Venez ici pour discuter de vos complexes sexuels.

A combien de personne avez-vous parlé de votre virginité tardive ?

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par akadoc42
Homme de 40 ans vierge
#214741
Pour l'instant, je n' en suis qu'à 7 :innocent: :
- la psy qui me suis depuis presque 3 ans
- ma soeur et mon beau-frère
- ma mère et mon père
- une cousine et son copain
c'est peu :stuck_out_tongue: mais ce n'est pas fini car aujourd'hui je ne veux plus me cacher, ni cacher mon inexpérience (bon franchement, je ne pense quand même pas le mettre en avant pour rencontrer l'âme soeur :stuck_out_tongue_winking_eye: , je pense pas que ce sois très vendeur :joy: )
A chaque fois, des réactions bienveillantes mais en même temps ça me gênerait pas qu'on se moque de ma situation puisque moi même j'ai un regard acerbe et j'assume totalement ce que j'ai fait dans le passé (c'est à dire..... rien au niveau sentimental :joy: )
DIre que pendant des années j'ai "fui" les autres pour ne pas dévoiler mon secret et qu'aujourd'hui je pourrai presque le crier sur les toits sans peur du regard des autres :stuck_out_tongue_closed_eyes: . Quel changement :heart_eyes:
par JaneDarc
Femme de 33 ans vierge
#214940
J'avais déjà posté ici mais voilà, aujourd'hui j'ai vu un ami et à un moment il m'a dit que personne que nous connaissons lui avait dit que j'étais vierge. Il a pas eu de réaction moqueuse ou rien et n'a pas insisté dessus mais ça m'a fait bizarre de l'entendre. Ça rend la chose plus concrète et je peux pas m'empêcher de m'inquiéter.
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par Cece
Femme de 37 ans non vierge
#216486
Bonsoir,
Alors pour ma part, il y a déjà ma mère qui devait sens douter un peu comme elle ne m'a jamais vu avec un garçon, mon père je ne sais pas du tout s'il sens doute.
Il y trois amies (femmes) a qui je l'ai dit est avec qui je parle et j'en parle toujours un peu de temps en temps quand elles me parle de leur vie amoureuse.
Et à 3 hommes, donc deux qui m'avaient proposé de faire ma première fois. Et le 3eme avec qui on a parlé du pourquoi et du comment et il a est resté correct en vers moi.
Après pour le reste de ma famille je ne sais pas s'il s'en doute.
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par Simael
Homme de 39 ans vierge
#217374
Kiwii a écrit :Pour ma mère je ne sais pas, mais je pense qu'elle s'en doute. De toute façon cela n'a jamais été un sujet de conversation abordé entre nous !
C'est pareil pour mes parents. je pense que pour la plupart d'entre nous (pas tous évidemment) cela doit être aussi le cas. Ça se comprends, c'est très délicat d'aborder un tel sujet pour les parents. Bien sûr ma mère me sort parfois, à sa façon, qu'elle aimerait me voir avec quelqu'un (la dernière fois, c'était le jour de mon anniversaire). Je ne réponds pas à ça, je ne vois pas ce que je peux dire de toute façon.
par YX00
Homme de 38 ans vierge
#223646
Je n'ai parlé de ma virginité à personne.

Je préfère ne pas parler de ma vie privée. Si mes parents me posaient des questions sur le sujet, je leur répondrais que ça ne les regarde pas. J'irais peut-être même jusqu'à leur dire que si j'avais une petite amie, je n'envisage pas de leur parler d'elle avant que nous soyons ensemble depuis très longtemps parce que ma mère risque de l'assaillir de questions et de trop s'immiscer dans notre relation pour donner son avis dessus en voulant l'imposer.[/Hors sujet]
par Haze
Homme de 37 ans vierge
#223696
Oups, je me suis gouré et j'ai voté 2 au lieu de 3. Bon. Je ne compte pas les professionnels style psys là-dedans.
J'ai un petit témoignage.

