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#211108
Je t'ai répondu simplement car tu semblais chercher de l'approbation quant à cette lettre.
Je ne t'ai jamais dit de regretter ton geste (ça n'aurait aucun sens, ce qui est fait est fait), j'essayais simplement de t'aider à réfléchir sur ce qu'il s'était passé. Je le dis d'ailleurs avec suffisamment d'empathie que j'ai moi-même eu des "passions" amoureuses créées de toutes pièces, avec des hommes que je ne connaissais pas, ou peu. Je sais que tu vas me répondre que tu la connaissais : je ne crois vraiment pas qu'on puisse connaître quelqu'un quand on ne l'a pas côtoyé depuis des années.
En réalité, on peut vivre des choses très fortes sur des images qu'on se construit. C'est le discours de Proust, c'est celui de Barthes ; je ne nie pas que tes sentiments soient réels, mais ils s'appuient sur une image faussée de la réalité, sur des projections personnelles que tu mets sur une personne que tu as croisée à un moment dans ta vie.
Quand je lis que ça t'a pris trois ans pour écrire cette lettre, je ne te dis pas que c'est mal ou que tu dois le regretter ; j'essaie juste de te faire comprendre : mince, tu as perdu trois ans à réfléchir à une femme que tu ne connaissais pas pour lui envoyer un courrier qu'elle n'allait pas comprendre. Il ne s'agit pas d'être dans le jugement, il s'agit d'être dans l'analyse : que pouvais-tu espérer de ce courrier ? comment pouvait-elle réagir face à une déclaration venant d'un quasi inconnu ? ne crois-tu pas que ces trois ans auraient été mieux mis à profit si tu avais tenté de prendre contact avec elle, mais réellement, ou si tu avais pris contact avec d'autres femmes ?
La passion amoureuse est une belle idée, elle flatte tout ce que notre culture a de plus romantique. Mais surtout, elle s'appuie sur des ressorts de notre personnalité qui sont assez malades et qui nous font vivre des choses qui n'existent pas.

Maintenant, mon but n'est pas de t'enfoncer, je regrette juste que tu ne comprennes pas ce que j'essaie de dire, qui n'est en rien un jugement et qui est d'autant plus sincère de ma part que j'ai vécu des choses assez similaires dans le passé. J'essaie juste de te mettre en garde : c'est confortable de s'imaginer qu'on aime une personne qu'on ne connaît pas pendant des années, parce qu'on peut mettre sur cette personne toutes les qualités qu'on recherche, qu'on ne trouve chez personne d'autre (petit indice : les autres individus étant réels, ils sont nécessairement moins parfaits et intéressants). C'est un confort qui enferme, néanmoins ; la réalité nous fait comprendre que les gens ne sont pas ce qu'on imaginait, qu'on ne va pas forcément leur écrire de grandes déclarations d'amour mais que leur réalité est une qualité bien plus attirante que celles qu'on pouvait fantasmer.
Laura, McCoy aime ça
#211151
Pour moi, on peut connaître très bien quelqu'un qu'on n'a pas vu depuis des années... Souvent mieux que quelqu'un qu'on a rencontré il n'y a que des semaines voire mois. Encore très récemment j'ai revu un poto du collège, je ne peux pas dire que c'était un autre.

C'est parce qu'on ne sait pas ce qu'il en est (évidemment qu'on peut avoir beaucoup changé), qu'il vaudra encore mieux y aller progressivement... si c'est possible.
#211161
Merci à toi Lux d'avoir pris le temps de m'écrire et de me détailler ainsi ta pensée : ton message est salutaire de ce point de vue-là, car je crois que je partais sur de mauvaises interprétations... N'ayant aucun réel succès dans ma vie sentimentale auquel me raccrocher, cet épisode représente donc la plus belle chose qui me soit arrivé jusqu'alors, malgré toute la maladresse qu'il peut comporter. S'ajoute à cela une période de moins haut côté moral depuis la réaction de la dernière fille que j'ai rencontrée. Les conditions étaient donc réunies de mon côté pour que je sois un peu à fleur de peau sur le sujet...
Donc, non, pour préciser : je ne recherche aucunement l'approbation ou la désapprobation concernant l'écriture de cette lettre. Cet épisode fait parti de mon passé même s'il garde une place à part pour moi.

