- 28 nov. 2013, 01:49
#93567
Bonjour,
J'interviens peu sur le forum, mais ça ne veut pas dire que je suis pas en processus actif de régler mes problèmes. Je voulais partager un idée qui m'est venue après observation d'un cas particulier dans mon entourage. Puisque je suis de plus en plus convaincu de ne jamais m'en sortir et pouvoir un jour vivre une vie amoureuse et sexuelle, je cherche des solutions alternatives.
Depuis quelques années, un de mes proches suit un traitement X (rien à voir avec la sexualité ou quoi que ce soit) dont un des effets secondaires est de faire cesser totalement la production de testostérone. Cet homme était auparavant ce que j'appellerais un chaud lapin. Il a eu plusieurs relations amoureuses longues ou brèves, en somme, il était normal coté relation amoureuse. Or depuis qu'il suit ce traitement, il m'a confié que cette absence de testostérone a complètement mis H/S ses pulsions sexuelles. Plus aucun désir, rien. En effet, cela est connu de tous les agriculteurs depuis des siècles, lorsqu'on veut limiter les accouplements dans un cheptel (bovin ou autre), il est fréquent de faire castrer les mâles que l'on veut mettre hors circuit.
On pourrait croire que la sexualité humaine ayant une dimension plus profonde que chez les autres animaux, l'absence de testostérone ne serait pas suffisante en elle-même pour couper tout désir. On pourrait croire qu'il en serait démoralisé, attristé, déprimé, or il n'en est rien. Il continue sa vie, et ne regarde plus les femmes de façon sexuée mais plutôt comme il regarde n'importe quel homme et cela ne le dérange pas le moins du monde. Il ne ressent aucun manque. Il ne pense plus à "ça".
J'en arrive donc à ma solution; je considère l'idée de demander une castration (chimique bien entendu). J'ai déjà vécu deux cycles (d'un an) de psychothérapie depuis 2009 et tout cela plafonne. Je ne peux plus progresser. J'ai fait le tour de ma situation, elle est claire, et je ne peux rien espérer de plus avec d'autres rencontres. Je suis en processus de voir un psychiatre d'ici quelques mois (liste d'attente) et je compte bien lui en parler sérieusement. Ne plus être soumis à mes pulsions serait à mon avis très libérateur, un rêve! Enfin ça ne coûte rien d'essayer, et si ça ne change rien d'ici 6 mois à un an, je peux toujours stopper le traitement, c'est facilement réversible. C'est extrême certes, mais j'y réfléchi.
Je cherche des solutions, avant d'envisager LA solution plus radicale à laquelle vous avez peut-être pensée en lisant le titre, car honnêtement, je ne supporterai pas d'être malheureux jusqu'à 70 ans, à ça non.
Qu'en pensez-vous?
J'interviens peu sur le forum, mais ça ne veut pas dire que je suis pas en processus actif de régler mes problèmes. Je voulais partager un idée qui m'est venue après observation d'un cas particulier dans mon entourage. Puisque je suis de plus en plus convaincu de ne jamais m'en sortir et pouvoir un jour vivre une vie amoureuse et sexuelle, je cherche des solutions alternatives.
Depuis quelques années, un de mes proches suit un traitement X (rien à voir avec la sexualité ou quoi que ce soit) dont un des effets secondaires est de faire cesser totalement la production de testostérone. Cet homme était auparavant ce que j'appellerais un chaud lapin. Il a eu plusieurs relations amoureuses longues ou brèves, en somme, il était normal coté relation amoureuse. Or depuis qu'il suit ce traitement, il m'a confié que cette absence de testostérone a complètement mis H/S ses pulsions sexuelles. Plus aucun désir, rien. En effet, cela est connu de tous les agriculteurs depuis des siècles, lorsqu'on veut limiter les accouplements dans un cheptel (bovin ou autre), il est fréquent de faire castrer les mâles que l'on veut mettre hors circuit.
On pourrait croire que la sexualité humaine ayant une dimension plus profonde que chez les autres animaux, l'absence de testostérone ne serait pas suffisante en elle-même pour couper tout désir. On pourrait croire qu'il en serait démoralisé, attristé, déprimé, or il n'en est rien. Il continue sa vie, et ne regarde plus les femmes de façon sexuée mais plutôt comme il regarde n'importe quel homme et cela ne le dérange pas le moins du monde. Il ne ressent aucun manque. Il ne pense plus à "ça".
J'en arrive donc à ma solution; je considère l'idée de demander une castration (chimique bien entendu). J'ai déjà vécu deux cycles (d'un an) de psychothérapie depuis 2009 et tout cela plafonne. Je ne peux plus progresser. J'ai fait le tour de ma situation, elle est claire, et je ne peux rien espérer de plus avec d'autres rencontres. Je suis en processus de voir un psychiatre d'ici quelques mois (liste d'attente) et je compte bien lui en parler sérieusement. Ne plus être soumis à mes pulsions serait à mon avis très libérateur, un rêve! Enfin ça ne coûte rien d'essayer, et si ça ne change rien d'ici 6 mois à un an, je peux toujours stopper le traitement, c'est facilement réversible. C'est extrême certes, mais j'y réfléchi.
Je cherche des solutions, avant d'envisager LA solution plus radicale à laquelle vous avez peut-être pensée en lisant le titre, car honnêtement, je ne supporterai pas d'être malheureux jusqu'à 70 ans, à ça non.
Qu'en pensez-vous?