- 21 janv. 2009, 12:14
#10291
Oulà... que de citations extraites de leur contexte...
Pour faire court, ça devient légèrement agaçant d'épiloguer sur la forme que j'ai pu employer pour répondre à certaines personnes qui tournaient mes propos dans tous les sens. Je ne me pose pas en donneur de leçons par la seule manière dont j'exprime mes idées, et puis si j'ai pu paraître désagréable, je le regrette, mais il ne faut pas non plus exagérer comme l'a fait celui qui envisageait un recours à la modération. La prochaine fois, merci de me citer entièrement sans faire du "quote-wear"...
Je maintiens que le but premier ici n'est pas de raconter sa vie - si tu as bien suivi le fil, tu t'aperçois que j'ai simplement répondu à cette remarque (cf infra) donc inutile de me reprendre la-dessus - mais que ça peut être intéressant dans les sujets adéquats pour appuyer ses idées. Là aussi, merci de ne pas découper mes phrases en rondelles...
Autrement j'ai bien lu les bonnes sections, et à ce que je sache un débat contradictoire - même vif - comme tu le préçises n'est pas une polémique.
Enfin, vu que je commence à en avoir assez de me répéter, je propose de laisser ce dialogue de sourds aux oubliettes...
Pour en revenir au sujet, je n'ai jamais prétendu ne pas avoir de sentiments, ni n'avoir jamais connu quelque forme de désir, il y a donc bien une certaine confrontation aux réalités que j'ai énoncées sinon ça n'aurait aucun sens. Et si ma démarche se veut technique, voire scientifique, je n'ai pas dit que c'était entièrement le cas de l'objet dont je discute. C'est surtout pour essayer de mieux structurer mon raisonnement, et en aucun cas je ne prétends être complètement détaché de cet objet.
Et il va falloir m'expliquer également en quoi je rejette toute vie sociale...
Ce n'est pas non plus l'absence de sentiments qui constitue un vecteur d'élévation spirituelle, mais la lutte contre l'aspect néfaste qu'ils revêtissent, et je parle avant tout de désirs, or il y a là une différence de degrés.
Quand je parle de réactions chimiques lors de l'acte sexuel, c'est par rapport au plaisir ressenti, non par rapport aux relations elles-même et tout ce qu'elles impliquent.
Enfin, je ne vois pas pourquoi tu évoques Dieu et l'absinence, il n'y a aucun rapport avec la vision religieuse dans mon propos, et encore moins avec le contexte judéo-chrétien.
Pour faire court, ça devient légèrement agaçant d'épiloguer sur la forme que j'ai pu employer pour répondre à certaines personnes qui tournaient mes propos dans tous les sens. Je ne me pose pas en donneur de leçons par la seule manière dont j'exprime mes idées, et puis si j'ai pu paraître désagréable, je le regrette, mais il ne faut pas non plus exagérer comme l'a fait celui qui envisageait un recours à la modération. La prochaine fois, merci de me citer entièrement sans faire du "quote-wear"...
Je maintiens que le but premier ici n'est pas de raconter sa vie - si tu as bien suivi le fil, tu t'aperçois que j'ai simplement répondu à cette remarque (cf infra) donc inutile de me reprendre la-dessus - mais que ça peut être intéressant dans les sujets adéquats pour appuyer ses idées. Là aussi, merci de ne pas découper mes phrases en rondelles...
Autrement j'ai bien lu les bonnes sections, et à ce que je sache un débat contradictoire - même vif - comme tu le préçises n'est pas une polémique.
Enfin, vu que je commence à en avoir assez de me répéter, je propose de laisser ce dialogue de sourds aux oubliettes...
Pour en revenir au sujet, je n'ai jamais prétendu ne pas avoir de sentiments, ni n'avoir jamais connu quelque forme de désir, il y a donc bien une certaine confrontation aux réalités que j'ai énoncées sinon ça n'aurait aucun sens. Et si ma démarche se veut technique, voire scientifique, je n'ai pas dit que c'était entièrement le cas de l'objet dont je discute. C'est surtout pour essayer de mieux structurer mon raisonnement, et en aucun cas je ne prétends être complètement détaché de cet objet.
Et il va falloir m'expliquer également en quoi je rejette toute vie sociale...
Ce n'est pas non plus l'absence de sentiments qui constitue un vecteur d'élévation spirituelle, mais la lutte contre l'aspect néfaste qu'ils revêtissent, et je parle avant tout de désirs, or il y a là une différence de degrés.
Quand je parle de réactions chimiques lors de l'acte sexuel, c'est par rapport au plaisir ressenti, non par rapport aux relations elles-même et tout ce qu'elles impliquent.
Enfin, je ne vois pas pourquoi tu évoques Dieu et l'absinence, il n'y a aucun rapport avec la vision religieuse dans mon propos, et encore moins avec le contexte judéo-chrétien.