Virginité tardive

Traduction officielle :

Au cœur des gouffres et de la nuit
Dors, mon enfant joli
Dans ton berceau de froide pierre à l'abri des éclairs
Voici venir les vents d'orage
Mais ne crains rien, mon enfant sage
Car le vent te bercera, chassant la peur et l'effroi
A la lueur bénie des cristaux, tu dormiras bientôt

Je ne sais pas pourquoi, mais le clip que tu as posté Pasta m'a rappelé l'existence de cette chanson (Sébastien Tellier, génie incompris?):

Je regarde les films d'animation City Hunter/Nicky Larson sur Netflix.
J'adore la musique : j'avais acheté l'OST de la première saison lors d'une convention (du temps où on organisait des événements avec plein de gens ).

Ca faisait longtemps que j'avais pas posté un petit Counting Crows !

Ce morceau a environ 25 ans mais passe toujours crème à mes oreilles :)

« ''Monarch'' est une chanson épique et dynamique sur les attributs traditionnels de l’humanité. La conviction que faire preuve de compassion et de gentillesse est un signe de faiblesse. » explique Martin Lopez. « Le manque de direction et d'orientation dans la société transforme les jeunes générations en créatures violentes et destructrices », poursuit Joel Ekelöf « parce qu'elles vivent à une époque où les brutes sont rois et les autres sont des proies. »

La vision est peut-être un peu extrême mais ce n'est pas nécessairement faux et je pense que le meilleur exemple ça reste le milieu de l'entreprise où il arrive fréquemment de tomber sur des personnes (et j'en ai fait l'amère expérience) qui sont prêts à écrasais et rabaissais autrui pour se valoriser. C'est une triste réalité mais le système actuel favorise les prédateurs au détriment des proies. d’où peut être ce sentiment de n'avoir droit qu'aux miettes lorsqu'on fait preuve de respect et que l'on n'a pas le souhait décrassais ou rabaissais autrui pour arriver à ses fins.

Dans ma playlist du soir. Ca fait du bien de réécouter ces classiques, et indémodables. Dire que cette chanson a déjà 25 ans.

Une alternative au fameux "Tu vas au bal?" de Renaud par les Goguettes :