- 11 juil. 2013, 16:52
#79703
Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien.
Je me présente rapidement : Eno (pseudo évidemment), 30 ans, habitant dans le département de la Drôme.
Comme indiqué ci-contre, je ne suis pas vierge.
Mais je connais parfaitement les "symptômes" de la virginité tardive pour l'avoir subi longtemps.
Jusqu'à plus de 26 ans pour être précis, ce qui est déjà pas mal si on peut dire.
Pourtant, malgré deux relations (une de deux ans, une d'un week-end), je me considère toujours limite comme vierge. C'est un peu étrange, mais l’appréhension générale du sexe est quelque chose de particulièrement intime et complexe ; et "le faire" ne signifie pas, loin s'en faut, avoir réglé la question.
Tout dépend des conditions, de ce que les relations nous apportent vraiment, et de ce qu'elles laissent derrière elles en partant. Et en l'occurrence, elle ont provoqué chez moi plus de questions que de réponses globalement. Faut dire que je suis quelqu'un de particulièrement troublé à la base, et tout sauf simple... Je ne sais vraiment pas qui (ce que) je suis.
Bien évidemment, ce n'est pas pour autant que je me mets au même niveau que les personnes réellement vierges. Il y a bien eu un avant et un après, il serait fou de le nier. Une partie des craintes et des questionnements s'envolent dans l'acte, c'est certain. Mais les années de virginité subie ne sont jamais là par hasard, et elles laissent nécessairement des traces dont il est difficile de se dépêtrer.
Bref, tout ça est surement d'une affligeante banalité ici.
Je ne sais pas trop ce que je suis venu chercher sur ce forum.
Je vais juste essayer de glaner quelques parcelles d'humanité intéressantes.
Je suis ravi de vous rencontrer, @+ sur le forum.
Je me présente rapidement : Eno (pseudo évidemment), 30 ans, habitant dans le département de la Drôme.
Comme indiqué ci-contre, je ne suis pas vierge.
Mais je connais parfaitement les "symptômes" de la virginité tardive pour l'avoir subi longtemps.
Jusqu'à plus de 26 ans pour être précis, ce qui est déjà pas mal si on peut dire.
Pourtant, malgré deux relations (une de deux ans, une d'un week-end), je me considère toujours limite comme vierge. C'est un peu étrange, mais l’appréhension générale du sexe est quelque chose de particulièrement intime et complexe ; et "le faire" ne signifie pas, loin s'en faut, avoir réglé la question.
Tout dépend des conditions, de ce que les relations nous apportent vraiment, et de ce qu'elles laissent derrière elles en partant. Et en l'occurrence, elle ont provoqué chez moi plus de questions que de réponses globalement. Faut dire que je suis quelqu'un de particulièrement troublé à la base, et tout sauf simple... Je ne sais vraiment pas qui (ce que) je suis.
Bien évidemment, ce n'est pas pour autant que je me mets au même niveau que les personnes réellement vierges. Il y a bien eu un avant et un après, il serait fou de le nier. Une partie des craintes et des questionnements s'envolent dans l'acte, c'est certain. Mais les années de virginité subie ne sont jamais là par hasard, et elles laissent nécessairement des traces dont il est difficile de se dépêtrer.
Bref, tout ça est surement d'une affligeante banalité ici.
Je ne sais pas trop ce que je suis venu chercher sur ce forum.
Je vais juste essayer de glaner quelques parcelles d'humanité intéressantes.
Je suis ravi de vous rencontrer, @+ sur le forum.