Comme tu l'as si bien anticipé, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi sur le fait que je ne la connaissais pas. Certes, je n'avais aucune idée de ce qu'elle avait pu vivre durant les années qui nous séparaient de la fin du lycée (et j'en avais parfaitement conscience déjà au moment de l'écriture de cette lettre comme en témoigne ce court extrait que je viens d'exhumer : « Lucide, je le suis aussi sur ces années qui se sont écoulées éloignés l'un de l'autre : autant d'heurs, de joies, de choix, d'épreuves ou de peines que tu as dû vivre et qui me sont complètement inconnus, autant de vie non partagée qui nous aura séparés »). Mais, je rejoindrai du coup Azrael là-dessus, côtoyer quelqu'un pendant trois ans presque tous les jours nous révèle tout de même quelques aspects de sa personnalité (son caractère, ses goûts, ses passions, ses qualités mais ses défauts aussi, son humour, ses révoltes, ses contradictions...), qui, s'ils ne sont pas des vérités immuables gravées dans le marbre, font preuve d'une certaine persistance dans le temps ; à moins d'imaginer évidemment de terribles bouleversements dans la vie de cette personne. Possibilité qu'on ne peut pas exclure j'en conviens, mais qui reste rare, je pense... C'est pour ça que, de mon point de vue, cette fille n'était pas pour moi une parfaite inconnue... Mais je crois qu'on restera chacun sur notre position concernant cet aspect... :)

Chapeau bas en tout cas pour ton travail analytique concernant les passions amoureuses : quelqu'un ayant lu Proust ne peut mériter que mon respect (ayant eu moi-même bien des difficultés à aller au bout de son premier volume « du côté de chez Swann »)... ! :) Je te rejoins sur le fait que dans toute passion (et sans doute dans celle qui m'est arrivée), il existe une part non négligeable de fantasmes, de projection, d'illusions, ... qui nous détache en partie de la personne qui est l'objet de cette passion et de sa réalité. Mais, peu importe au final, que ce rêve est beau à vivre, malgré tout ! La réalité trouve toujours le moyen de se rappeler à nous de toute façon... Pour ma part, cette réalité aura déjà concerné mon père puis ma sœur durant cette période (et m'aura (pré)occupé bien plus longtemps que l'écriture de cette lettre). Et en bonne fossoyeuse de rêves consciencieuse qu'elle est, n'oubliant aucun détail, elle m'aura même refusé de recevoir quelques mots de la main de la destinataire de cette lettre, balayant la seule espérance que j'avais alors...

Pour reprendre un peu le point (mais surtout anticiper une éventuelle question sur celui-ci) concernant l'idéalisation de la personne aimée qui concentrerait toutes les qualités que l'on recherche, mais qui nous empêcherait de voir tout ce que les personnes réelles ont à nous offrir : même si je suis plus touché par certains aspects de personnalité chez une fille que d'autres (une certaine timidité, introversion, …), et qui correspondent un peu à ce que je suis, donc que je peux comprendre plus facilement, je ne crois pas être trop fermé là-dessus. Même si peu ont abouti à de vraies rencontres, j'ai déjà eu des échanges en lignes avec des filles aux profils assez différents les uns des autres. Certes, il y a quelques valeurs sur lesquelles il me sera difficile de revenir, mais de toute façon à mon stade, je ne peux négliger aucune éventualité qui se présenterait à moi, au prétexte que certains critères ne seraient pas remplis à mes yeux.

