- 07 mai 2020, 13:06
#232384
Allez c'est la reprise du boulot aujourd'hui, je ne m'y attendais pas de sitôt.
J'aimerais bien en changer, mais je ne sais vers quoi me tourner.... J'ai songé à l'agroalimentaire qui propose des perspectives intéressantes en termes de salaire, mais quant au reste du métier, ce n’est pas très reluisant, c'est répétitif, pénible sur le plan physique et c'est souvent des tâches plutôt ingrates qui sont à effectuer, mais cela est en quelque sorte compenser par les diverses primes, prime assiduité, prime d'habillement, prime de froid. D'après ce que j'ai pu lire et calculer, ça fait tout de même entre 13 et 15 pour cent en plus du salaire de base. Selon les heures, effectuez 35h ou plus. Cela fait tout de même entre 150 à 200 de plus par mois sur la balance, ce qui n'est évidemment pas négligeable. En fin de compte les employés arrivent à environ 1400 / 1500 NETS par mois si j'inclus avec tout ça la prime d'activité que verse l'état providence.
Là je trouve qu'on commence à taper dans du bon salaire. Suffisant pour envisager l'avenir avec une certaine sérénité. En tout cas je fais pâle figure avec mes misérables 340 euros par mois de salaire. Bon certes, je boss seulement 10h / 12h par semaine, mais c'est loin d'être un choix, je le fais le temps de passer à autre chose, mais à mon âge je ne peux pas me contenter de si peu. C'est parfois l’impression quand temps ''qu'étranger'' on nous file les boulots que personne ne voudrait faire, on nous laisse les miettes quoi.... ^^ Et si l'on prétend à mieux, on se heurte à un mur. Avec toute la volonté du monde, mes nombreuses démarches, je me heurte sans cesse à un plafond de verre. Je crois n'avoir jamais atteint ne serait-ce que le SMIC.
En tout cas si je venais à partir cette fois-ci je vais le faire intelligemment, les deux dernières fois où j'étais partie d'une société cela s'était très mal passé, je suis partie en mauvais terme avec mes employeurs, mais comme le disait une jeune femme sur YouTube qui parlait de démission et du mal être au travail, il est toujours préférable de partir en bon terme et de soigner son départ. Toujours avoir en tête que le monde est petit et que l'on peut rapidement finir par avoir une mauvaise réputation, dans mon cas j'ai eu de la chance, mes deux départ non pas eu de conséquence pour la suite, mais j'en connais pour qui cela n'a pas été la même chanson. Donc si j'avais un conseil, ne quitter pas une société en mauvis terme. Ne faites pas la même erreur que moi, même si j'ai été chanceux vaut mieux prévenir que guérir et se retrouver avec une mauvaise réputation sur le dos, mais il faut que je fusse jeune, à présent que j'ai pris de la bouteille je sais m'y prendre mieux avec les gens, je sais bien mieux comment m'y prendre pour douceur les rancœurs, je joue un mixte de manipulation et de séduction si ont peut dire ou tout bonnement j'ignore tout reproche. Ainsi je ne rentrerais pas dans les débats fâcheux en cas de départ.
Parce que faut bien se mettre en tête que l'employeur n'a rien à gagner à accepter par exemple une rupture conventionnelle, lui il préférait dans tous cas que l'on démissionne et c'était en partie la raison de mes départs foireux, je souhaitais mordicus la rupture conventionnelle et mon employeur que je démissionne, nous n’étions pas du tout sur la même longueur d'onde, mais le souci c'est que sous mes airs de jeunes hommes timides se cache une personne tenace et lorsque j'ai une idée en tête il est difficile de m'en faire changer d'avis, mais je trouve qu'avec le recul je ne m'y prenais pas bien, à présent, je m'y prendrais plus en douceur pour soigner mon départ et ainsi ne pas me retrouver dans un point de blocage.
Tant pis pour mon employeur, ils perdent pourtant un bon élément, ce n’est pas faute d'avoir prévenu mon employeur que je souhaitais plus que les miettes qu'il me lance. Parait-il que tous domaines confondus il arrive plus souvent que ce soit les bons éléments qui s'en aille, les mauvais éléments s’il se plaît dans une société ne la quittent pas, mais les bons éléments pour des raisons qui m'échappe finisse par s'ennuyer ou trouver les modalités de leur contrat de travail insuffisant et ils claquent la porte.