@VACN : Oui alors je précise tout de même que n’ai jamais écrit ni même insinué dans mon message que tu n’étais pas un adulte ou que tu l’étais moins que d’autres personnes de ce forum. Je ne t’ai pas davantage infantilisé ou n’ai laissé entendre que tu ne te connaissais pas en tant que personne ou n’étais pas à même d’appréhender ton mode de fonctionnement.
Mon propos se borne à dire qu’une personne qui est en début/milieu de trentaine aura nécessairement un vécu et une expérience différente d’une personne qui est dans sa mi-vingtaine et sera plus susceptible d’avoir des habitudes de solitaire que la personne dans la vingtaine. Si on prend deux personnes quittant le domicile parental à 18 ans, la personne à sa mi-vingtaine aura 8-10 ans de vie autonome et solitaire au grand maximum alors que celle qui est sur sa mi-trentaine en aura le double soit environ une quinzaine d’années. Une habitude s’installant par définition avec le temps, la personne dans la trentaine sera donc davantage susceptible d’avoir adopté des habitudes de solitaire qu’une personne plus jeune.
En somme, je n’ai jamais parlé ou laissé entendre l'existence d'une quelconque « supériorité » (les gens dans la trentaine seraient plus adultes que ceux dans la vingtaine) mais d’un autre vécu qui peut influer sur la manière dont tu appréhendes la vie en commun, les relations à toi-même et aux autres et l'installation d'habitudes solitaires plus importantes chez des gens plus âgés.
@Mathso : Effectivement cela peut varier et je sais que mes amis d’enfance en province on commençait le travail plus tôt donc tout vient plus tôt aussi en général (maison, conjoint, enfants, etc.). Sur la capitale et pour les personnes ayant fait des études « longues », on constate un décalage. J’ai plus ou moins généralisé à tort sur ce microcosme.
@Amaz : Je ne sais pas si c’est bon ou mauvais de rester solitaire sur des longues périodes mais je pense effectivement que cela influe effectivement sur le « psychisme », ton rapport au monde en général.
Pour ce qui est de faire des rencontres amicales, je n'ai jamais éprouvé des difficultés trop importantes.
Pour ce qui est de faire des rencontres sentimentales/amoureuses, à mon sens, un cercle social n'est pas important, j'ai plusieurs amis qui ont beaucoup plus de relations d'un soir ou de longues durées que de relations amicales.