Virginité tardive

Ce qui est un peu étonnant , c'est que c'est les 2 extremes qui ont le plus de vote.....donc en résumé , on le dit à personne ou à beaucoup de gens......

Je ne sais pas si c'est le bon topic pour poser la question, mais lors d'un examen de prévention en santé (anciennement bilan de santé), le médecin pose t-il obligatoirement la question sur les rapports sexuels ?

Et si c'est le cas, que répondez-vous en règle générale ?

On me l'a seulement demandé, quand j'ai eu un truc qui avait l'aspect d'une MST. Si tu es vierge, tu dis que t'as pas eu de relation "non protégée" (la protection étant relative), et pis c'est tout.

Tout mes potes, et je le dirais aussi à mon 1er partenaire je vais pas mentir là dessus !

Capote obligatoire, je garde mes poils en bas et si il est pas content il ira se faire ficher mais ailleurs !

Je ne suis pas vierge tardif l'ayant déjà fait avec des hommes . Je désire en priorité des femmes mais je n'ai jamais eu l'occasion de le faire avec l'une d'elle.

Je n'ai jamais eu le courage de parler de ma situation à quelqu'un que je connais dans la vrai vie.

A personne et je ne compte pas en parler. Je comprends qu’on puisse en parler à un médecin ou à un thérapeute mais pas avec l’entourage. En tout cas, je ne suis pas à l’aise pour leur en parler.

Tu es bien plus courageuse que moi. Je te félicites.

Même avec un médecin ou un thérapeute il serait pour moi difficile d'en parler.

Il y a environ une ou deux semaines. J'ai contacté une asso LGBT pour trouver un psychiatre spécialisé dans l'autisme et troubles assimilés (Il y a une probabilité non négligeable que je sois autiste au vu de ce que fut ma vie et certains de mes intérêts peu courants) voulant éviter la maltraitance médicale.

Mon objectif est d'essayer d'avoir un diagnostic d'autisme ou un non diagnostic et éventuellement obtenir l'AAH.

Je compte m'approcher des associations et collectifs LGBT ainsi que les associations et collectifs "sex positive". J'ai eu ce conseil via un gars du net et je pense que c'est une possibilité à explorer.
J'espère trouver une écoute bienveillante concernant mes problèmes sexuels et pourquoi pas une femme pour m'aider à passer le pas (Je pense que je n'aurais pas à cacher la vérité dans ce genre d'endroits) voyant bien que c'est difficile sur les sites de rencontres gratuits (Je cache la vérité sur ma situation et les partenaires vraiment disponibles sont peu nombreuses).
J'ai des appréhensions concernant ces assocs et collectifs mais je n'en parlerais pas ici vu que ce serait long.

J'ai quatre coming out à faire :

1.Je suis aromantique (Le plus facile l'ayant déjà fait implicitement avec mes proches)
2.Je ne suis pas hétéro à 100% (Je l'admet face à moi même mais pas face aux autres)
3.J'ai déjà eu des relations sexuelles avec des gars (Je ne m'imagine pas admettre ça publiquement ou tout simplement face à mes proches)
4.Jamais couché avec une femme (J'ai presque 29 ans et c'est socialement mal vu. J'ai le désir d'accomplir cet objectif mais je sais qu'il faudra certainement lutter encore quelques mois pour réussir vu que trouver des partenaires n'est pas facile)

Les seuls à qui j'ai été "obligé" de le dire étaient les médecins au don du sang.
Ils demandent systématiquement combien de partenaires ces derniers temps, et lorsque je répond zéro, il y a toujours un moment de creux, comme si cela les estomaquait ou qu'ils ne me croyaient pas vraiment.
J'en ai aussi parlé à mon psy, pas eu l'air plus surpris que ça d'ailleurs.
Mais hors du scope médical, hors de question d'en parler. J'ai déjà perdu la grande majorité de mes amis à cause de mon célibat, pas envie de perdre ceux qu'il me reste en avouant ma virginité. Et ça vaudrait aussi pour toute femme avec qui l'acte est envisageable, pas besoin de me rajouter un tue-l'amour de plus quand je vois que ne suis pas naturellement séduisant.

Zéro.

Mais ça n'empêche pas que ma famille est certainement au courant.
D'ailleurs l'un d'entre eux récemment m'en a parlé, lors d'une discussion, mais plutôt dans le sens de ne jamais avoir été avec quelqu'un. Cette personne exprimait une incompréhension et une tristesse à mon égard de me voir seul et qu'il ne faudrait pas que ça reste ainsi indéfiniment. Elle s'est montré bienveillante aussi, disant que celle avec je serai aurait de la chance parce que je suis quelqu'un de gentil.

J'en parle à toutes les personnes avec lesquelles je suis amenée à avoir des relations suffisamment intimes pour qu'on parle de sexualité. Ce serait bizarre de discuter des habitudes/aventures/problématiques sexuelles d'une.un ami.e e en n'évoquant pas ma propre intimité.