Je l'ai récemment avoué à une connaissance. C'est difficile à expliquer, mais disons qu'on s'est rencontré dans un cadre qui a trait aux difficultés psychologiques. Tout le monde là-bas "a quelque chose", pour ainsi dire. Donc c'est un sujet qu'on peut aborder, si on le veut. On travaille aussi sur "l'affirmation de soi", la communication non violente, des choses comme ça.
Fille, 10 ans de plus que moi, très sympa, le contact facile. On a discuté de manière très cool, de nos dessins (on dessine tout les deux), de psychologie (elle est très franche, et a mentionné facilement ce qu'elle avait), de ses tatouages... Bref, sur quelques jours, il me semblait qu'on avait un certain contact, ne serait-ce qu'amical. Je ne la trouve pas très attirante, donc en ce qui me concerne je n'étais pas trop obnubilé par ça (comme ça avait pu être le cas avec une autre fille au même endroit... difficile, j'ai fini par accepter de ne rien tenter, je m'en sentais incapable de toute façon. et puis elle se barre à Marseille lol. bref).
Le centre a fermé trois semaines pendant Août. Le dernier jour je lui ai demandé si elle voulait mon email, elle a dit ok (non j'avais pas encore de smartphone... c'est chose faite maintenant. oui je suis très en retard. je lui ai proposé discord mais elle ne connaissait pas). L'après-midi venue, on discutait un peu avec un autre membre, un homme, et puis s'est dit qu'on allait boire un coup et continuer de parler un peu, ce qu'on a fait. On est resté 2-3 heures, je sais plus. On a parlé de manière très libre, de nos vies, de nos problèmes, j'ai vraiment beaucoup apprécié. C'est quelque chose que je désire vraiment en ce moment, et même en général, de pouvoir discuter de sujets comme ça de manière totalement franche. C'est devenu très personnel sans le moindre problème. Le sujet des "amis avec bénéfices" a été évoqué, et elle a dit qu'elle était dans une situation comme ça avec son meilleur ami. Comme la discussion était aussi franche, j'ai dit que j'étais jaloux de ça, mais sans aucune aggressivité ou émotion, juste parce qu'on était en train de parler librement. Je pense effectivement que c'est probablement un style de relation qui peut être très bénéfique. Elle a aussi dit qu'elle le laissait tromper ses relations avec elle quand il en avait. J'ai alors exprimé une désapprobation, j'ai dit que "je ne pouvais pas être d'accord avec ça". Là aussi, sans une once d'aggressivité ou d'amertume.
Étant donné la niveau d'intimité de la discussion, et profitant que l'autre personne s'absente un instant aux toilettes, je lui ai avoué ma virginité. Elle m'a répondu de manière très bienveillante, dans le style "affirmation de soi", qu'elle comprenait que ça puisse être difficile, mais que c'était bien justement en termes d'affirmation de soi d'avouer quelque chose comme ça. Elle m'a dit à son tour qu'elle n'avait jamais connu l'orgasme (j'imagine qu'elle voulait dire "avec quelqu'un d'autre"). L'autre personne est revenue et on en a pas reparlé.
Par la suite, et je souligne bien que c'était par la suite, en discutant des difficultés de cette autre personne (il a beaucoup de mal à sortir de chez lui, ça lui demande beaucoup d'énergie, des tendances agoraphobes), elle a évoqué l'idée qu'on se voie tous les trois pendant les vacances pour l'aider. Elle lui a demandé "si on te proposait une sortie, est-ce que tu pourrais venir ?", des choses comme ça. Sur le moment, personnellement, je ne m'attendais pas à une suggestion comme ça, et je n'ai pas su quoi répondre. Elle a évoqué l'idée à quelques reprises, on en a parlé pendant quelques temps, donc elle semblait être potentiellement sérieuse avec ça. Mais moi je n'ai rien trouvé à dire par rapport à ça, bien que j'aurais beaucoup aimé faire quelque chose comme ça. Je ne sais comment elle a interprété mon absence de réaction. J'imagine qu'elle aurait pu prendre ça de manière négative, mais elle pourrait tout aussi bien ne pas y avoir fait attention. Aucune idée.
J'en viens enfin à la question finale. J'ai mentionné, ici et là, quand on me le demandait, que je ne savais pas si je reviendrai au centre après les vacances. Elle le savait. Il y avait donc la possibilité réelle qu'on ne se voit plus jamais. À la suite de cette discussion, en se séparant, elle dit quelque chose comme "bon ba on se voit peut-être dans trois semaines ?". Peut-être. Elle semblait parfaitement accepter la possibilité de se dire tout simplement adieu sans aucun problème. Sur le coup j'ai été assez blessé. Je n'ai pas réagi pendant quelques secondes. Je ne sais pas si elle l'a remarqué. J'ai fini par répondre "...Ou pendant les vacances ?". Elle dit "Oui, ou pendant les vacances !" avec un sourire. Je dis "...T'as mon email.".
Je n'ai pas reçu d'email. Le centre a rouvert au début de la semaine. Je n'y suis pas encore retourné. J'hésite encore, parce que, sans rentrer dans les détails, je ne sais pas si le programme me convient. Mais j'aimerais bien rester un peu pour le reste, les autres, l'ambiance, etc. L'équipe me dit que j'ai fait beaucoup de progrès, et c'est probablement vrai. J'ai envie d'y retourner au moins une fois pour discuter avec elle de tout ça. Mais donc je l'ai pas encore fait. J'ai envie de lui expliquer tout ça, à la affirmation de soi, comment ce petit moment m'a blessé, etc. Et puis échanger nos numéros cette fois-ci.
Alors je sais bien ce qu'elle peut penser, on peut tous l'imaginer : qu'un puceau inexpérimenté risque de vouloir aller plus loin, de s'attacher, elle sait pas trop où ça va aller... Je comprend. Elle m'a dit qu'elle était borderline (rapidement, comme je l'ai dit, dès les premiers jours), et effectivement c'est un trouble qui peut causer des problèmes dans les relations. Mais en même temps je trouve blessant de ne pas avoir de "bénéfice du doute" pour ainsi dire. Qu'elle ne considère pas que je puisse faire la part des choses, que je puisse réellement ne chercher qu'une amitié. Et puis, même si j'en venais à ça, est-ce qu'elle ne peut pas tout simplement dire non ?...
Et à vrai dire, je ne suis pas certain moi-même de ce que je ressens. Comme j'ai dit je ne la trouve pas très attirante, mais en même temps je pense que si les choses progressaient, je ne serais pas forcément contre. J'aimerais être plus proche d'elle, et ça inclut aussi le côté romantique, ou même seulement physique. En fait je n'arrive pas à savoir si mes propres intentions sont "pures". Et en même temps peut-être que c'est une question insoluble, sans réponse.
J'ai aussi un peu honte parce que je me demande si mon image d'elle a été teintée par ce qu'elle a dit. Est-ce que je suis en train de me dire "ha ba si elle fonctionne comme ça dans ses relations, peut-être que j'ai une chance !" ? Est-ce que je lui manque de respect, en tout cas dans ma tête ?

