- 09 sept. 2017, 11:44
#201261
Je pense qu'il faut qu'on continue et qu'on "s'accroche". Le fait d'être bousculer de ces certitudes et de ces mauvaises habitudes peut être une bonne chose.
Pour l'état dans lequel me mette les séances, je pense que le psychologue s'en doute. D'ailleurs cette personne m'avait prévenu, que des fois j'aller avoir le moral à 0 en sortant et des fois j'aurais la "péche".
De plus je pense que le psy a compris le type de personne que j'étais : un esprit torturé en permanence. Donc cela coule de source que avant ou après une séance, c'est un micmac dans ma tête.
Sacha a écrit :Je reviens de ma dernière séance, ça n'a pas été facile non plus et j'ai encore plus de doutes sur l’intérêt de continuer ma thérapie. Le truc c'est que j'ai vraiment pris sur moi pour commencer et j'ai pas envie de gâcher cet effort en arrêtant. Retourner à ma vie lâche mais confortable ne m’intéresse pas non plus. Disons qu'il est encore tôt et que pour l'instant faut un peu serrer les dents, comme tu le dis on a pas d'autres solutions que de continuer.C'est un peu pareil, j'ai pris sur moi pour commencer et je sais que c'est pas facile. De plus je sais que si j'arrête, quasi sûr que dans 1 an je soit toujours au même point.
Si je partage tout ca c'est pas pour te saper le moral au contraire. Peut être qu'au début d'une thérapie il est normal de passer par une phase d'adaptation et de remise en question assez pénible. C'est peut être pas un hasard qu'on éprouve tout ca.
Du coup je te souhaite beaucoup de courage, accroche toi et garde la pèche (je sais c'est pas évident mais je peux pas t'apporter plus dsl)
Je pense qu'il faut qu'on continue et qu'on "s'accroche". Le fait d'être bousculer de ces certitudes et de ces mauvaises habitudes peut être une bonne chose.
VACN a écrit :Il faut faire sortir les humeurs pour que la plaie puisse guérir. Avez-vous parlé à vos thérapeutes de l'état dans lequel vous mettent vos séances ?C'est un peu ça, mais j'ai encore beaucoup de mal à faire sortir tout ça.
Pour l'état dans lequel me mette les séances, je pense que le psychologue s'en doute. D'ailleurs cette personne m'avait prévenu, que des fois j'aller avoir le moral à 0 en sortant et des fois j'aurais la "péche".
De plus je pense que le psy a compris le type de personne que j'étais : un esprit torturé en permanence. Donc cela coule de source que avant ou après une séance, c'est un micmac dans ma tête.