[mila13]

Bonjour à tous,

La plupart d'entre nous est vierge, cet état nous tracasse et nous inquiète. Mais si on avait une occasion de passer à l'acte, comment pourrions nous savoir si on est prêt ou pas?

Le fait d'être vierge et de se sentir "anormal" induit il automatiquement que nous sommes prêts à faire l'amour?

J'attends vos réflexions sur le sujet!!

[wooderic]

Je n'ai pas vraiment de réponse, mais je peux te dire ce que ressens et raconter une petite expérience.

J'ai le sentiment, vue qu'ici on a l'air de se poser beaucoup de questions, que l'on est plus ou moins prêt, mais qu'il nous manque un petit déclic pour passer à l'acte.

Pour ma part, mila, ce ne fut qu'un regard qui me permis de passer à l'acte. Lors d'une rencontre. Ce fut ce regard et pas un autre, et là ne ne sais pas pourquoi :?: ...Mais avec le recul, je peux dire qu'en un instant, j'étais prêt.

J'ai l'impression que pour certains il ne manque pas grand chose pour être "prêt", et l'on est que si l'occasion ou l'acte se présente...Il faut sauter le pas et c'est à ce moment là que l'on est prêt...

Evidement, cela dépend du tempérament de chacun et ne je fait que donner une indication parmi d'autre.

[mila13]

salut Wooderic,

Merci pour ta réponse.

en fait savoir si on est prêt ou pas c'est un peu savoir si on aime ou pas, cela tient du ressenti..

[Miss]

Je me demande si on le sait jamais...

Mais un jour, on décide de se lancer, poussé par le désir et les sentiments.

[wooderic]

Mais un jour, on décide de se lancer, poussé par le désir et les sentiments.

C'est un peu ça en fait...

[bubbly]

Pour moi, ça dépend de tellement de choses et chacun, avec son histoire et ses problèmes propres, n'aura pas la même réponse. Je pense qu'il y a être prêt à la (ou aux) rencontre(s) et être prêt pour l'acte sexuel. Les blocages, s'il s'agit de blocage, ont diverses origines.
En ce qui me concerne, mon plus gros problème est un manque de confiance en moi, sur lequel j'essaie de travailler. Cela évolue pas mal ces derniers temps. Je ne me sentais pas prête, mais est-ce que je me posais vraiment la question? La principale étape de rencontrer quelqu'un, d'avoir, ne serait-ce qu'un flirt avec un homme, ne m'était pas arrivée, alors j'avais du mal à me projeter jusqu'à un acte sexuel. Mais quand j'y pensais, j'éprouvais pas mal de peur, jusqu'à me demander, si je pourrais y arriver, si j'étais normalement constituée... La peur de l'inconnu, je pense, tout simplement.
Depuis que j'ai vécu une brève histoire, la peur, le blocage "physique", disparaît petit à petit après avoir senti que je pouvais plaire, avoir connu des caresses, des baisers.... et avoir continué à explorer moi-même mon intimité. Je pense qu'aujourd'hui, je suis prête. Mais, voilà, il ne s'est rien passé avec ma rencontre récente, quelles seront mes réactions la prochaine fois que j'aurai l'occasion?... Je crois que j'essaierai de ne pas la rater justement cette occasion.

[TheFox]

Il n'y a pas d'indicateur ou de voyant vert qui signale que tout est OK et que l'on est prêt, mais je pense que si on souhaite que cela se passe dans de bonnes conditions, il faut être dans de bonnes dispositions, bien dans sa tête, et savoir pourquoi on se décide à y aller.

Perso, cela fait plusieurs années que je sentais que mes problèmes de confiance en moi et d'image se réduisaient, j'étais de plus en plus à l'aise en rencontrant des inconnus, en discutant avec des filles, en participant à des soirées, etc. Aussi, j'ai mis de l'ordre dans mes sentiments, j'ai essayé de moins me prendre la tête avec certaines filles sur lesquelles j'avais des vues mais je ne faisais rien. J'ai laissé tombé mes illusions de première fois avec LA fille, celle que j'espère rencontrer et passer ma vie avec. Mes dernières réticences par rapport à mon corps se sont graduellement effacées avec l'apprentissage du contact physique, que ce soit des amis qui me prennent dans leurs bras, mes séances chez le kiné ou mes premiers baisers et caresses.

Finalement, je me suis laissé guider par le désir lors d'une soirée, et proposé à une fille de passer chez moi. La suite s'est déroulée naturellement, cette première fois s'est bien déroulée, j'étais certainement plus prêt que je ne l'aurais été à 18 ans si j'avais connu la même situation.