Vous avez un témoignage à nous faire part ? Parlez-en ici !
#236147
Bonjour/Bonsoir

Disclaimer : Ce témoignage est une suite du témoignage que j’ai posté en octobre mais il n’aborde pas du tout les mêmes sujets donc dans le doute j’ai créé un autre post. Des détails techniques et physiologiques seront abordés dans ce témoignage.


Pendant le deuxième confinement , j’ai profité du fait que mon sexfriend habite à moins d’un kilomètre de chez moi pour le voir en connaissance des risques sanitaires encourus bien sûr.

On s’est vu plusieurs fois et on a eu des rapports sexuels qui se sont bien passés. Cependant certaines situations m’ont laissées perplexes :

Situation 1 : La première fois qu’on l’a fait, quand on était sur le point de se déshabiller j’ai paniqué subitement et je me suis retrouvé à fondre en larmes alors que à la base j’étais chaude pour le faire. Il n’a pas compris les larmes sur le coup et moi non plus. Avec le recul je pense que j’étais complètement désemparée par l’  « énormité » (lol) de ce qui allait se passer. Est-ce que vous avez déjà vécu des épisodes comme ça ?


Situation 2 : Son pénis n’arrive pas à rentrer dans mon vagin malgré les différentes positions et la quantité de lubrifiant utilisée . J’arrive juste à rentrer un doigt et c’est tout. Vu que ce sont mes premières expériences sexuelles je ne pense pas trop au vaginisme. Combien de temps ça vous a pris pour que ça rentre ?

Situation 3 : Mon sexfriend a déménagé à la fin du confinement, en partant il est passé me voir. On a discuté, il m’a dit que nos rapports sexuelles avaient un goût d’inachevé pour lui parce qu’il n’a pas réussi à me pénétrer. S’en est suivi un débat sur la place de la pénétration dans les rapports sexuelles. Et ça m’a laissé des questionnements :

- Un rapport sexuel sans pénétration (avec un pénis) est-il un rapport sexuel incomplet ?
- La perte de virginité passe-t-elle par une pénétration (avec pénis) du coup ? C’est bête comme question mais je pense aux lesbiennes qui sont parfois vu comme d’éternels vierges parce qu’elles n’ont pas eu cette expérience sexuelle.


Merci d’avance pour vos retours et joyeuses fêtes !
#236184
coucou
alors je viens de passer par là... Pour nous, il a fallu 4-5 essais, sur des jours différents et sans se prendre la tête avec ça pour que ça passe...
Effectivement, il sentait bien que "j'étais serrée", un doigt rentrait facile, mais 2 c'était plus compliqué et ça me faisait un peu mal, mais au moins ça rentrait sans trop de difficultés... Je lui avais dit du coup qu'on attendrait d'abord que les 2 doigts passent plus facilement avant de réessayer... Et puis ça a été.
Le lubrifiant, on l'avait prévu dès le départ mais ça ne nous a pas aidé... (on l'a un peu lassé tomber d'ailleurs pour l'instant).
Bonne chance, pas de pression, de la communication, être à l'aise, dédramatiser et ça va aller. :wink:

Ajouté 3 minutes 10 secondes après :
"On a discuté, il m’a dit que nos rapports sexuelles avaient un goût d’inachevé pour lui parce qu’il n’a pas réussi à me pénétrer. "

Est ce que chacun vous trouvez votre compte et prenez du plaisir ou il est plus centré sur toi?
Liv aime ça
#236192
La perte de la virginité était dans un premier temps la première pénétration intravaginale.

Maintenant la perte de la virginité prend plusieurs tournures : premiers baisers, premières caresses, premières caresses bucco-génitales, premières pénétrations, premiers orgasmes...


Peut-être que ce n'est pas la bonne personne, pas le bon moment...


As-tu essayé la position de l'Andromaque, où la femme s'empale sur le phallus de l'homme ? Ainsi tu peux contrôler la pénétration. Et un godemichet ?

Tu as pensé aux lesbiennes qui ne connaissent pas d'homme. Mais peut-être elles utilisent des objets, des doigts pour s'introduire dans le vagin. Avec les gays, certains ne sont plus vierges des deux côtés, d'autres que d'un seul. Et quid des victimes de violences sexuelles préfèrent-elles oublier ses instants douloureux ?

Prend ton temps et carpe diem.
#236253
Bonjour/Bonsoir et Bonne année !

Je m'excuse pour le temps de réponse, la fin de l'année et son début ayant été un peu chargés. J'ai ressenti du plaisir, on était tous les deux centrés l'un sur l'autre mais lui me guidait davantage. Je rejoins @victeur sur le début de son message par contre je saisis mal la dernière phrase bien que je la comprenne, tout ce que j'évoque s'inscrivant dans un cadre de consentement mutuel, il est dangereux de considérer les violences sexuelles sur ce même plan.