- 31 oct. 2017, 02:37
#203823
Les méthodes d'abattages industrielles permettent un rendement élevé.
On amortit plus facilement le coût de la viande et comme la demande est haute, le prix à l'achat est bas.
Et encore, nous ne sommes pas aux Etats-Unis où on vend de la viande encore moins chère dans les Walmart... mais elle est de très mauvaise qualité pour les français ayant vécu là-bas (OGM autorisé d'ailleurs). Il y a encore, ponctuellement, des scandales alimentaires (le dernier en date, les œufs de poules au départ des Pays-Bas et, partiellement, de la Belgique) qui montrent qu'à forcer un tel rendement, les risques sanitaires sont grands tant pour les animaux que pour les humains. C'est principalement ce rendement industriel qui me fait réfléchir et qui entrainent des mouvements parfois radicaux : les mouvements anti-specisme qui collent parfois des autocollants sur les panneaux STOP.
Le rayon charcuterie/boucherie de mon supermarché fait facilement la moitié de sa largeur et des races bovines ont été conçues spécifiquement pour avoir un apport de viande décuplé (je n'oserais pas dire que c'est du dopage mais...).
Je sais qu'il existe également des mouvements de "slow food", de retour de coopératives agricoles pour proposer une alternative à la grande distribution (ça se développe dans ma ville) et accentuer le circuit court : les produits voyagent moins, ce qui donne un achat plus responsable envers les producteurs et écologique car le transport des aliments se fait de manière locale. Je suis curieux d'aller voir ça, sous peu.
La viande, en elle-même, je l'apprécie (je préfère même le poisson à vrai dire) mais je réfléchis à une manière plus responsable de consommation.
On amortit plus facilement le coût de la viande et comme la demande est haute, le prix à l'achat est bas.
Et encore, nous ne sommes pas aux Etats-Unis où on vend de la viande encore moins chère dans les Walmart... mais elle est de très mauvaise qualité pour les français ayant vécu là-bas (OGM autorisé d'ailleurs). Il y a encore, ponctuellement, des scandales alimentaires (le dernier en date, les œufs de poules au départ des Pays-Bas et, partiellement, de la Belgique) qui montrent qu'à forcer un tel rendement, les risques sanitaires sont grands tant pour les animaux que pour les humains. C'est principalement ce rendement industriel qui me fait réfléchir et qui entrainent des mouvements parfois radicaux : les mouvements anti-specisme qui collent parfois des autocollants sur les panneaux STOP.
Le rayon charcuterie/boucherie de mon supermarché fait facilement la moitié de sa largeur et des races bovines ont été conçues spécifiquement pour avoir un apport de viande décuplé (je n'oserais pas dire que c'est du dopage mais...).
Je sais qu'il existe également des mouvements de "slow food", de retour de coopératives agricoles pour proposer une alternative à la grande distribution (ça se développe dans ma ville) et accentuer le circuit court : les produits voyagent moins, ce qui donne un achat plus responsable envers les producteurs et écologique car le transport des aliments se fait de manière locale. Je suis curieux d'aller voir ça, sous peu.
La viande, en elle-même, je l'apprécie (je préfère même le poisson à vrai dire) mais je réfléchis à une manière plus responsable de consommation.