- 18 janv. 2009, 06:13
#10174
Je ne comprendrai jamais cette "peur" de ne pas connaître une expérience de sensations qui est loin d'être indispensable pour le bien-être, contrairement à ce que disent les mauvaises langues.
Et puis cette fameuse formule, "puceau à vie", que l'on agite comme un épouvantail... c'est supposé nous effrayer ?
Je ne comprends pas comment beaucoup de personnes peuvent manquer à ce point de recul par rapport à leur époque, surtout quand la sexualité est tellement banalisée, vulgarisée.
Je trouve cela fort regretable, et je méprise (je crache dessus même !) cette volonté uniformisatrice due à la pression sociale qui voudrait nous jeter à tout prix dans un moule, ou nous attribuer une étiquette.
Chacun est libre de vivre cet aspect de son existence comme il l'entend, ou de s'en désintéresser (cela arrive, ça ne fait pas de la personne en question un être anormal, vicié ou je ne sais quoi d'autre).
A lire certains témoignages, j'ai l'impression que certains vivent leur chasteté comme une damnation ou la pire des souffrances, et ils se fourvoient lamentablement, car c'est au contraire une manière noble de résister à l'appel du cerveau reptilien qui lui nous réduit à l'état de bête.
Et là j'entend la communauté des puceaux tardifs dont je fais parti qui frissonne de peur.Frissonne de peur si tu le veux, mais ne nous place pas tous dans le même panier, je te prie.
Je ne comprendrai jamais cette "peur" de ne pas connaître une expérience de sensations qui est loin d'être indispensable pour le bien-être, contrairement à ce que disent les mauvaises langues.
Et puis cette fameuse formule, "puceau à vie", que l'on agite comme un épouvantail... c'est supposé nous effrayer ?
Je ne comprends pas comment beaucoup de personnes peuvent manquer à ce point de recul par rapport à leur époque, surtout quand la sexualité est tellement banalisée, vulgarisée.
Je trouve cela fort regretable, et je méprise (je crache dessus même !) cette volonté uniformisatrice due à la pression sociale qui voudrait nous jeter à tout prix dans un moule, ou nous attribuer une étiquette.
Chacun est libre de vivre cet aspect de son existence comme il l'entend, ou de s'en désintéresser (cela arrive, ça ne fait pas de la personne en question un être anormal, vicié ou je ne sais quoi d'autre).
A lire certains témoignages, j'ai l'impression que certains vivent leur chasteté comme une damnation ou la pire des souffrances, et ils se fourvoient lamentablement, car c'est au contraire une manière noble de résister à l'appel du cerveau reptilien qui lui nous réduit à l'état de bête.