quant à des idée noire elles sont rares, ça m'arrive mais ce n'est pas envahissant.

Mes deux symptômes principaux, c'est l'angoisse et un sentiment je dirais d'amertume mêlée à de la mélancolie, le tout sur un fond triste mais diffus et non accablant.
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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#236104
Bon bah pour ceux qui se pose des questions sur les antidépresseurs, dans mon cas j'en ai pour un mois et l'arrêt brutal est tout à fait envisageable, la dose est très petite, ça casse beaucoup de stéréotype sur les antidépresseurs, elle m’a dit que je devais simplement être sujet à de l'anxiété généralisée due à la perte de boulot + chômage et bon aussi faut que dire que climat covid c'est anxiogène.

1 mois de traitement (Comme quoi il n'y a pas besoin d'en prendre des années ! ça casse les clichés) sera suffisant dans mon cas. Et même si on devait prolonger ça sera à une dose encore moins qu'à mon actuel qui est loin d'être extravagante. Du coup j'ai une molécule soft par rapport au super star des antidépresseurs. J'ai un antidépresseur (qui fait à la fois également office d'anxiolytique) stimulant et non un sédatif qui agit sur la sérotonine, c'est de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine.

Évidemment, pas d'alcool et pas de prise de drogue et qui plus est avec les psychédéliques qui peuvent s'avérer problématique car ils peuvent causer le syndrome sérotoninergique. C'est lorsqu'on à trop de sérotonine dans le cerveau et ça causse des effets secondaire pas agréable à vivre.

Je voulais éviter à tout prix les benzodiazepines

https://www.centreantipoisons.be/profes ... ninergique
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par Laura
Femme de 36 ans vierge
#236628
Je vais en parler a mon medecin car en plus de douleurs inexpliquées je me sens comme toi, 'd'une tristesse et d' une angoisse profonde
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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#236631
J'ai pris un petit mois d'antidépresseur et j'ai cessé, je vais tenté de voir qu'est ce que ça pourrait  donner l'équivalent naturel, L-tryptophane, c'est peut-être des bêtises et l’homéopathie je m'en méfie quelque peu mais ça ne coûte rien d'essayer et je vais tenté en plus du L-Tryptophane de me faire des tisanes au Ginkgo.

En plus je n'ai pas de bol, j'ai droit au retour des acouphènes, ils ne sont pas hyper méga super fort mais c'est connu pour engendrer anxiété et dépression parfois. Personnellement ça ne me générait pas de porter un appareil auditif pour masquer mes acouphènes, j'ai lu divers résumé d'étude scientifique et pour le moment c'est le seul moyens qui permet de gagner en confort  pour les patients, il n'y à à l'heure actuel aucun remède sérieux. Il existe des pistes thérapeutique mais elles sont toutes au stade expérimental hélas chez le rat, la piste la plus sérieuse pour se débarrasser définitivement des acouphènes et potentiellement parvenir à résoudre les problèmes d'audition ce serait de faire repousser les cellules ciliée afin de restaurer l’audition à son plein potentiel.
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par Athanagor
Homme de 33 ans vierge
#237644
Vu une tendance personnelle à la déprime, j'ai longtemps été hésitant à passer sous antidépresseurs. J'ai dit ailleurs sur ce forum à quel point ça ne me gênait pas de consulter un psychologue, et me demander pourquoi d'autres étaient réticents à le faire, mais en fait j'ai longtemps eu, personnellement, cette même gêne face à l'idée que prendre des "pilules magiques" me rendraient moins malheureux.

Le hasard a fait que suite à mes problèmes de santé, pendant mon dernier passage à l'hôpital le médecin a pris l'initiative de me mettre sous antidépresseurs, justifiant que j'étais dans un état très anxieux; ce qui peut se comprendre vu mon anxiété naturelle, combinée aux divers problèmes graves auxquels j'étais confronté. Je pense que prendre ce traitement m'a aidé en partie à passer le cap au niveau psychologique, déjà c'était dur, alors je me demande ce que ça aurait été sans, durant plus d'un mois et demi d'hospitalisation.

Aujourd'hui je continue à prendre mon traitement, plutôt parce qu'on ne m'a pas dit quand l'arrêter, et je crains des complications si j'arrête brutalement de ma propre initiative. J'ai encore des RDV de prévus avec des spécialistes, et je pense que j'étudierai la question avec eux.

J'avoue que récemment il m'est arrivé de broyer du noir, malgré le traitement, donc je vais peut-être le maintenir, peut-être même qu'on m'augmentera la dose...
par XXXV
Femme de 36 ans vierge
#248213
C’est un truc auquel je ne toucherai jamais. Je sais que ma mère en a pris pendant une période et elle a pu arrêter facilement sans aucune accoutumance.
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par Valsiny
Homme de 35 ans vierge
#248219
Athanagor a écrit :Aujourd'hui je continue à prendre mon traitement, plutôt parce qu'on ne m'a pas dit quand l'arrêter, et je crains des complications si j'arrête brutalement de ma propre initiative. J'ai encore des RDV de prévus avec des spécialistes, et je pense que j'étudierai la question avec eux.
L'arrêt est toujours progressif : on commence par diminuer la dose, puis on n'en prend plus qu'un jour sur deux, et enfin on arrête complètement.

Je suis passé à une petite dose. Mais je retrouve aussi mon état antérieur, avec des phases très sombres et une humeur en dents de scie.