- 20 juin 2017, 20:39
#195833
Je ne parlais pas forcément de problèmes psychologiques, juste d'une réaction à un mal-être provoqué par divers raisons notamment familiales que j'ai énuméré plus haut.
Un moyen tordu d'évacuer sa frustration en étant désagréable et méchant envers quelqu'un, définir un ou plusieurs défouloirs humains avec toute l'horreur que cela suggère...et faire participer le plus de monde pour se sentir légitime.
Là je parle de harcèlement dans un cadre où plusieurs personnes se fréquentent régulièrement comme au travail ou à l'école et pas dans la rue ou les transports où nous sommes tous des inconnus les uns pour les autres (du coup, j'ai vraiment dévié de ton post Bonbenbof).
Genisa, moi aussi on m'a beaucoup humilié verbalement sur mon physique, des inconnus dans la rue et toujours les mêmes mecs à l'école, qui pour le coup étaient quand même assez frustrés dans leur vie (je l'ai appris bien plus tard). J'en ai souffert et ça laisse toujours des marques, mais je ne considère pas avoir vécu un harcèlement au sens propre du terme. Surtout quand je lis/vois/entends le calvaire que certaines personnes ont vécu, ça n'a rien à voir en terme de ""gravité"".
Toujours est-il que je ne veux pas glorifier les persécuteurs, je parle d'eux parce-que sans eux, il n'y aurais pas de harcèlement et donc pas de jeunes qui se suicident à cause de ça.
Un moyen tordu d'évacuer sa frustration en étant désagréable et méchant envers quelqu'un, définir un ou plusieurs défouloirs humains avec toute l'horreur que cela suggère...et faire participer le plus de monde pour se sentir légitime.
Là je parle de harcèlement dans un cadre où plusieurs personnes se fréquentent régulièrement comme au travail ou à l'école et pas dans la rue ou les transports où nous sommes tous des inconnus les uns pour les autres (du coup, j'ai vraiment dévié de ton post Bonbenbof).
Genisa, moi aussi on m'a beaucoup humilié verbalement sur mon physique, des inconnus dans la rue et toujours les mêmes mecs à l'école, qui pour le coup étaient quand même assez frustrés dans leur vie (je l'ai appris bien plus tard). J'en ai souffert et ça laisse toujours des marques, mais je ne considère pas avoir vécu un harcèlement au sens propre du terme. Surtout quand je lis/vois/entends le calvaire que certaines personnes ont vécu, ça n'a rien à voir en terme de ""gravité"".
Toujours est-il que je ne veux pas glorifier les persécuteurs, je parle d'eux parce-que sans eux, il n'y aurais pas de harcèlement et donc pas de jeunes qui se suicident à cause de ça.
"Ne perds jamais espoir. Lorsque le soleil se couche, les étoiles apparaissent"