- 09 août 2015, 23:03
#151854
Bonsoir,
Je profite d'un dimanche long et migraineux pour inscrire ici. J'ai 27 ans, je suis gay et je suis vierge, pur, puceau, ce qu'on voudra. Le manque d'activités sexuelles ne me frustre pas tant que la nullité de ma vie affective : la somme de mes flirts doit équivaloir à cinq ou six jours passés avec un garçon, et je n'ai jamais eu de copain.
Il paraît que je ne suis pas si timide ; fut un temps (les choses ont bien changé...), je rencontrais assez souvent de nouvelles personnes, ce n'était pas ce qu'on appelle le « milieu » mais ça s'en approchait ; j'ai la chance de vivre à Paris. Et pourtant, il ne s'est presque jamais rien passé. Je crois qu'au principe de toutes mes difficultés, il y a une grande peur des autres, forgée par une mauvaise adolescence.
Aujourd'hui, je suis à peu près résigné. J'ai appris à vivre ma vie sans trop y penser, sans trop en souffrir. Mais ça revient le soir surtout, quand il s'agit de m'endormir : ma psy voit là l'origine de mes insomnies. Il est vrai qu'elles sont apparues lorsque le premier amour de ma vie, il y a longtemps, à commencer à tourner au désastre. Et ne pas souffrir ce n'est pas être heureux.
Cela faisait quelques années que je connaissais ce forum, alors je me suis inscrit.
Je profite d'un dimanche long et migraineux pour inscrire ici. J'ai 27 ans, je suis gay et je suis vierge, pur, puceau, ce qu'on voudra. Le manque d'activités sexuelles ne me frustre pas tant que la nullité de ma vie affective : la somme de mes flirts doit équivaloir à cinq ou six jours passés avec un garçon, et je n'ai jamais eu de copain.
Il paraît que je ne suis pas si timide ; fut un temps (les choses ont bien changé...), je rencontrais assez souvent de nouvelles personnes, ce n'était pas ce qu'on appelle le « milieu » mais ça s'en approchait ; j'ai la chance de vivre à Paris. Et pourtant, il ne s'est presque jamais rien passé. Je crois qu'au principe de toutes mes difficultés, il y a une grande peur des autres, forgée par une mauvaise adolescence.
Aujourd'hui, je suis à peu près résigné. J'ai appris à vivre ma vie sans trop y penser, sans trop en souffrir. Mais ça revient le soir surtout, quand il s'agit de m'endormir : ma psy voit là l'origine de mes insomnies. Il est vrai qu'elles sont apparues lorsque le premier amour de ma vie, il y a longtemps, à commencer à tourner au désastre. Et ne pas souffrir ce n'est pas être heureux.
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motus aime ça