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par godfreyho
ans
#224452
Amaz a écrit :godfreyho: tu en penses quoi de toute cette discussion ? Est-ce qu'elle t’a permis de reconsidérer la question ?

N'oublie pas que nous sommes libre godfreyho. Tu fais ce que tu veux, si le célibat te convient, que tu ne souffres pas du manque d'une personne à tes côtés, il n'y a pas de raison de s'en faire et il n'y a pas de honte à préférais le célibat à une vie de couple.
Oui un peu mieux merci, jusqu'à présent mon rêve était de vivre mes passions à fond et de me trouver un "petit coin de paradis" avec un minimum de contact avec les autres (sauf mes proches et amis) mais depuis la mort de mon frère et d'autres évènements, ma raison me pousse toujours à accomplir ce rêve mais mon cœur me dit que la vie à 2 n'est peut-être pas si mal et comme je suis très curieux :smile:
Le problème c'est que je ne me suis jamais fié à mon intuition et à mes sentiments donc, c'est quelque chose de très déstabilisant voire d'effrayant. Ma tête me dit que pour être heureux je dois être seul continuer la voie que je suivais jusqu'à présent et l'autre truc (je ne sais pas comment le nommer en fait) me dit que non. Je suis en plein doute c'est un pour ça que j'avais posé la question et aussi comme souvent par curiosité quant aux réponses, informations et arguments qui allaient être apportés.
Bref je ne sais plus quel chemin prendre alors qu'avant j'étais sur de mon but, c'est de ça que je parlais quand je disais vouloir retrouver la paix de l'esprit.
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par Azrael
Homme de 38 ans non vierge
#224453
godfreyho a écrit : 07 sept. 2019, 14:23 Y a pas de mal à écouter de la musique pendant une demi-journée, si ça t'a fait du bien. Le problème avec la recherche de partenaire ne serait-il pas la place que cela prend dans la vie au détriment du reste? Arriver à s'en détacher sans l'oublier, bon, exercice compliqué et difficile... Est-ce que quelqu'un y arrive ici, a atteint une sorte d'équilibre? Qu'est-ce que ça fait, comment se sent-on alors?
Oui, le problème c'est que trop de "demi-journées" s'envolent en musique (j'en ai parfois mal aux oreilles) alors que j'ai d'autres priorités en ce moment, je passe aussi trop de temps sur le PC, dans mes pensées et réflexions. Cela fait longtemps que la recherche d'une partenaire à proprement parler, prend peu de place dans ma vie, je suis plus occupé à m'améliorer et surtout à placer un terrain favorable (j'économise à fond pour être vite propriétaire, mettre le souci argent de côté et avoir plus de temps), les dernières femmes à m'avoir plu je les ai croisées hors du mode "quête".

Et le problème m'a toujours semblé la place que prenait le travail dans notre vie, et notamment quand on a un long temps de trajet. Après il y a encore les corvées, la famille... Et il te faudrait encore du fuel pour rechercher une partenaire. Dans ces conditions, tu ne peux qu'être tenté de rechercher la détente/les plaisirs immédiats, et ça ne peut qu'aller très lentement lorsque tu tiens à tes loisirs plus ou moins solitaires.
par godfreyho
ans
#224455
Eh oui mais y a pas de mal à se faire du bien. :sweat_smile:
Pour le temps d'accord avec toi on en a pas assez.
Azrael a écrit : Et le problème m'a toujours semblé la place que prenait le travail dans notre vie, et notamment quand on a un long temps de trajet.
Oh que oui, c'est pénible même, trop de temps passé en interactions sociales, s'il n'y avait que les "taches professionnelles" à accomplir, ce serait déjà beaucoup plus agréable.
par Eeyore
ans
#224459
godfreyho a écrit : 07 sept. 2019, 14:23 Le problème avec la recherche de partenaire ne serait-il pas la place que cela prend dans la vie au détriment du reste? Arriver à s'en détacher sans l'oublier, bon, exercice compliqué et difficile... Est-ce que quelqu'un y arrive ici, a atteint une sorte d'équilibre? Qu'est-ce que ça fait, comment se sent-on alors?
Heu... la "recherche" de partenaire ne prend absolument aucune place dans ma vie, et donc il n'y a pas de "au détriment de" quoi que soit. Me mettre en couple n'est pas sur ma liste d'objectifs dans la vie, je vois plutôt ça comme un bonus. Pour revenir sur l'idée du plaisir évoquée par Rooter, effectivement j'ai centré ma vie sur "faire des choses qui me plaisent et me rendent heureuse". J'ai mis presque 10 ans à enfin trouver un boulot et un lieu de vie qui me plaisent, cette recherche était l'objectif de ma vie pendant toutes ces années. Maintenant que c'est fait, je me concentre désormais sur la recherche d'activités et de contacts amicaux dans cette nouvelle ville. Je veux aimer ma vie telle qu'elle est, et si "par hasard" une relation sentimentale trouve sa place la dedans, ce serait un peu comme la cerise sur le gâteau. Même sans, le gâteau est bon quand même! :smile:

Ajouté 1 minute 47 secondes après :
godfreyho a écrit : 07 sept. 2019, 15:49 Oh que oui, c'est pénible même, trop de temps passé en interactions sociales, s'il n'y avait que les "taches professionnelles" à accomplir, ce serait déjà beaucoup plus agréable.
Pour pas mal de gens (mais pas tous, je suis d'accord), les interactions sociales au travail sont la principal intérêt du travail, en fait! :)
Pour ma part, je refuse régulièrement un bureau qui est censé me revenir car j'y serai toute seule, préférant rester avec mes collègues. :grin:
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par rooter
Homme de 39 ans vierge
#224461
C'est pas la possibilité de se maintenir en vie grâce au salaire ?

