Pasta a écrit :Le problème est que les sirènes de ces activités improductives sont toujours là pour m’empêcher de faire ce que je veux faire.
qu'est ce que tu veux faire ?!
il y a une différence entre pouvoir et ne pas pouvoir les faire,et vouloir et ne pas vouloir les faire. A mon sens tu ne veux pas
il y a des choses qui me rebute et pourtant il faut bien les faire, et à côté il y a des choses que je dois faire mais ne m'en donne pas les moyens ou alors c'est que je ne peux réellement pas les faire.
la matrice d’Eisenhower peut te permettre de faire les choses urgentes et importantes en priorité et ainsi de voir finalement que certaines tâches sont inutiles pour le moment voir totalement futiles.
Et puis faire ces choses que tu dis "productives" sont elles vraiment utile pour toi, où est ce que c'est juste un moyen de remplir éventuellement ta journée.
Chihiro1 a écrit : PS: je suis étudiante hein donc ma lutte principale c'est d'assimiler des cours parfois très rébarbatifs...
le statut d'étudiant me semble normal d'avoir des envies de faire autre chose, si ça peut te rassurer
Passer des heures derrières des bouquins surtout quand ça nous passionne moyennement c'est assez compréhensible.
Se consacrer durant 15 à 30 min à une tâche rébarbative pour pouvoir profiter de 45 min de "non productif" ça encourage. Enfin c'est aussi un peu comme ça que je procède quand vraiment je suis au pied du mur et que les délais son compter.
ceux sont les 3 questions de l'exercice sus cité, qui m'ont sautées aux yeux :
- faire le point sur les "fausses bonnes excuses" quelles sont elles ?
- prendre conscience du prix de ma procrastination : quel est le prix de votre procrastination ?
- j'explore les bénéfices cachés de mon inaction : quels sont les avantages dont vous bénéficiez aujourd'hui que vous risquez de perdre en passant à l'action ?