- 02 sept. 2017, 05:38
#200955
Mon post d'accueil était clairement "préventif" : je n'ai pas dit que tu étais agressif, contempteur de la gent féminine ni que tu te plaignais ... j'exprimais une crainte suscitée par certains de tes propos, en disant que ce n'était pas ce que le forum souhaitait . C'est mon rôle de modératrice validant ta présentation. Et j'ai bien précisé que , même un peu gênée par l'allusion à Elliott Rodger, je prenais le "bon côté" de la chose, à savoir que tu disais "pouvoir comprendre" mais sans , bien sûr, cautionner pareil geste.
C'est d'ailleurs intéressant : je sais maintenant que tu vois systématiquement le verre à moitié vide, et pas celui à moitié plein, et surtout que tu as une perception immédiate négative des choses.
Deuxième point : il faut que tu lises à fond :
Donc la question est : si tu as pu entendre, une fille j'imagine, dire : "quoi ? (sortir) avec lui, ça n'arrivera jamais" c'est l'avis d'une, c'est peut-être l'avis d'autres, mais tu ne dis pas quelle est la cause de ce rejet. C'était le sens de ma question. Il y a généralement deux causes, une cause subjective (je suis petit, laid, je ne suis pas musclé...) à laquelle la personne croit dur comme fer, et une cause objective, souvent plus subtile, qu'il faut trouver pour y adapter une solution de contournement. Comment te juges-tu, que penses-tu que les autres, et tout spécialement les femmes, pensent de toi pour expliquer cet insuccès ?
Le cancer et le handicap ne sont pas juste des trucs qui te tombent dessus, la faute à pas de chance. Ils ont des causes explicables. Dans ton cas on a peut-être un peu plus de chance d'y remédier qu'à un gène en trop ou une rétine défaillante.
Ce qui est , somme toute, une bonne nouvelle.
Je te propose donc de te concentrer sur cette question. Les pavés sont un sport national ici, donc la longueur ne me fait pas peur, mais là, c'était un pavé un peu creux.
C'est d'ailleurs intéressant : je sais maintenant que tu vois systématiquement le verre à moitié vide, et pas celui à moitié plein, et surtout que tu as une perception immédiate négative des choses.
Deuxième point : il faut que tu lises à fond :
traviata a écrit :Je repose la question car non, tu n'as pas dit -si tu le sais- pourquoi (justification) tu n'aurais pas de succès. Tu as l'air de considérer cela comme un "handicap" (le célibat involontaire) qui te serait tombé dessus par hasard, comme tu aurais pu être aveugle ou trisomique, j'ai bien lu.
Qu'est-ce donc qui justifierait (conditionnel) de façon si généralisée tes insuccès ? D'après toi, et/ou d'après les autres ?
Je pense avoir déja répondu à la question dans mon premier post en donnant mon opinion la dessus, pourquoi donc me la reposer?
Pour ce qui est des autres (famille, amis) je ne sais pas vu que je n'en ai jamais parlé à personne à part ici.
Donc la question est : si tu as pu entendre, une fille j'imagine, dire : "quoi ? (sortir) avec lui, ça n'arrivera jamais" c'est l'avis d'une, c'est peut-être l'avis d'autres, mais tu ne dis pas quelle est la cause de ce rejet. C'était le sens de ma question. Il y a généralement deux causes, une cause subjective (je suis petit, laid, je ne suis pas musclé...) à laquelle la personne croit dur comme fer, et une cause objective, souvent plus subtile, qu'il faut trouver pour y adapter une solution de contournement. Comment te juges-tu, que penses-tu que les autres, et tout spécialement les femmes, pensent de toi pour expliquer cet insuccès ?
Le cancer et le handicap ne sont pas juste des trucs qui te tombent dessus, la faute à pas de chance. Ils ont des causes explicables. Dans ton cas on a peut-être un peu plus de chance d'y remédier qu'à un gène en trop ou une rétine défaillante.
Ce qui est , somme toute, une bonne nouvelle.
Je te propose donc de te concentrer sur cette question. Les pavés sont un sport national ici, donc la longueur ne me fait pas peur, mais là, c'était un pavé un peu creux.
Dio, dammi l'umiltà di accettare le cose che non posso cambiare, il coraggio di cambiare le cose che posso cambiare, e l'intelligenza sufficiente per distinguere i due tipi di cose. S. Francesco di Assisi