Hyperion a écrit :La séduction au travail est un jeu très dangereux. Cela peut-être à double tranchant. je ne m'y risquerais pas...
Ensuite, c'est normal de penser que si ça n'a pas marché quand il le fallait, ça ne marcherait pas tout autant ailleurs. Pourquoi maintenant et pas hier? C'était hier que j'avais besoin d'avoir cette relation (sous-entendu pendant le collège/lycée/Facs..) et pas maintenant (Boulot/Chômage/Etc).
Or ce qui est contradictoire, c'est quand la situation est favorable il y a personne, et quand c'est défavorable il y a tout le monde (exemple inversé: Je n'étais pas là quand tu avais besoin de moi (situation défavorable concrètement mais favorable dans le besoin), mais maintenant je suis là (situation favorable concrètement mais défavorable dans le besoin)).
Oui, entre les ragots de promotion canapé et les risques que ça se termine en accusation façon affaire Baupin il n'y a rien de vraiment engageant.
De toute façon, au vu des différents postes que j'ai occupés on n'avait pas trop le temps de se rapprocher et la plupart es collègues féminins sont déjà mariées.
Ou alors l'amour au boulot est réservé à des domaines privilégiés (le divertissement/les arts et spectacles/les sportifs et le showbiz, la politique...)
C'est tout à fait ça le "timing". Quand tu constates qu'à une période où il est "normal" de flirter et de commencer à avoir des relations amoureuses, tu es le seul clampin de la bande à ne fréquenter personne tu le prends mal malgré les encouragements "Tu verras ça va venir" etc. Et plus le temps passe plus tu perds espoir.
C'est sur qu'être pessimiste ou négatif n'arrange pas les choses mais comment continuer d'y croire encore quand il ne se passe rien ??
Passé un certain stade il nous faut du concret pour avancer, les suppositions et phrases bateaux ça ne dure qu'un temps.
rooter a écrit :
Tu sais, je me suis pas mal investis dans des associations, quand j'étais étudiant. Ça ne m'a pas aidé pour la vt... ^^ Le problème n'est sans doute pas de rester dans les livres, mais la raisons pour laquelle tu reste dans tes livres.
Bah c'est pas dur entre un physique ingrat, une
mère castratrice et les litanies des profs sur l'importance d'avoir de bonnes notes, l'égalité des chances, et de choisir une filière générale pour avoir "la belle vie". Si on ajoute à tout ça une succession de frustrations et de privations dès l'enfance qui empêchent de vivre comme la plupart des enfants (dans mon cas pas assez de sous pour les sorties ou partir en colonie/vacances, les vêtements et loisirs, pas de camarade à ramener à la maison, ...) , on a le cocktail explosif pour une vie de m... à l'âge adulte.