Pour ma part, c'est la logique et le devoirs qui dirigent ma vie. Le plaisir ne me motvie pas tant que ça, j'y vois quelque chose de superficiel, et un abandon de sa subjectivité. Comme de n'agir qu'en fonction de stimuli soi en conséquence, soit pour les générer. Je touve ça même assez triste... Mais bon, la pluaprt des gens suivent leur hédonisme, alors ça isole, oui.
par Eeyore
ans
#224464
rooter a écrit : 07 sept. 2019, 18:21 C'est pas la possibilité de se maintenir en vie grâce au salaire ?
Pour moi, ça c'est "pourquoi il faut travailler" mais pas "qu'est ce qui nous motive à aller au boulot le matin" mais la dessus on a surement tous un avis différent. Par contre y a que moi ici qui aime mon boulot, ou...? j'ai l'impression qu'à chaque fois que quelqu'un ici parle de son boulot c'est une torture de tous les instants.... :confused:
rooter a écrit : 07 sept. 2019, 18:21 Pour ma part, c'est la logique et le devoirs qui dirigent ma vie. Le plaisir ne me motive pas tant que ça, j'y vois quelque chose de superficiel, et un abandon de sa subjectivité. Comme de n'agir qu'en fonction de stimuli soi en conséquence, soit pour les générer. Je trouve ça même assez triste... Mais bon, la plupart des gens suivent leur hédonisme, alors ça isole, oui.
Vivre pour les devoirs (je n'ai pas trop compris ce que c'est que de vivre pour la logique, j'avoue), moi c'est ca que je trouve triste. Je vois pas trop en quoi "faire des choses qui me font me sentir bien" serait superficiel (j'ai même bien du mal qu'on puisse rechercher autre chose que ça, a vrai dire. :neutral_face: ) , enfin chacun donne le sens qu'il veut à sa vie, comme toujours. C'est d'ailleurs un débat philosophique sans fin ^^. Et qu'entends-tu par "un abandon de sa subjectivité"?
Mais si le plaisir ne te motive pas tant que ca... est-ce que tu as quand même la capacité d'en éprouver?
par godfreyho
ans
#224468
Eeyore a écrit :Pour ma part, je refuse régulièrement un bureau qui est censé me revenir car j'y serai toute seule, préférant rester avec mes collègues.
Hé c'est bien ta boîte, un bureau pour toi toute seule! Tu as de la chance, si tu n'en veux pas donne ça m'intéresse! :laughing:
Eeyore a écrit :j'ai l'impression qu'à chaque fois que quelqu'un ici parle de son boulot c'est une torture de tous les instants....
Logique selon l'étymologie du mot travail (cf Wikipedia):

Sous l'Antiquité, le terme bas latin trepalium (attesté en 582) est une déformation de tripalium, un instrument formé de trois pieux, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir.
Apparu au XIIe siècle, selon Alain Rey, le mot « travail » est un déverbal de « travailler », issu du latin populaire « tripaliare », signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ». Au XIIe siècle, le mot désigne aussi un tourment (psychologique) ou une souffrance physique (le travail d'accouchement).

Le travail c'est la torture. :stuck_out_tongue_winking_eye:
par SnapBack
ans
#224474
Eeyore a écrit :Par contre y a que moi ici qui aime mon boulot, ou...?
Tu n’es pas la seule :innocent:
Même si ce n’est pas facile (deux jobs cumulés), c’est ce que j’ai choisi de faire.

Ce que je dessine personnellement me sert aux boulots et inversement, ce n’est pas une torture... mais la recherche de travail, elle, était un vrai calvaire.
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par Lereveur
Homme de 42 ans non vierge
#224475
Eeyore a écrit :Par contre y a que moi ici qui aime mon boulot, ou...? j'ai l'impression qu'à chaque fois que quelqu'un ici parle de son boulot c'est une torture de tous les instants.... :confused:
J'aime bien ce que je fais (contrairement aux emplois précédents que j'ai eu par le passé) depuis maintenant un peu plus de trois ans, même si certains choses dans ma structure ont modéré mon enthousiasme au fil du temps. Au moins je n'y vais pas en traînant des pieds (surtout que bon, ça me fait une demi-heure de vélo en trajet, par tous les temps), ce qui n'est pas rien.

Sinon comme Snap', j'ai mal vécu la période de recherche (pression sociale et parentale + situation de VT).
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par rooter
Homme de 39 ans vierge
#224476
J'ai eu des tafs qui ne me déplaisait pas, même le métier de prof, qui absorbait toute mon énergie pour m'assurer que ces mômes s'en sortent (c'était aps vraiment le lycée Henry IV). Mais de la à dire que c'était une source de plaisir... Bof, non. Beaucoup de stress, faut gérer les collègues et l'inspection... M'enfin, il n'était ni ennuyeuse, ni délétère pour la société, c'est déjà pas mal. Mais la transmission, ça en me passionne pas spécialement. J'ai pas de "Rêve" dans la vie, je m'en fiche un peu. J'ai prit ces tafs parce qu'il faut bien prendre part à la productivité, si on peut.

@godfreyho, une blague d’étymologiste approuvé par l'académie. ^^
Eeyore a écrit :Et qu'entends-tu par "un abandon de sa subjectivité"?
Ben, sin on gouverne sa vie pour maximiser le plaisir, je trouve qu'on est un peu comme une balle, uniquement déterminé par les impulsions extérieur. Je trouve que ça pousse pas trop à s'améliorer.
Eeyore a écrit :est-ce que tu as quand même la capacité d'en éprouver?
Pas souvent, non.
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