- 25 mai 2018, 00:17
#211641
Il est en vérité, impossible de se rendre malheureux sans le vouloir. Personne ne veut souffrir mais c’est incroyable à quel point nous facilitons la tâche à nous rendre malheureux.
En regardant les enfants, on se compte vite qu’ils semblent la plupart du temps heureux. Ils sourient, rient entre eux, à l’école, chez eux… partout. Ils ne semblaient triste que quand quelque chose les poussait réellement à l’être et combien même ce cas arrivait, ils finissaient par s’en remettre très vite. Ils avaient beau échouer, ils recommençaient encore et encore… Ils ne savaient pas ce qu’étaient l’échec et donc n’échouaient pas… Et c'est seulement après un très très grand nombre d’essais qu'ils finissaient par jeter l’éponge, toujours dans la joie et la bonne humeur. Ils allaient voir ailleurs et s’adonnaient à une autre activité, ils avaient cette capacité de s’émerveiller des petites choses. En grandissant, on cultive exactement le comportement opposé.
Nous pensons avoir plus d’humour mais rions beaucoup moins. Nous sourions aussi beaucoup moins. Et ce partout, dans les transport en commun, chez nous au travail… Nous avons oublier l’insouciance et vivons dans la crainte. La crainte des gens, du rejet, de l’échec, de la honte.
Nous avons peur d’essayer car nous voyons à travers notre expérience et notre intelligence nous pensons pouvoir anticiper et donc éviter le pire. Nous restons passifs pour éviter les situations les plus inconfortables. Nous avons trop d’ego pour se laisser aller à apprendre de l’inconnu. Alors on lutte contre les circonstances, on fuit face à l’incommodité. Mais en vérité dans 90% du temps rien n’est réellement grave, on surestime grandement nos problèmes et les circonstances. On renforce nos peurs et on trouve des excuses pour se rassurer et justifier notre passivité. Et c’est ce qui est paradoxal, nous sommes trop intelligents pour ne pas trouver d’excuses. Nous sommes trop intelligents pour ne pas trouver de quoi se plaindre. La vie est courte et nous passons tout notre temps à nous bâtir des murs. Nous passons notre temps à nous enfermer. Nous sommes notre propre prison. Pourquoi ne pouvons nous pas avoir l’intelligence de toujours trouver de quoi être heureux au lieu de quoi se plaindre. Pourquoi ne trouvons nous pas la force de nous pardonner pour ce qui arrivera plutôt que confirmer notre médiocrité à écouter nos excuses ? Nous sommes les personnes qui décident quoi penser des évènements. Les choses vont mal vraiment ? Si c’est le cas rendons nous compte que c’est simplement ce que nous croyons. Il n’y aucune vérité morale dans les événements simplement des interprétations. Le rejet, la honte tout ça ne sont que des situations qu’on interprète comme tel. Ça n’a aucune valeur mais on s’y attarde au lieu de passer son chemin et de continuer à vivre. La vie est belle si on le décide. Et c’est cela l’optimisme : ce n’est pas ignorer ce qui va mal mais c’est le fait de tirer parti du positif pour pouvoir continuer à avancer.
En regardant les enfants, on se compte vite qu’ils semblent la plupart du temps heureux. Ils sourient, rient entre eux, à l’école, chez eux… partout. Ils ne semblaient triste que quand quelque chose les poussait réellement à l’être et combien même ce cas arrivait, ils finissaient par s’en remettre très vite. Ils avaient beau échouer, ils recommençaient encore et encore… Ils ne savaient pas ce qu’étaient l’échec et donc n’échouaient pas… Et c'est seulement après un très très grand nombre d’essais qu'ils finissaient par jeter l’éponge, toujours dans la joie et la bonne humeur. Ils allaient voir ailleurs et s’adonnaient à une autre activité, ils avaient cette capacité de s’émerveiller des petites choses. En grandissant, on cultive exactement le comportement opposé.
Nous pensons avoir plus d’humour mais rions beaucoup moins. Nous sourions aussi beaucoup moins. Et ce partout, dans les transport en commun, chez nous au travail… Nous avons oublier l’insouciance et vivons dans la crainte. La crainte des gens, du rejet, de l’échec, de la honte.
Nous avons peur d’essayer car nous voyons à travers notre expérience et notre intelligence nous pensons pouvoir anticiper et donc éviter le pire. Nous restons passifs pour éviter les situations les plus inconfortables. Nous avons trop d’ego pour se laisser aller à apprendre de l’inconnu. Alors on lutte contre les circonstances, on fuit face à l’incommodité. Mais en vérité dans 90% du temps rien n’est réellement grave, on surestime grandement nos problèmes et les circonstances. On renforce nos peurs et on trouve des excuses pour se rassurer et justifier notre passivité. Et c’est ce qui est paradoxal, nous sommes trop intelligents pour ne pas trouver d’excuses. Nous sommes trop intelligents pour ne pas trouver de quoi se plaindre. La vie est courte et nous passons tout notre temps à nous bâtir des murs. Nous passons notre temps à nous enfermer. Nous sommes notre propre prison. Pourquoi ne pouvons nous pas avoir l’intelligence de toujours trouver de quoi être heureux au lieu de quoi se plaindre. Pourquoi ne trouvons nous pas la force de nous pardonner pour ce qui arrivera plutôt que confirmer notre médiocrité à écouter nos excuses ? Nous sommes les personnes qui décident quoi penser des évènements. Les choses vont mal vraiment ? Si c’est le cas rendons nous compte que c’est simplement ce que nous croyons. Il n’y aucune vérité morale dans les événements simplement des interprétations. Le rejet, la honte tout ça ne sont que des situations qu’on interprète comme tel. Ça n’a aucune valeur mais on s’y attarde au lieu de passer son chemin et de continuer à vivre. La vie est belle si on le décide. Et c’est cela l’optimisme : ce n’est pas ignorer ce qui va mal mais c’est le fait de tirer parti du positif pour pouvoir continuer à avancer.
Chaque jour est une invitation à être heureux.