- 05 janv. 2015, 18:56
#134744
Le timidité est souvent liée au manque de confiance en soi et la confiance en soi à la mauvaise perception que l'on a de soi y compris sur le plan physique.
J'en ai pris conscience il y a à peu près deux ans lors d'une préparation à un entretien d'embauche. Je ne me suis jamais senti laid mais je reconnais certains traits que parfois me posent problème :
- Je ne suis pas très grand : avec mon mètre 73, je suis loin d'être un géant sans être un nain. Durant mon enfance, ma taille fut un grand complexe car j'étais plus petit que tous mes copains, lesquels faisaient tous au moins 1m80 à l'adolescence, voire que des filles de ma classe. Je m'y suis fait mais j'avoue ne pas imaginer avec une femme plus grande que moi. Or j'ai l'impression que les femmes le sont de plus en plus. La génétique ne me laissait aucune chance vu que des deux côtés il n'y a pas de girafe.
- Je perds mes cheveux : à cause d'une fichue alopécie héritée des deux côtés, mes cheveux ont commencé à se faire la malleà l'âge de 19 ans pour ne plus jamais revenir. Le pire est que jusqu'à l'adolescence j'avais une sacrée touffe au point d'avoir une coupe naturellement afro parce que je frisais énormément. Je commence tout juste à m'y faire mais c'est dur. J'ai appelé ça le syndrôme de Samson : en dehors de la chimiothérapie, je n'ai jamais aucune femme perdre ses cheveux.
- Je suis courbé : j'avais une tendance scoliotique depuis l'âge de 3 ans qui depuis est devenue une vraie scoliose. Concrètement je ne suis pas droit même si heureusement je suis nettement moins penché que durant mon enfance. A ce sujet, j'ai eu droit de la part de mon entourage au même genre de réflexions simplistes qu'à propos de ma timidité du genre : tu n'as qu'à y penser tout le temps. Sauf que, témoignage de psy à l'appui, il est absolument impossible de penser tout le temps à la même chose sinon ça s'appelle de l'obsession et c'est pathologique.
Finissons cependant sur un bonne note : plusieurs personnes ont trouvé que j'avais de beaux yeux bleus, que je dois à ma chère maman.
J'en ai pris conscience il y a à peu près deux ans lors d'une préparation à un entretien d'embauche. Je ne me suis jamais senti laid mais je reconnais certains traits que parfois me posent problème :
- Je ne suis pas très grand : avec mon mètre 73, je suis loin d'être un géant sans être un nain. Durant mon enfance, ma taille fut un grand complexe car j'étais plus petit que tous mes copains, lesquels faisaient tous au moins 1m80 à l'adolescence, voire que des filles de ma classe. Je m'y suis fait mais j'avoue ne pas imaginer avec une femme plus grande que moi. Or j'ai l'impression que les femmes le sont de plus en plus. La génétique ne me laissait aucune chance vu que des deux côtés il n'y a pas de girafe.
- Je perds mes cheveux : à cause d'une fichue alopécie héritée des deux côtés, mes cheveux ont commencé à se faire la malleà l'âge de 19 ans pour ne plus jamais revenir. Le pire est que jusqu'à l'adolescence j'avais une sacrée touffe au point d'avoir une coupe naturellement afro parce que je frisais énormément. Je commence tout juste à m'y faire mais c'est dur. J'ai appelé ça le syndrôme de Samson : en dehors de la chimiothérapie, je n'ai jamais aucune femme perdre ses cheveux.
- Je suis courbé : j'avais une tendance scoliotique depuis l'âge de 3 ans qui depuis est devenue une vraie scoliose. Concrètement je ne suis pas droit même si heureusement je suis nettement moins penché que durant mon enfance. A ce sujet, j'ai eu droit de la part de mon entourage au même genre de réflexions simplistes qu'à propos de ma timidité du genre : tu n'as qu'à y penser tout le temps. Sauf que, témoignage de psy à l'appui, il est absolument impossible de penser tout le temps à la même chose sinon ça s'appelle de l'obsession et c'est pathologique.
Finissons cependant sur un bonne note : plusieurs personnes ont trouvé que j'avais de beaux yeux bleus, que je dois à ma chère maman.