Maintenant, si cela est possible, et si des personnes souhaitent continuer à discuter sur l'épisode de cette lettre (mais on commence à en avoir fait le tour je crois, non ?), je préférerais que cela se fasse par messages privés plutôt qu'ici. Je voudrais surtout avoir un peu vos avis, vos expériences, sur la dernière rencontre que je relatais dans mon premier post concernant la réaction de la fille que j'ai rencontrée en début d'année (via une site de rencontre) à l'annonce de ma totale inexpérience tant du point de vue sentimental que physique. J'ai déjà eu des messages de soutien de plusieurs d'entre vous, mais je voudrais savoir un peu quelle est votre stratégie sur cet aveu qui doit intervenir tôt ou tard si la relation s'établie. Jusqu'à présent, j'ai eu tendance à le dévoiler assez vite au cours des échanges que j'ai pus avoir mais à la double condition que : la confiance soit établie de part et d'autres (avec des révélations de choses assez personnelles de la part de mon interlocutrice), la question me soit posée (je n'aborde pas le sujet par moi-même, et je ne réponds d'ailleurs qu'à la question posée : si on me demande si j'ai déjà eu des relations auparavant, je ne réponds que par la négative, sans préciser ce que cela implique). J'ai déjà recueilli un ou deux avis en dehors de ce forum, qui me disaient tout simplement de mentir là-dessus, et de ne révéler les faits que le plus tard possible (éventuellement après même une hypothétique première fois). Me connaissant, je serais bien incapable de mentir, surtout là-dessus (ne serait-ce pas mal débuter une relation d'ailleurs ?). La seule alternative serait alors l'évitement : trouver des raisons pour dévoiler le tout le plus tard possible. Ca reste une possibilité envisageable en ce qui me concerne. Mais compte tenu de ce que je viens de vivre récemment, et du fait que je n'ai vécu au mieux, jusqu'à présent, que deux rendez-vous avec une même fille, je me dis que si je dois attendre pas mal de temps avant de le dévoiler, et que je doive revire une réaction similaire à la sienne, la désillusion sera des plus terribles pour moi... Du coup, comment faites-vous en général ? Le dévoiler assez vite pour s'éviter de trop grandes déception ? Le plus tard possible en se disant que ça pourrait très bien ne pas se voir ? Merci d'avance... :)
Laura aime ça
#211167
Si je peux me permettre de donner quelques pistes...

Je crois que dans notre société actuelle, l'engagement fait peur. D'ailleurs, peut-être bien que cela a toujours été le cas. A partir du moment où tu choisis de dévoiler ton inexpérience ou tes carences affectives, tu te places dans une situation où tu es en faiblesse. Même si, par un fort hasard, ton interlocuteur se trouvait être dans la même situation que toi, je ne pense pas qu'il puisse se mettre à ton niveau. J'ai l'impression que d'une certaine façon, on accule notre interlocuteur en lui faisant ce genre de révélations. Et je crois que personne n'a envie d'avoir un couteau sous la gorge.

Il est évident qu'à tes yeux il en est de ton devoir d'intégrité que de lui révéler la situation actuelle, mais je ne crois pas que cela soit une bonne idée pour la simple et bonne raison que si tu choisis de te dévoiler, c'est que tu accordes de l'importance à la personne et surtout à la relation que tu entretiens avec elle. Cela serait aussi une forme de révélation du côté "officiel" que vos échanges ont à tes yeux. A la minute où tes révélations seraient faites, je crois que la personne ne pourrait que se sentir pressée, ne pas comprendre pourquoi elle est élue, ne pas comprendre pourquoi jusqu'ici tu n'as pas réussi à trouver une autre qu'elle... Bref... Parfois, devant l'évidence et la simplicité, les gens se posent tout un tas de questions, prennent peur et choisissent de se défiler.

