- 27 juil. 2015, 21:34
#150582
la situation n'est pas appropriée, tu ne t'y prends pas bien? 8-)
C'est vrai, que je ne sais plus qui a dit:
Les femmes qu'on n'a pas eu, c'est parce qu'on n'a pas su les demander.
(un peu miso cette phrase)
Qu'on le veuille ou non, nos expériences ont une influence sur nous, elles nous construisent, trop d'expériences négatives ne peuvent pas avoir une bonne influence sur cette construction.
Si tu n'as aucune confiance dans la possibilité de séduire un homme ou une femme, je vois mal comment tu pourrais former un couple. La chance et le hasard peuvent donner un coup de pouce parfois mais je ne sais pas si cela peut compenser une aussi faible confiance en soi dans le domaine.
Dix succès suivis d'un échec, tu relatives. C'est un accident de parcours qui peut être corrigé, tu restes disponible pour te demander pourquoi cela n'a pas fonctionné.
Si tu cumules 10 000 échecs tu te sens impuissant, tu n'es plus capable moralement de te demander ce qui ne va pas, d'ailleurs tu finis par donner comme explication: ce qui ne va pas, c'est moi tout entier, je suis inapte.
Je n'ai jamais dit que l'échec était mauvais en soi, mais trop d'échecs est toxique pour le psychisme.
Les individus reçoivent tous différemment l'échec, mais je suis convaincu qu'ils reçoivent tous de la même façon l'échec répété.
Par ailleurs, croire qu'on peut se "corriger" tout seul dans certains domaines est une illusion.
Non. Ça sape le moral de ceux qui ne se font pas suffisamment confiance. Celui qui a confiance en lui va de l'avant et se dit "ça n'a pas marché, dommage, je vais voir ce que je peux faire la prochaine fois pour éviter que ça recommence."Tu te prends dix fois une veste, de suite et la onzième fois tu te retrouves évidemment, à grand renfort d'injonction de la volonté, dans le bon état d'esprit pour réussir, surtout dans un domaine où le trop de contrôle sur soi n'est pas nécessairement un atout (c'est probablement tout le contraire) et où tu ne maitrises pas grand chose en réalité.
Si tu n'arrive pas à faire quelque chose c'est soit c'est parce que la situation n'est pas appropriée, soit parce que tu t'y prend mal.Quand tu essaies de séduire une femme qui n'est pas sensible à ton charme, tu ranges ça dans quelle catégorie:
la situation n'est pas appropriée, tu ne t'y prends pas bien? 8-)
C'est vrai, que je ne sais plus qui a dit:
Les femmes qu'on n'a pas eu, c'est parce qu'on n'a pas su les demander.
(un peu miso cette phrase)
Qu'on le veuille ou non, nos expériences ont une influence sur nous, elles nous construisent, trop d'expériences négatives ne peuvent pas avoir une bonne influence sur cette construction.
Il y a des tas de gens en couple qui n'ont pas confiance en eux, ou sont en dépression, alors que le couple fonctionne.il y a des degrés dans la confiance.
Si tu n'as aucune confiance dans la possibilité de séduire un homme ou une femme, je vois mal comment tu pourrais former un couple. La chance et le hasard peuvent donner un coup de pouce parfois mais je ne sais pas si cela peut compenser une aussi faible confiance en soi dans le domaine.
Un "échec" ça ne t'aide jamais à avancer? à chercher à changer? à te surpasser?On ne s'est pas compris.
Si tu cumules 10 000 échecs, ça ne t'oblige pas à changer de comportement?
Dix succès suivis d'un échec, tu relatives. C'est un accident de parcours qui peut être corrigé, tu restes disponible pour te demander pourquoi cela n'a pas fonctionné.
Si tu cumules 10 000 échecs tu te sens impuissant, tu n'es plus capable moralement de te demander ce qui ne va pas, d'ailleurs tu finis par donner comme explication: ce qui ne va pas, c'est moi tout entier, je suis inapte.
Je n'ai jamais dit que l'échec était mauvais en soi, mais trop d'échecs est toxique pour le psychisme.
Les individus reçoivent tous différemment l'échec, mais je suis convaincu qu'ils reçoivent tous de la même façon l'échec répété.
Par ailleurs, croire qu'on peut se "corriger" tout seul dans certains domaines est une illusion.
Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.