Voilà voilà.
par Amuerie
Femme de 41 ans non vierge
#223703
Mes copines le savent toutes puisqu’elles ne m’ont jamais vu avec quelqu’un.
Elles savaient très bien que ça me pesait donc on n’en parlait pas vraiment. Uniquement lorsque j’ai commencé à voir mon actuel petit ami, j’en ai parlé avec l’une d’entre elles sur des questions plus intimes et ma peur après la première fois. Où pour le coup l’expérience me faisant défaut j’ai peur des limites que je ne veux pas franchir.

Mais à part mes copines personne et même pas l’homme qui partage ma vie depuis 4 mois quasiment.
Avatar de l’utilisateur
par MathSo
Homme de 29 ans vierge
#223735
Pour ma part, j'ai répondu 5.

Mes parents, ma sœur, un ami (qui était comme moi VT jusqu'à il y a peu : ça fait 4 personnes. Et hier, en consultation, j'en ai également parlé à ma thérapeute. Donc, 5 personnes depuis hier.
VACN aime ça
par Jul
Homme de 39 ans vierge
#223787
Trois je crois.

La première personne à qui je l'ai dit c'est un camarade de discussion sur internet , j'avais déjà 30 ans. J'ai senti que c'était possible à ce moment là.
Ensuite il y a eu une psychologue.
Puis enfin récemment une copine plus ou moins lointaine sur twitter.

Par contre mes parents, jamais. Question de pudeur.
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