Sans compter que les gens ont la fâcheuse tendance à vouloir être dans un moule qui leur permettent de se reconnaitre au travers de semblables. Si tu te places comme étant trop différent, marginal, tes chances se réduisent comme peau de chagrin, et tu perds en attractivité de façon irréversible. (et je sais de quoi je parle)

Un jour, une personne m'a dit "être normal, c'est bien". Une idée simple et bête, avec laquelle je ne serai absolument jamais en adéquation, car à mes yeux il faut justement faire en sorte de se démarquer de la masse d'une façon ou d'une autre. Bien que nous ayons tous ici des personnalités très excentriques, je crois qu'il faut tout de même savoir faire une entorse à la règle et ainsi offrir un point de repère classique à notre interlocuteur, si on veut avoir une chance de pouvoir se lier d'avantage avec lui. "un peu, mais pas trop"... Toujours dans le but de trouver un juste milieu.
#211203
Ta démarche est noble mais je crois nécessaire de toujours garder un regard critique sur nos actions : il eut été plus cohérent de chercher à maintenir le lien avec elle par quelque moyen après l'avoir croisée dans le train. Ainsi, sa motivation t'aurait indiqué rapidement l'intérêt qu'elle aurait pu te porter, et tu aurais économisé quelques années d'incertitude, sinon de regrets ; et qui sait, peut-être aurais-tu pu vivre une belle histoire ?
J'ai vécu une situation analogue dans mes années post-lycée, ça m'a rongé intérieurement, j'ai mis des années à m'en sortir. C'est du temps pendant lequel on construit une image de la personne à notre goût, sur la base de ce que l'on sait d'elle. Mais c'est un poison pour l'âme.
Quant à la fille que tu as rencontrée, sa réaction est un peu dure mais compréhensive à son âge. Dis-toi qu'elle trahit une personnalité qui ne te correspond pas. Au moins, elle a été franche, les choses ont été rapidement éclaircies, tu ne perdras pas de temps avec elle, tu peux passer à autre chose. C'est le bon côté des choses...
#211240
Merci LiPo pour les différents points que tu soulèves.
Je n'avais pas forcément perçu que ce genre de révélation pouvait être perçue un peu comme d'avoir un couteau sous la gorge par la personne qui l'apprend, mais j'en prend bonne note.
Alors, oui, quand je me dévoile c'est en effet quand j'accorde de l'importance aux échanges que je peux avoir avec quelqu'un. Mais uniquement quand la réciproque est vraie aussi, et que je reçois moi-même certaines confidences. Du coup, à mes yeux, l'importance donnée aux échanges est, au moins en partie, commune. Je ne perçois donc pas ce genre de révélation comme une officialisation d'une relation, mais déjà de la confiance accordée.
Et si je te suis bien, ce genre de confidence révèle un écart si fort à la norme, qu'il serait préférable, la plupart du temps, de mentir là-dessus pour offrir à notre interlocutrice quelques aspérités de normalité auxquelles se raccrocher... Dur à admettre en ce qui me concerne, mais déjà le troisième avis dans ce sens (2 autres récoltés auparavant) : merci à toi ! J'attends de voir si certains avis vont aussi dans ce sens...

Je te rejoins parfaitement Basket : même si sa réaction a été dure à entendre, cette fille aura non seulement été franche avec moi, mais elle y aura mis les formes également (à ma demande et en guise de faveur, après m'avoir annoncé sa décision, elle m'a envoyé un second message plein de bienveillance m'expliquant ce qui motivait son choix)...
#211246
La question des "aveux" préoccupe pas mal les VT ^^. Je l'ai dit récemment sur un autre topic, mais j'ai choisi de ne pas le dire à mon copain en début de relation. J'ai même menti quand il m'a posé la question au bout de quelques semaines ensemble, en disant que j'avais déjà eu "quelqu'un".

Pourtant avant ça je pensais que c'était important de rester honnête, que l'on ne pouvait pas commencer une relation comme ça, que je voulais assumer..
Et finalement sur le moment j'ai décidé de mentir, pas vraiment par honte. J'avais juste envie d'entamer la relation sur un pied d'égalité, et ne pas être vue comme "la fille encore vierge à quasi 25 ans", avec ce que ça peut soulever comme interrogations, comme idées reçues aussi.

Quelqu'un avec une vie amoureuse "normale" aura toujours du mal à comprendre les difficultés d'un VT ; pour la plupart ça veut dire que la personne a un souci. Qu'il va falloir la prendre sous son aile, en quelque sorte. Et comme le dit Lipo, ça suppose une forme d'engagement, et c'est pas très attirant dans les premiers temps d'une relation.

