- 02 juil. 2015, 22:20
#147446
C'est cet article qui m'a fait découvrir ce forum.
Mais j'ai l'impression que ce journal est à la recherche du sensationnalisme un peu racoleur voire une forme de voyeurisme (voyez les illustrations choisies pour l'article sur le Japon).
D'une manière générale, il ne faut pas trop compter sur la grande presse pour décrire fidèlement un phénomène de société.
Par ailleurs, l'avis de l'experte qui termine le premier article sur les VT est intéressant mais effrayant:
Parlant des VT:
(Par exemple, je suis persuadé que la VT pour les hommes peut avoir une dimension économique)
A contrario, l'article de Society, n'est pas très disert sur la dimension psychologique de la question.
Mais j'ai l'impression que ce journal est à la recherche du sensationnalisme un peu racoleur voire une forme de voyeurisme (voyez les illustrations choisies pour l'article sur le Japon).
D'une manière générale, il ne faut pas trop compter sur la grande presse pour décrire fidèlement un phénomène de société.
Par ailleurs, l'avis de l'experte qui termine le premier article sur les VT est intéressant mais effrayant:
Parlant des VT:
Ces derniers sont le plus souvent des hommes qui ne sont pas valorisés sur le marché sexuel: parce qu'ils sont peu qualifiés, qu'ils vivent dans des quartiers populaires ou qu'ils ont des problèmes de santé, voire un handicap. Il existe des caractéristiques sociales au fait que certaines personnes ne trouvent pas de partenaire sexuel(le).J'ai parcouru les questions du sondage qui est proposé sur ce forum pour essayer de cerner les raisons d'être un(e) VT, cet aspect-là (celui décrit par cette chercheuse de l'INED) n'est pas évoqué dans toute sa dimension.
(Par exemple, je suis persuadé que la VT pour les hommes peut avoir une dimension économique)
A contrario, l'article de Society, n'est pas très disert sur la dimension psychologique de la question.
Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.