- 01 janv. 2018, 19:15
#206972
Hello hello !
Pour diverses raisons, je vais juste donner mon surnom "Nono", j'ai 26 ans, je vis à Lyon depuis bientôt trois ans mais je vais bientôt déménager en Haute-Savoie, lieu d'où je suis originaire. Ma passion c'est le cinéma et je viens de trouver un super boulot dans une salle.
Mon métier appelé "médiatrice" (oui à l'écriture inclusive !) consiste à organiser des soirées cinémas suivies d'animation (débat, rencontres, quizz...) et d'attirer un public peu habitué aux petites salles de cinéma.
Ma passion du cinéma m'a fait quitter ma petite bourgade de Haute Savoie à mes 18 ans pour étudier le cinéma à Strasbourg, Tours et finalement Lyon.
Je raconte tout ça parce que l'une des raisons pour lesquelles j'avais hâte de partir à l'époque c'est que je pensais rencontrer des personnes différentes que mes amis du lycée avec qui je n'étais pas à l'aise et quitter la maison familiale où mon père devenait étouffant, alors que j'étais un peu la fille modèle (bonnes notes, jamais une connerie, Ect...).
Je n'ai jamais eu de mal à avoir des amies filles malgré ma timidité. Evidemment, il était évident pour moi qu'à la fac, j'aurai un copain (comme tout le monde) et que ma virginité ne serait pas un problème très longtemps (merci aux films américains).
Je me faisais en fait pas mal d'illusions car avec le recul, si je n'ai pas eu de copains plus tôt c'est que je me consacrais aus études, à ma passion et que je préférai faire mes activités artistiques dans mon coin plutôt que de rencontrer des mecs, ce qui à l'époque me tétanisait. Parce que j'étais ultra timide, pas du tout en confiance et que je pensais ne pas du tout être adaptée à la vie sociale des personnes de mon âge (qui consistait à boire, se droguer, coucher, boire coucher... oui le gros cliché des facs d'art).
Aujourd'hui je me sens beaucoup plus en confiance, je suis plus à l'aise avec mes amis, même avec le sexe opposé. Faire des rencontres ne me gênent pas, je me suis même inscrite sur des sites de rencontres mais je reste persuadée que ce n'est pas du tout fait pour moi. Quand je ne reçois pas des propositions pour des plans culs, j'ai du mal à être à l'aise face à quelqu'un que je ne rencontre pas pour la première fois "en vrai".
Je ne suis jamais sortie avec un garçon, mais j'ai eu mon premier baiser en vacances à mes 23 ans. C'était en boîte, il ne parlait pas français, on avait bu, il m'a rapidement proposé d'aller plus loin mais pour moi c'était impossible de passer du premier bisous à la première fois totale le même soir. Il a été adorable et on s'est revu deux fois avant qu'il ne reparte, mais il n'y a rien eu.
Des fois je me demande si je n'aurai pas du le faire ce soir là pour être débarrassée, mais en réalité je ne veux pas être "débarrassée", je ne veux pas voir ma VT comme une patate chaude que je veux balancer au premier venu, mais je n'attends pas non plus le grand amour de dingue pour le faire.
J'ai plus confiance en moi, mais c'est pas le haut niveau, mais c'est vrai que ma virginité me travaille beaucoup, et depuis quelques années, j'ai arrêté de le dire à des amies proches parce qu'elles me voyaient comme celle qui ne l'a pas encore fait, et que j'ai récemment eu des histoires avec une amie qui ne voyait pas le mal de le dire à des mecs que je n'avais vu qu'une seule fois...
Désolée pour la présentation interminable... je suis ici pour me rassurer, c'est vrai et je trouve ce site vraiment super ! Donc merci beaucoup aux créateurs.
Je déteste parler de moi en long et en large, je précise, c'est juste que j'ai fait un bac L ^^
A bientôt !
Nono
Pour diverses raisons, je vais juste donner mon surnom "Nono", j'ai 26 ans, je vis à Lyon depuis bientôt trois ans mais je vais bientôt déménager en Haute-Savoie, lieu d'où je suis originaire. Ma passion c'est le cinéma et je viens de trouver un super boulot dans une salle.
Mon métier appelé "médiatrice" (oui à l'écriture inclusive !) consiste à organiser des soirées cinémas suivies d'animation (débat, rencontres, quizz...) et d'attirer un public peu habitué aux petites salles de cinéma.
Ma passion du cinéma m'a fait quitter ma petite bourgade de Haute Savoie à mes 18 ans pour étudier le cinéma à Strasbourg, Tours et finalement Lyon.
Je raconte tout ça parce que l'une des raisons pour lesquelles j'avais hâte de partir à l'époque c'est que je pensais rencontrer des personnes différentes que mes amis du lycée avec qui je n'étais pas à l'aise et quitter la maison familiale où mon père devenait étouffant, alors que j'étais un peu la fille modèle (bonnes notes, jamais une connerie, Ect...).
Je n'ai jamais eu de mal à avoir des amies filles malgré ma timidité. Evidemment, il était évident pour moi qu'à la fac, j'aurai un copain (comme tout le monde) et que ma virginité ne serait pas un problème très longtemps (merci aux films américains).
Je me faisais en fait pas mal d'illusions car avec le recul, si je n'ai pas eu de copains plus tôt c'est que je me consacrais aus études, à ma passion et que je préférai faire mes activités artistiques dans mon coin plutôt que de rencontrer des mecs, ce qui à l'époque me tétanisait. Parce que j'étais ultra timide, pas du tout en confiance et que je pensais ne pas du tout être adaptée à la vie sociale des personnes de mon âge (qui consistait à boire, se droguer, coucher, boire coucher... oui le gros cliché des facs d'art).
Aujourd'hui je me sens beaucoup plus en confiance, je suis plus à l'aise avec mes amis, même avec le sexe opposé. Faire des rencontres ne me gênent pas, je me suis même inscrite sur des sites de rencontres mais je reste persuadée que ce n'est pas du tout fait pour moi. Quand je ne reçois pas des propositions pour des plans culs, j'ai du mal à être à l'aise face à quelqu'un que je ne rencontre pas pour la première fois "en vrai".
Je ne suis jamais sortie avec un garçon, mais j'ai eu mon premier baiser en vacances à mes 23 ans. C'était en boîte, il ne parlait pas français, on avait bu, il m'a rapidement proposé d'aller plus loin mais pour moi c'était impossible de passer du premier bisous à la première fois totale le même soir. Il a été adorable et on s'est revu deux fois avant qu'il ne reparte, mais il n'y a rien eu.
Des fois je me demande si je n'aurai pas du le faire ce soir là pour être débarrassée, mais en réalité je ne veux pas être "débarrassée", je ne veux pas voir ma VT comme une patate chaude que je veux balancer au premier venu, mais je n'attends pas non plus le grand amour de dingue pour le faire.
J'ai plus confiance en moi, mais c'est pas le haut niveau, mais c'est vrai que ma virginité me travaille beaucoup, et depuis quelques années, j'ai arrêté de le dire à des amies proches parce qu'elles me voyaient comme celle qui ne l'a pas encore fait, et que j'ai récemment eu des histoires avec une amie qui ne voyait pas le mal de le dire à des mecs que je n'avais vu qu'une seule fois...
Désolée pour la présentation interminable... je suis ici pour me rassurer, c'est vrai et je trouve ce site vraiment super ! Donc merci beaucoup aux créateurs.
Je déteste parler de moi en long et en large, je précise, c'est juste que j'ai fait un bac L ^^
A bientôt !
Nono