Mon conseil est donc d'esquiver si possible, et de préparer un mensonge pour s'en sortir au cas où. Ensuite, soit la relation ne dure pas assez longtemps pour qu'il y ait un intérêt à le révéler (mais assez longtemps pour que tu ne sois plus VT, et ça élimine le problème pour les prochaines fois) ; soit ça dure quelques mois, la virginité en début de relation n'a plus guère d'importance, et tu peux le dire. C'est ce que j'ai fait, je l'ai dit au bout de quelques mois.

Je sais que c'est pas la façon la plus honnête de procéder, que l'on est tous pas très doués pour mentir sous pression aussi. Mais de ce que je lis sur le forum, l'honnêteté ne paye pas toujours. Je trouve ça dommage de laisser filer une chance comme ça.
#211247
Genisa a écrit :La question des "aveux" préoccupe pas mal les VT ^^. Je l'ai dit récemment sur un autre topic, mais j'ai choisi de ne pas le dire à mon copain en début de relation. J'ai même menti quand il m'a posé la question au bout de quelques semaines ensemble, en disant que j'avais déjà eu "quelqu'un".

Pourtant avant ça je pensais que c'était important de rester honnête, que l'on ne pouvait pas commencer une relation comme ça, que je voulais assumer..
Et finalement sur le moment j'ai décidé de mentir, pas vraiment par honte. J'avais juste envie d'entamer la relation sur un pied d'égalité, et ne pas être vue comme "la fille encore vierge à quasi 25 ans", avec ce que ça peut soulever comme interrogations, comme idées reçues aussi.

Quelqu'un avec une vie amoureuse "normale" aura toujours du mal à comprendre les difficultés d'un VT ; pour la plupart ça veut dire que la personne a un souci. Qu'il va falloir la prendre sous son aile, en quelque sorte. Et comme le dit Lipo, ça suppose une forme d'engagement, et c'est pas très attirant dans les premiers temps d'une relation.

Mon conseil est donc d'esquiver si possible, et de préparer un mensonge pour s'en sortir au cas où. Ensuite, soit la relation ne dure pas assez longtemps pour qu'il y ait un intérêt à le révéler (mais assez longtemps pour que tu ne sois plus VT, et ça élimine le problème pour les prochaines fois) ; soit ça dure quelques mois, la virginité en début de relation n'a plus guère d'importance, et tu peux le dire. C'est ce que j'ai fait, je l'ai dit au bout de quelques mois.

Je sais que c'est pas la façon la plus honnête de procéder, que l'on est tous pas très doués pour mentir sous pression aussi. Mais de ce que je lis sur le forum, l'honnêteté ne paye pas toujours. Je trouve ça dommage de laisser filer une chance comme ça.
Je ferai comme toi aussi, par par honte mais pour être à égalité et pour enfin dire c'est bon je l'es fait, et ne pas être jugé si jamais ça se passe mal. J'ai l'impression que dire que tu est vierge c'est comme si on avait une maladie :joy:
#211251
Genisa a écrit : Je sais que c'est pas la façon la plus honnête de procéder, que l'on est tous pas très doués pour mentir sous pression aussi. Mais de ce que je lis sur le forum, l'honnêteté ne paye pas toujours. Je trouve ça dommage de laisser filer une chance comme ça.
Mais du coup cela ne te dérangeait pas de faire partir une relation sur un mensonge ? N'était-ce pas stressant une fois le moment venu d'être "démasquée" si je puis dire (voir même avant, j'imagine que ça devait être dur à porter également) ?
vistavie a écrit :Et si la pénétration est impossible ce qui est mon cas tellement c'était douloureux et bien là j'ai expliqué pourquoi. Sur 4 relations, 3 ont compris donc tout dépend du moment et de la relation. C'est du cas par cas.
Je n'ai pas bien compris le lien par rapport à la discussion. Sur quel point répondais-tu ?
LiPo aime ça