[Lux]

C'est tout de même assez logique : être engagé dans une relation est l'une des raisons principales de l'arrêt des études lorsqu'on a une vingtaine d'années. Combien d'hommes et de femmes qui ont cherché un boulot parce qu'un bébé arrivait déjà, parce que leur but était de se marier et d'être proches géographiquement, quand les études les éloignaient ?
Par ailleurs, l'énergie qui n'est pas dépensée dans le sexe et à rechercher un partenaire sexuel est utilisée pour autre chose — pour les études, notamment. Là encore, ce n'est qu'une conséquence logique : vie intime moins fournie = plus de temps pour les études.

[Azrael]

Après je pense qu au bout d un moment quand la vie intime démarre pas, ça finit par s en ressentir sur l activité étudiante/pro.

[Lux]

Je n'en suis pas si sûre. Je pense qu'il y a pas mal de célibataires qui sur-investissent leur job et qui, du coup, sont des "parfaits" salariés, qui acceptent les heures supp', les vacances en plein mois de novembre, etc.

[Azrael]

Y aura déjà pas le même raisonnement entre le simple célib et celui qui désespère de n avoir jamais rien connu. Oui c est sûr le boulot peut être un palliatif qu on vit plutôt bien. Jusqu à quand c est une autre question, ça doit rarement suffire à une existence heureuse.

[Lux]

Mais c'est justement quand on n'est pas heureux qu'on se lance à corps perdu dans le peu qu'on a...

[Azrael]

Mais quand on est malheureux n est il pas difficile de trouver la motivation pour faire les grands efforts? Faut vraiment aimer son job quoi... En tout cas j aimerais mieux être enterré que n avoir plus que ça pour le reste de mes jours :s

[rooter]

Je n'en suis pas si sûre. Je pense qu'il y a pas mal de célibataires qui sur-investissent leur job et qui, du coup, sont des "parfaits" salariés, qui acceptent les heures supp', les vacances en plein mois de novembre, etc.

Je confirme, même dans mon travail d’ouvrier, j'acceptais toute les heures sup, travaillais la nuit de noël,...