- 17 janv. 2016, 11:14
#165401
Du même avis que Lux et Genisa.
Avant de vouloir se respecter soi-même, respectons d'abord les autres.
Certaines personnes boivent pour oublier ne serait-ce qu'un temps leurs problèmes. C'est en effet idiot, c'est malheureux, mais vous n'êtes pas à leur place. Chacun gère ses propres problèmes comme il l'entend. Vous pouvez ne pas aimer les gens ivres, mais dire que ces gens ne méritent pas votre respect, c'est assez prétentieux je trouve. Surtout quand il s'agit des gens qui n'emmerdent qu'eux-mêmes.
J'ai vécu des 2 côtés de la barrière : j'ai eu une mère violente alcoolique, puis à son suicide, mon père a pris sa place. Et j'ai attendu près de 30 ans pour pouvoir toucher à l'alcool. J'ai mis longtemps non pour pardonner, mais pour essayer de comprendre mon père et ma mère.
Puis je me suis mis à boire à 30 ans. Au début, c'était pour être moins timide, moins réservé, moins coincé avec les gens. C'était aussi un moment où je me sentais le plus mal (j'avais rencontré une nana qui m'a offert son amitié et s'est servi de moi pour son propre intérêt. Une fois son but atteint - sortir avec un mec avec qui je travaillais -, elle m'a jeté comme une vieille chaussette. Ca plus les huissiers qui avaient retrouvé ma trace).
Bien sur, vu que ça ne me faisait rien, je buvais de plus en plus fort et de plus en plus souvent. Je n'ai jamais eu l'alcool mauvais, mais après une soirée émêchée où j'ai senti monter en moi des pulsions sauvages, j'ai finalement arrêté. Ca fait depuis l'année dernière que je n'ai plus bu.
Avant de vouloir se respecter soi-même, respectons d'abord les autres.
Certaines personnes boivent pour oublier ne serait-ce qu'un temps leurs problèmes. C'est en effet idiot, c'est malheureux, mais vous n'êtes pas à leur place. Chacun gère ses propres problèmes comme il l'entend. Vous pouvez ne pas aimer les gens ivres, mais dire que ces gens ne méritent pas votre respect, c'est assez prétentieux je trouve. Surtout quand il s'agit des gens qui n'emmerdent qu'eux-mêmes.
J'ai vécu des 2 côtés de la barrière : j'ai eu une mère violente alcoolique, puis à son suicide, mon père a pris sa place. Et j'ai attendu près de 30 ans pour pouvoir toucher à l'alcool. J'ai mis longtemps non pour pardonner, mais pour essayer de comprendre mon père et ma mère.
Puis je me suis mis à boire à 30 ans. Au début, c'était pour être moins timide, moins réservé, moins coincé avec les gens. C'était aussi un moment où je me sentais le plus mal (j'avais rencontré une nana qui m'a offert son amitié et s'est servi de moi pour son propre intérêt. Une fois son but atteint - sortir avec un mec avec qui je travaillais -, elle m'a jeté comme une vieille chaussette. Ca plus les huissiers qui avaient retrouvé ma trace).
Bien sur, vu que ça ne me faisait rien, je buvais de plus en plus fort et de plus en plus souvent. Je n'ai jamais eu l'alcool mauvais, mais après une soirée émêchée où j'ai senti monter en moi des pulsions sauvages, j'ai finalement arrêté. Ca fait depuis l'année dernière que je n'ai plus bu.
Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.