- 25 nov. 2013, 12:21
#93198
Been there. Done that.
Sauf que dans mon cas, je me suis "obligée" jusqu'au bout. J'en avais envie aussi, attention, mais j'ai pris les choses en main de manière "cash" et radicale au final. Autant pour la première fois romantique.
C'est idiot à dire, mais je crois que si ça ne s'est pas fait, c'est que ça ne devait pas se faire avec ce garçon. Parfois, il ne sert à rien de "forcer" les circonstances, même si on peut bien sûr les provoquer. Je ne sais pas si je suis claire ou si je t'enfume encore plus, mais je n'arrive pas à m'exprimer mieux. Je trouve que tu as quand même beaucoup développé sur tes craintes vis-à-vis d'une relation sexuelle qui se serait déroulée dans ces conditions et je me dis que, peut-être (je ne te connais pas, toi seule peux savoir), l'unique raison pour laquelle tu voulais te lancer est la pensée que tu n'aurais plus jamais d'occasions par la suite. Je te rassure tout de suite: c'est faux. Des occasions, tu en auras, à condition de faire quelques efforts pour ne pas que la dynamique tu as amorcée en échange soit cassée à ton retour. Je ne dis pas que c'est facile ou automatique, mais tu en as la possibilité si tu t'en donnes les moyens. Au besoin, en te faisant aider.
Tu as eu la preuve que tu pouvais plaire. C'est aussi ce que m'avait apporté mon expérience à l'étranger. Et je ne pense pas que ce soit dû au climat ou à des hormones miraculeuses que dégageraient les "petites Frenchies" hors de nos frontières. Simplement au fait qu'on a rencontré plus de monde, donc plus d'hommes, donc plus d'hommes auxquels on étaient susceptibles de plaire. (Et je peux t'assurer que pour moi, ça se bousculait pas franchement au portillon non plus.). Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais essaie de te servir de cette expérience comme un tremplin pour avancer.
Et le fait d'être vierge à 22 ans ne fait pas de toi une paria de la société, une moins que rien ou quelqu'un qui ne mérite pas d'exister. Tu vaux infiniment plus que ta sexualité ou ton absence de sexualité. Je t'en prie, je sais que c'est difficile à percevoir dans les moments où tout semble sombre, mais il faut que tu t'en souviennes !
Sauf que dans mon cas, je me suis "obligée" jusqu'au bout. J'en avais envie aussi, attention, mais j'ai pris les choses en main de manière "cash" et radicale au final. Autant pour la première fois romantique.
C'est idiot à dire, mais je crois que si ça ne s'est pas fait, c'est que ça ne devait pas se faire avec ce garçon. Parfois, il ne sert à rien de "forcer" les circonstances, même si on peut bien sûr les provoquer. Je ne sais pas si je suis claire ou si je t'enfume encore plus, mais je n'arrive pas à m'exprimer mieux. Je trouve que tu as quand même beaucoup développé sur tes craintes vis-à-vis d'une relation sexuelle qui se serait déroulée dans ces conditions et je me dis que, peut-être (je ne te connais pas, toi seule peux savoir), l'unique raison pour laquelle tu voulais te lancer est la pensée que tu n'aurais plus jamais d'occasions par la suite. Je te rassure tout de suite: c'est faux. Des occasions, tu en auras, à condition de faire quelques efforts pour ne pas que la dynamique tu as amorcée en échange soit cassée à ton retour. Je ne dis pas que c'est facile ou automatique, mais tu en as la possibilité si tu t'en donnes les moyens. Au besoin, en te faisant aider.
Tu as eu la preuve que tu pouvais plaire. C'est aussi ce que m'avait apporté mon expérience à l'étranger. Et je ne pense pas que ce soit dû au climat ou à des hormones miraculeuses que dégageraient les "petites Frenchies" hors de nos frontières. Simplement au fait qu'on a rencontré plus de monde, donc plus d'hommes, donc plus d'hommes auxquels on étaient susceptibles de plaire. (Et je peux t'assurer que pour moi, ça se bousculait pas franchement au portillon non plus.). Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais essaie de te servir de cette expérience comme un tremplin pour avancer.
Et le fait d'être vierge à 22 ans ne fait pas de toi une paria de la société, une moins que rien ou quelqu'un qui ne mérite pas d'exister. Tu vaux infiniment plus que ta sexualité ou ton absence de sexualité. Je t'en prie, je sais que c'est difficile à percevoir dans les moments où tout semble sombre, mais il faut que tu t'en souviennes !