- 31 janv. 2018, 22:07
#207771
Bon,
Ce que je vais faire n'est pas dans mon habitude, je ne cherche pas forcément de conseils mais plutôt un endroit ou écrire ce qui me trotte dans la tête. pour que ça sorte, c'est mieux dehors que dedans comme disait Shrek ( ).
Je ne suis pas psy et je ne sais pas si le site m'a aidé à réaliser certaines choses sur mon comportement pour expliquer cette solitude amoureuse qui traîne depuis de si longues années, mais pour la faire courte j'ai réalisé ces dernières semaines que j'avais une fâcheuse tendance à faire passer tout et tout le monde avant ce que je souhaitai pour moi.
Je suis très souvent incapable de profiter des moments que je vis avec ma famille ou mes amis parce que j'angoisse sur d'autres choses ou sur ce que je devrais faire à la place.
Ce post ne sera sans doute pas très clair et je m'en excuse : ayant grandit avec deux soeurs qui ont un caractère plus fort que le mien, je me suis volontairement mise en retrait, souvent en me faisant marcher dessus, et j'ai un peu reproduit ce schéma avec mes amis jusqu'à mon arrivée à la fac. A partir de là c'est allé mieux, car j'ai rencontré des amies qui m'ont aidé dans ma confiance en moi, mais j'avais toujours ce soucis de bien faire et pas de faire les choses pour me faire plaisir.
J'ai souvent dû quitté des personnes qui étaient importantes pour mon bien être pour des raisons professionnelles et je me refuse encore souvent de me faire plaisir ayant peur de me sentir coupable ou de regretter.
Ca n'a peut-être rien à voir avec ma virginité, mais pendant une longue période de ma vie, l'important c'était de réussir professionnellement et (c'était pas gagné) en négligeant ma vie sociale (même si je n'ai jamais eu de mal à avoir des amis) et amoureuse. est-ce que c'était un refoulement pour ne pas avoir à tisser une relation trop intime avec un mec ? je n'en sais rien, mais ma recherche de réussite professionnelle à tous prix m'a bloqué. Car je n'ai jamais cherché à être vraiment avec quelqu'un. Des mecs m'ont plu , pas des masses bien sur, mais je partais du principe qu'il y aurait mieux que moi et que c'était une perte de temps que d'essayer quoi que se soit.
D'où l'idée de base que je passe après tout le monde, parce que dans le fond je suis moins bien que tout le monde.
J'ai un peu raconté ma vie, c'est brouillon parce que ce sont vraiment des choses que je réalise ces derniers temps, mais peut-être que certains d'entre vous comprendront la tendance qu'on a à constamment se dévaloriser pour tout...
Ce que je vais faire n'est pas dans mon habitude, je ne cherche pas forcément de conseils mais plutôt un endroit ou écrire ce qui me trotte dans la tête. pour que ça sorte, c'est mieux dehors que dedans comme disait Shrek ( ).
Je ne suis pas psy et je ne sais pas si le site m'a aidé à réaliser certaines choses sur mon comportement pour expliquer cette solitude amoureuse qui traîne depuis de si longues années, mais pour la faire courte j'ai réalisé ces dernières semaines que j'avais une fâcheuse tendance à faire passer tout et tout le monde avant ce que je souhaitai pour moi.
Je suis très souvent incapable de profiter des moments que je vis avec ma famille ou mes amis parce que j'angoisse sur d'autres choses ou sur ce que je devrais faire à la place.
Ce post ne sera sans doute pas très clair et je m'en excuse : ayant grandit avec deux soeurs qui ont un caractère plus fort que le mien, je me suis volontairement mise en retrait, souvent en me faisant marcher dessus, et j'ai un peu reproduit ce schéma avec mes amis jusqu'à mon arrivée à la fac. A partir de là c'est allé mieux, car j'ai rencontré des amies qui m'ont aidé dans ma confiance en moi, mais j'avais toujours ce soucis de bien faire et pas de faire les choses pour me faire plaisir.
J'ai souvent dû quitté des personnes qui étaient importantes pour mon bien être pour des raisons professionnelles et je me refuse encore souvent de me faire plaisir ayant peur de me sentir coupable ou de regretter.
Ca n'a peut-être rien à voir avec ma virginité, mais pendant une longue période de ma vie, l'important c'était de réussir professionnellement et (c'était pas gagné) en négligeant ma vie sociale (même si je n'ai jamais eu de mal à avoir des amis) et amoureuse. est-ce que c'était un refoulement pour ne pas avoir à tisser une relation trop intime avec un mec ? je n'en sais rien, mais ma recherche de réussite professionnelle à tous prix m'a bloqué. Car je n'ai jamais cherché à être vraiment avec quelqu'un. Des mecs m'ont plu , pas des masses bien sur, mais je partais du principe qu'il y aurait mieux que moi et que c'était une perte de temps que d'essayer quoi que se soit.
D'où l'idée de base que je passe après tout le monde, parce que dans le fond je suis moins bien que tout le monde.
J'ai un peu raconté ma vie, c'est brouillon parce que ce sont vraiment des choses que je réalise ces derniers temps, mais peut-être que certains d'entre vous comprendront la tendance qu'on a à constamment se dévaloriser pour tout...