Il est possible qu'il puisse y avoir une sexualisation des cerveaux (EDIT : en termes de sexualité), dans la mesure où la majorité de la population est hétérosexuelle . Même s'il y a une part d'acquis, de par l'éducation, la majorité des animaux (qui n'est pas éduquée ^^) est hétérosexuelle.
Néanmoins, il y a aussi une part qui est homosexuelle, et ça s'observe aussi chez les animaux.
Homosexualité et hétérosexualité font référence à un attrait pour un sexe particulier (le sien, l'autre) plus qu'à une personne.
Il me semble avoir lu que cloitrer les personnes d'un même sexe favorise l'homosexualité (apparemment, c'était notamment le cas dans la Grèce Antique, chez les jeunes hommes vivant ensemble sans présence féminine...
MAIS A VERIFIER!!!!!!!!!!!)
Du coup, on pourrait être programmé plutôt pour quelque chose, mais se reprogrammer ensuite, en fonction de l'environnement.
Tout ceci, ce côté adaptatif, c'est juste la base de la vie. On s'adapte pour compenser un problème, un manque, qui là pourrait être affectif.
Mais je suis d'accord que c'est difficile à étudier, et dangereux plus encore.... Le genre de trucs qui serait utilisé sans vergogne par des homophobes. Le genre d'études qui dériverait, à coup sûr (et si on prédisait la sexualité de son enfant? Pourrait-on alors l'orienter, d'une manière ou d'une autre, chimiquement ou autrement,dès lors qu'on aurait compris ses ressorts neuronaux?).
Je précise juste que je parle de tout cela d'un point de vue purement scientifique, sans jugement de valeur. J'ai des ami(e)s gays, je les adore et ne les changerais pour rien au monde
Et en parallèle, il y a des gens qui arrivent à aimer sans tenir compte du sexe. Je trouve ça très beau d'ailleurs, d'arriver à passer outre le sexe de l'autre.
Pour sexe et caractère, je rejoins complètement Snap! Il pourrait peut-être y avoir un type de caractères/comportements davantage présents chez un sexe ou l'autre (je me rappelle avoir vu à la fac une diapo montrant que la mortalité des jeunes hommes était plus importante que celle des jeunes femmes, probablement due à des comportements plus à risque... mais il faut alors démontrer si c'est encouragé biologiquement - par exemple le pic de testostérone de la puberté - ou bien culturellement - on est à une période ou l'ado, le jeune adulte va pouvoir vouloir montrer sa virilité, d'une manière ou d'une autre). Néanmoins, ce n'est pas parce que 10% des mecs seraient des têtes brûlées et seulement 2% des filles qu'on peut dire que le caractère est intimement lié au sexe, la répartition peut changer, sans pour autant permettre une prédiction.
Désolé, c'était Coelio, en mode analyse scientifique