- 23 oct. 2016, 17:57
#179108
Tiens-j'en ai vite fait parler mais je vais parler ici plus en détail en tant que bizuteur ! Et non en tant que bizuter.
Lorsque j'étais ado il y avait un garçon que je ne pouvais pas me voir en photo, parfait en tout ! Premier de la classe, beau gosse, poli, mature pour son âge alors que dans mon cas j’étais plus dans médiocres de la classe x)
Je ne pouvais me voir sa gueule, y m'énervait mais y m'énervait, une vraie tête à claques celui-là! Je n'en suis pas fier maintenant que je suis adulte mais oui je l'avoue je fus son bizuteur, je faisais en sorte de l'avoir rien que pour moi, dans un coin je le foutais et je faisais en sorte de le culpabiliser, plus grave encore je lui foutais des tartes dans sa gueule tant il m'énervait, ah oui quand je vous dis que je ne pouvais pas le voir en peinture! Je ne faisais pas semblant... Au cours de l'année je voyais qui me fuyait mais je revenais à la charge en l'insultant de tous les noms et le frappai derrière, il n'osait pas se plaindre à la direction, ni aux professeurs, j'étais tout-puissant jusqu'au jour où il osa le dire à la professeur principale mais aussi étonnante soit-il il l'a professeur n'a rien fait à mon encontre et donc je continuais ainsi mon jeu malsain.
Il se plaignant de nouveau, le professeur me convoquât avec mon camarade en classe et aussi étonnant soit-il, j'ai eu droit à de simples remontrances, de gentillette remontrance. Le jeu continua et puis je finis par changer d’école (déménagement, dans la même ville mais pas le même quartier).
Avec le temps je me rends compte que je déversais sur ce pauvre gamin mon cruel manque de confiance en moi à l'époque mais aussi ma frustration due à un climat familial qui fut éprouvant. Je déversais sur le pauvre gamin en proie à ma colère mon mécontentement, je voyais en lui une proie facile. Et peut-être aussi ce que j'enviais chez lui, sa façon d'être, son calme, son intelligence, pour me venger je voulais le faire souffrir, le faire culpabiliser sur sa personne.
Je ne sais rien de ce qu'il advint de lui mais j'ose espérer qu'il n'a pas trop souffert de mes primates et coup. Sur se entendons-nous bien je ne cherche pas à me dédouaner de mes actes enfant mais sachez que dans certains cas un enfant turbulent, désagréable avec un de ses camarades cache des failles et jalouse l'enfant qui en devient une proie, une proie facile, qu'il est facile de faire pleurer, de culpabiliser, de frapper, tout ça pour se sentir un instant plus fort que ce gosse dont nous enviant sa vie.
Lorsque j'étais ado il y avait un garçon que je ne pouvais pas me voir en photo, parfait en tout ! Premier de la classe, beau gosse, poli, mature pour son âge alors que dans mon cas j’étais plus dans médiocres de la classe x)
Je ne pouvais me voir sa gueule, y m'énervait mais y m'énervait, une vraie tête à claques celui-là! Je n'en suis pas fier maintenant que je suis adulte mais oui je l'avoue je fus son bizuteur, je faisais en sorte de l'avoir rien que pour moi, dans un coin je le foutais et je faisais en sorte de le culpabiliser, plus grave encore je lui foutais des tartes dans sa gueule tant il m'énervait, ah oui quand je vous dis que je ne pouvais pas le voir en peinture! Je ne faisais pas semblant... Au cours de l'année je voyais qui me fuyait mais je revenais à la charge en l'insultant de tous les noms et le frappai derrière, il n'osait pas se plaindre à la direction, ni aux professeurs, j'étais tout-puissant jusqu'au jour où il osa le dire à la professeur principale mais aussi étonnante soit-il il l'a professeur n'a rien fait à mon encontre et donc je continuais ainsi mon jeu malsain.
Il se plaignant de nouveau, le professeur me convoquât avec mon camarade en classe et aussi étonnant soit-il, j'ai eu droit à de simples remontrances, de gentillette remontrance. Le jeu continua et puis je finis par changer d’école (déménagement, dans la même ville mais pas le même quartier).
Avec le temps je me rends compte que je déversais sur ce pauvre gamin mon cruel manque de confiance en moi à l'époque mais aussi ma frustration due à un climat familial qui fut éprouvant. Je déversais sur le pauvre gamin en proie à ma colère mon mécontentement, je voyais en lui une proie facile. Et peut-être aussi ce que j'enviais chez lui, sa façon d'être, son calme, son intelligence, pour me venger je voulais le faire souffrir, le faire culpabiliser sur sa personne.
Je ne sais rien de ce qu'il advint de lui mais j'ose espérer qu'il n'a pas trop souffert de mes primates et coup. Sur se entendons-nous bien je ne cherche pas à me dédouaner de mes actes enfant mais sachez que dans certains cas un enfant turbulent, désagréable avec un de ses camarades cache des failles et jalouse l'enfant qui en devient une proie, une proie facile, qu'il est facile de faire pleurer, de culpabiliser, de frapper, tout ça pour se sentir un instant plus fort que ce gosse dont nous enviant sa vie.